Ce dimanche, c’est sans Pascal Vanderoost que la R1 de LAAJ tentera de créer l’exploit chez la puissante équipe de Ganshoren de Lara Gaspar. Entretien.
Pascal, comment allez-vous aborder ce match contre Ganshoren ?
Lundi, l’une de nos filles s’est blessée lors d’un match inter-unifs avec une suspicion des croisés. Quant à moi, j’ai appris que j’étais positif au Covid et je suis confiné. Je serai enfermé chez moi plutôt qu’à me retrousser les manches au bord du terrain. Je remercie mon assistant Geoffroy pour sa disponibilité et envoie tout mon soutien au groupe. Notre préparation de cette rencontre fut donc loin d’être optimale.
Pas évident d’autant plus que Ganshoren présente un effectif plus que costaud.
Oui, Ganshoren possède sans doute le meilleur chef d’orchestre de la division en la personne d’Emilie Vermylen et sans doute l’une si pas la meilleure intérieure avec Lara Gaspar. Mais nommer deux joueuses ferait presque offense aux autres filles qui sont toutes capables de poser des problèmes à n’importe quel adversaire.
Qu’en est-il chez vous ?
Après une période d’adaptation, plusieurs filles ont réussi à hausser leur niveau de jeu. Toutefois, nous déplorons actuellement un criant manque de constance. Un jour nos prestations sont très abouties et le lendemain, c’est portes ouvertes dans notre défense.
Que devrez-vous parvenir à faire pour avoir une chance de créer l’exploit ?
Pour espérer être satisfaits après le match, il faudra impérativement contrôler le « un contre un » extérieur, appliuer notre organisation défensive quand la balle va à l’intérieur et combattre sur chaque second ballon. Offensivement, il faudra tenter d’imposer notre rythme mais dans ce secteur, nous ne nous sommes pas encore adaptés à la divison. Et toutes nos bonnes prestations ont un point commun: une entame de match positive ! Afin d’être le poil à gratter face à de tels adversaires, c’est en groupe qu’il faut oeuvrer.