Même dans la « bulle » d’Orlando et au sein de la NBA il existe une « lutte des classes ».
Depuis la moitié des années ’80, la NBA a basé sa politique d’expansion et de croissance sur les « superstars ». Ce sont ces athlètes hors-normes qui sont mis en avant pour promouvoir la ligue, parfois au détriment de l’aspect collectif.
Certaines vedettes ont ainsi toujours bénéficié d’un traitement de faveur – notamment concernant l’arbitrage – de la part de la NBA et cela semble être à nouveau le cas dans la « bulle » d’Orlando.
« J’ai vu les vidéos de quelques chambres de superstars dans d’autres hôtels que le notre. Laissez-moi vous dire que cette expérience dans la bulle n’est pas la même pour tout le monde. Certains ont, en gros, des appartement de deux ou trois pièces. Malheureusement, je n’ai pas ça. Je n’ai pas de cuisine non plus, mais je sais que quelques gars en ont une dans leur chambre » explique JJ Reddick avant d’ajouter sur le ton de l’humour. « Je suis dans cette merde depuis 14 ans et je ne peux même pas avoir une belle chambre. »