C’est peu dire que Boris Diaw a adoré « The Last Dance ». Au point d’en avoir des fourmis dans les jambes!
« Dans ma jeunesse, les documentaires sur Michael Jordan, Magic Johnson et Larry Bird me passionnaient déjà, mais là, c’est un cran au-dessus » confie-t-il au magazine Le Point. « The Last Dance rendrait n’importe qui nostalgique de ces années-là. C’est d’autant plus intéressant de le diffuser aujourd’hui, en 2020, car beaucoup commençaient à oublier qui étaient Michael Jordan et les Chicago Bulls des années 1990 et ce qu’ils ont fait pour le basket, bien sûr, mais aussi pour le monde du sport en général. »
Un documentaire qui a ravivé des souvenirs chez Babac. « Quand je regardais, gamin, les émissions de basket sur Canal+, on ne voyait que les meilleures actions, les paniers à 3-points, les dunks, les équipes qui gagnent, les joueurs et les fans en liesse, etc. L’objectif, c’était de transmettre du bonheur, du spectacle, mais derrière les portes fermées des vestiaires, il y a d’autres histoires. C’est vrai dans tous les sports. C’est aussi parce qu’il montre cela que « The Last Dance » est un documentaire exceptionnel » ajoute celui qui est confiné dans l’Utah. « Les jeunes aujourd’hui pensent que Jordan, c’est une marque de chaussure et que le GOAT, c’est LeBron James. Ça remet quelques vérités en place. En voyant ces images, c’est la seule fois depuis ma retraite où le basket m’a vraiment manqué. Je dois l’admettre : « The Last Dance » m’a donné envie de rejouer au basket !«
Allez oui Boris, revient! « J’ai un gros faible pour Boris Diaw (ndlr: à L&B, on valide complètement). La capacité qu’il avait à jouer en NBA en ayant la même hygiène que nous était impressionnante. Cela ne court pas les rues les grassouillets en NBA » nous avait confié Alexandre Bousmanne qui serait bien évidemment heureux d’un come-back de la légende tricolore.
L’intégralité de l’interview sur Le Point.