A quelques heures d’un quart de finale explosif à Esneux, Christophe Lambion dresse le bilan du premier tour de Comblain en deuxième provinciale.
A mi-saison, Comblain est quatrième en P2A, à égalité avec Angleur et Visé. « Notre bilan est assez mitigé même si nous avons retrouvé un certain niveau de jeu et de l’organisation. L’envie est bien présente, ce qui est quand même le plus important » commence Christophe Lambion. « Deux de nos défaites -à Prayon et dernièrement à Aubel – sont regrettables, auraient pu être évitées et risque de nous jouer un mauvais tour à la clôture des comptes! Deux match à l’identique, avec un faux rythme et un manque d’envie. Nous n’arrivons pas encore à nous faire mal quand nous sommes dans le dur.«
Ce dimanche, Comblain se rend chez son voisin d’Esneux pour tenter d’y décrocher son billet pour les demi-finales de la Coupe de la Province. « Ce n’est pas habituel de nous retrouver à ce stade de cette compétition. Auparavant, nous préférions avoir des week-ends de congé mais j’avoue que nous nous sommes pris au jeu et nous sommes impatients de disputer cette rencontre » nous confie l’intérieur comblinois. « Ce match a été bien préparé et j’espère qu’il y aura beaucoup de nos supporters en forme!«
Une victoire serait un formidable bonus pour Comblain qui reste ambitieux pour la suite de la saison. « Le championnat est encore assez ouvert, il y a moyen de quelque chose de beau, et encore plus si nous gagnons à Esneux » avance Christophe. « Pour le deuxième tour, nous gardons les mêmes objectifs: revenir au plus près de la première place et, surtout, rester invaincus chez nous. Nous aurons l’avantage du terrain face aux gros poissons lors de cette seconde partie de saison. » Et d’ajouter, en guise de conclusion: « Avec le retour de Thibaut Constant, nous allons pouvoir un peu plus varier notre jeu et être davantage dominants à l’intérieur. Bref, nous voulons tout gagner! Et même si nous n’y arrivons pas, il ne faut pas oublier les progrès déjà réalisés. Quand nous sommes « bien », tout est possible… Nous verrons cela ce dimanche!«