Quentin Pincemail en fait le constat: la crise sanitaire provoquée par un pauvre pangolin a poussé de nombreux basketteurs à la reflexion et cela pourrait avoir un impact sur les clubs.
A Tilff, Baptiste Mottard et Matthieu Henrioulle ont souhaité prendre un peu de recul et quitter la R1 pour la P2, moins exigeante et chronophage. Une réflexion forcément liée à la longue interruption du basket qui pousse de nombreux passionnés à réévaluer leur investissement pour leur sport favori. « De nombreux affiliés se découvrent d’autres passions ou prennent de nouvelles habitudes lors de cette année blanche et confinée » reconnait Quentin Pincemail. « Cela risque de se traduire par pas mal de joueurs qui souhaiteront peut-être faire des choix différents et ce sera une problématique à laquelle seront confrontés beaucoup de clubs et de coachs. »
Une crainte légitime que d’autres coachs que nous avons sondé partagent et que la fédération redoute également.
Crédit photo: Marc Paulus
N.B. : Et parce que ce pauvre Pangolin est mis à toutes les sauces et parfois aux meilleures, nous ne pouvons que vous conseiller la lecture de « L’injuste destin du Pangolin ».