« En basket, on n’arrive à rien sans le collectif »

Passé par l’Union Liège, Liège Basket et le Spirou, Alexandre Aerts défend désormais les couleurs de LAAJ. Liège & Basketball vous fait découvrir cette nouvelle pépite liégeoise.

Alexandre Aerts a commencé le basket dès l’âge de quatre ans à l’Union Liège, un club qui a vu passer plusieurs talents générationnels dont son grand frère William Robeyns qui fait figure – comme Stephen Curry – de modèle à ses yeux. « Il joue au Brussels et commence à atteindre ses objectifs alors qu’il y a dix ans personne ne croyait en lui.« 

A douze ans, Alex prend la direction de Liège Basket où il restera cinq saisons avant de partir au centre de formation du Spirou Basket, en U18. « La saison que j’ai passée au Spirou et la finale de coupe gagnée avec ce club font partie de mes meilleurs souvenirs en jeunes » sourit-il.

Désormais, le jeune étudiant à Beeckman évolue à LAAJ en U21 et fait partie du groupe R1. « C’est un club qui laisse l’opportunité aux jeunes de s’exprimer dans les catégories seniors, ce qui n’est pas le cas partout » nous précise-t-il avant d’évoquer le début son début de saison avec Atlas. « Ce fut assez compliqué car c’est un nouveau club pour moi et c’est la première fois que je joue à un niveau aussi élevé en hommes.« 

Le collectif en priorité

Pour celui qui apprécie la lecture et jouer à la PS4, la notion d’équipe prime sur le reste. « J’adore les sports collectifs et ce qui est bien dans le basket, c’est qu’on n’arrive à rien sans le collectif » assure Alexandre. « Avec LAAJ, nous allons tenter d’aller chercher un maximum de victoires et de prendre le plus de plaisir possible sur le terrain. Malgré la jeunesse de notre équipe, je suis persuadé que nous avons une carte à jouer en première régionale. »

En basketteur de son temps, le Liégeois apprécie créer du jeu mais ne dédaigne pas de se dépouiller dans sa partie de terrain. « Je suis un passionné du « un contre un », que cela soit pour aller marquer ou créer pour les autres. Je crois que c’est mon atout premier… Et je n’ai pas un mauvais shoot à distance » détaille-t-il avant de conclure dans un grand éclat de rire: « Depuis deux saisons, je commence à jouer des deux côtés du terrain!«