De retour à Awans, Maxime Werll fait le point sur la préparation et les ambitions de sa nouvelle formation avant un premier match de championnat samedi contre Harimalia pour lequel Max et ses coéquipiers veulent se défaire de leur fâcheuse habitude de s’incliner en ouverture de la saison.
Pour son dernier match de championnat, Awans s’est imposé contre Saint-Louis. « Mais le résultat est un peu faussé car nous avons joué contre les juniors et non contre la P2 du Collège » précise Maxime Werll. « Nous avons couru et bien défendu. »
Awans termine sa préparation avec un bilan de trois victoires en cinq rencontres. « Nous avons perdu contre Hannut après avoir mené trois quarts-temps mais au retour des vestiaires, nous avons vite encaissé des contre-attaques et des shoots de Blanchy. Le lendemain à Braives, nous étions davantage en jambes, avions mis un bon rythme et la cohésion commençait à s’installer » énumère Max. « Le week-end suivant, ce fut un déplacement compliqué à Aywaille pour un match intensif avec, encore, le troisième quart perdu. Nous étions encore en rodage. Le lendemain, là aussi un bon match de préparation contre Verlaine malgré les nombreux absents. » Et d’ajouter: « Cette préparation fut top. Nous nous sommes bien trouvés. »
Max et son frère sont ravis d’avoir opté pour Awans. « Nous nous sentons comme à la maison. Le groupe est top, nous nous amusons bien et, c’est assez invraisemblable, mais l’équipe compte quand même trois duos de frères: les Brabant, les Vaessen et les Werll » sourit le sympathique arrière. « Nous ne visons rien de particulier au classement. Nous allons jouer notre basket durant quarante minutes à chaque match et nous verrons bien le résultat final. Mais il est clair que nous jouerons tous les matchs pour les gagner ! »
Et cela commencera dès samedi par la réception d’Harimalia. « Une équipe qui a posé des problèmes la saison dernière » rappelle l’ancien joueur du Haut-Pré. « A nous de changer cela en équipe. Nous avons nos qualités et nos défauts mais aussi une fâcheuse tendance à ne jamais gagner le premier match de championnat. A nous de déjouer cette habitude (rires). »