Joseph De Sutter reviendra à la tête de la R1 d’Esneux Saint-Louis United.
Le retour du l’homme au t-shirt noir (et on ne parle pas de Thierry Ardisson) ! Jolie surprise annoncée par le club d’Esneux Saint-Louis United : le retour de Joseph De Sutter à la tête de la R1. Un coach qui ne laisse pas indifférent mais dont l’expérience, la passion et les qualités avaient permis à Saint-Louis d’écrire quelques unes de ses plus belles pages sportives. « Après quelques semaines de mûre réflexion et discussions avec les candidats potentiels, nous sommes en mesure de vous annoncer le successeur de Benjamin Meunier à la tête de notre actuelle R1 hommes. Il s’agit de Joseph De Sutter, visage bien connu de notre giron. Joseph, coach actuel de nos U21 Nationaux, n’est plus à présenter après ses 5 saisons et demi dans notre structure, alors à Saint-Louis. Nous tenions néanmoins à tracer les contours de ce retour aux affaires », communiquent les responsables d’ESLU. « En effet, si Joseph avait été remercié de la R1 de Saint-Louis en décembre 2019, jamais ses résultats et compétences basket n’avaient évidemment été remises en cause. Son retour au sein de notre filière à la tête des U21 Gold cette saison se voulait d’ailleurs pondéré. Le temps a servi les deux parties et notre direction sportive s’est parfaitement alignée avec lui pour que la correction des erreurs du passé soit le pilier de ce nouveau mandat. Chez nous, pas de langue de bois mais une volonté profonde de rebondir ensemble pour la meilleure performance possible de nos joueurs. »
Passionné, enthousiaste, Joseph De Sutter a ses fans et ses détracteurs mais peut se targuer d’un joli CV de coach agrémenté de plusieurs éclatantes réussites. « Je suis content de reprendre cette équipe et ue le club me refasse confiance pour un challenge comme je les aime avec des jeunes », réagit Joseph sur les réseaux d’ESLU. « J’espère pouvoir travailler dans la continuité de formation du club tout en développant l’esprit de club et la soif de victoires. Quand on a cette passion commune pour la formation des jeunes, nos routes ne pouvaient que se recroiser. »