En cette période, le sport peut aussi servir d’exutoire.
« Tant pour le basket que pour le reste, j’ai été déçu des mesures prises. Trop peu de gens ont respecté les précédentes mesures et nous en payons maintenant le prix » déplore Louis Titeca qui regrette que cette seconde vague n’ait pas été mieux anticipée.
Nouveau venu à Sprimont, l’ancien Liégeois s’y sentait comme un poisson dans l’eau avant qu’un virus venu de Chine lui barre l’accès à l’antre des Carriers. « Ne plus voir Jimmy, Bertrand, Wuiwui et les autres me manque mais la compétition me manque aussi énormément » concède le Namurois. « En juin et juillet j’attendais avec impatience de me mesurer, avec Sprimont, aux autres équipes de la série. Et là, cela semble compromis avant janvier, minimum. »
Justement, bien malin celui qui pourra prédire vers quoi nous nous dirigeons et à quelle sauce le basket sera mangé. « Personnellement, je souhaite simplement pouvoir rejouer le plus vite possible. En attendant, je vais continuer à m’entrainer: je suis incapable de rester un ou deux jours sans faire de sport. Je vais courir et faire du renforcement musculaire avec Max Jaspenne » conclut Louis.