Le revers rageant en finale de la Coupe contre le Maccabi Tel-Aviv, l’enchainement des rencontres à un rythme NBA, le duel de ce mardi contre l’Hapoël Tel-Aviv, une éventuelle prolongation de contrat et les spécialités culinaires israéliennes: autant de sujets abordés avec Maxime De Zeeuw, ultra-performant et victorieux depuis son arrivée à l’Hapoël Holon. Entretien.
Max, il s’en est fallu d’un rien pour que l’issue de votre finale de Coupe contre le Maccabi soit différente. Pas trop déçu de ne pas avoir remporté le trophée ?
Si, je suis énormément déçu. Nous devions gagner ce match. Le Maccabi est un gros morceau mais nous avons fait jeu égal avec notre adversaire alors que nous jouions sans notre meilleur joueur, Chris Johnson. C’est râlant.
Que vous a-t-il manqué pour rafler la Coupe ?
Comme à chaque fois, le match s’est joué sur de petits détails. Nous nous sommes relâchés trois minutes dans le troisième quart-temps et cela nous a coûté cher à la fin.
Vous n’aurez guère le temps de vous appesantir puisque ce mardi vous défierez l’Hapoël Tel Aviv.
Oui, c’est clair, nous n’avons pas le temps de ruminer très longtemps.
Comment gères-tu la succession effrénée de rencontres et ce rythme NBA ?
Je le gère plutôt bien. Nous sommes bien soignés et nous essayons de récupérer le plus possible quand nous en avons l’occasion. L’avantage aussi en Israël c’est que c’est un peu comme en Belgique: les déplacements ne sont pas trop longs. C’est chouette.
Depuis ton arrivée, tu performes et ton équipe ne cesse de gagner. Des discussions sont-elles déjà en cours pour la suite ?
Oui, nous sommes déjà en train de discuter depuis une bonne semaine.
As-tu déjà eu l’occasion de goûter les spécialités culinaires du pays ?
Malheureusement, avec le confinement, tout est fermé au niveau des restaurants donc j’ai pas encore su découvrir les plats typiques d’ici. Mais chaque fois que j’étais venu ici en Coupe d’Europe, j’avais super bien mangé.
Crédit photo: Hapoël Holon