210 000 festivaliers ont kiffé pendant quatre jours les Ardentes sur le nouveau site de Rocourt. Parmi eux, Chris Francot, nouveau coach des P2 Dames et Hommes de Pepinster.
Aux Ardentes, Christophe Francot, grand amateur de hip-hop et de la culture US, n’a eu qu’un seul regret : rater la prestation d’Anderson Paak qui se produisait jeudi. « Je suis allé voir Hamza, Damso, Tyler the Creator, Ferg, 667, PNL, Gazo, Freeze Corleone, ASAP Rocky et Orelsan », m’énumère ce jeune quadra qui a kiffé l’expérience sur le nouveau site de Rocourt. « Il est incroyable ! Ce nouvel espace est énorme et vraiment bien agencé. Dans l’ensemble, le passage de scène en scène était fluide malgré les dizaines de milliers de personnes présentes. Il y a eu quelques mouvements de foule inévitables mais hormis ça, rien à redire. »
Avec 210 000 festivaliers, les Ardentes ont fait vibrer la Cité… ardente en proposant quatre jours totalement dingues. « L’organisation était perfect au vu du nombre de concerts, du peuple présent et des différentes scènes. C’était carré de chez carré », souligne le Pepin. « Le line up était varié et hig level quand même et il y avait aussi la place pour des découvertes avec la scène Tarmak et des DJ sets. Franchement, il y en avait pour tout le monde. » Et d’ajouter : « En plus, le prix des boissons était raisonnable et la nourriture hyper variée. Quant au cashless : c’est le top ! »
Et parmi la ribambelle de pointures présentes à Liège pour enjailler la foule en délire, Chris nous livre ses trois coups de cœur. « Tyler : un vrai show à l’américaine, des effets visuels incroyables, une top mise en scène, un son terrible et le gars est aussi dingue que génial », me confie-t-il. « Orelsan ensuite car même si son dernier album n’est pas mon préféré, sur scène c’est lui le meilleur. Des musicos, des beats en live, pas de playback. C’est propre, ça parle à tout le monde et c’est un performer incroyable. Et enfin, Damso, évidemment. Avec lui, c’est des bangers et hits à la chaîne, un gros show visuel et une mise en avant des artistes belges. » Et de conclure : « C’était un cool moment ».