Avant de prendre la direction d’Alleur avec Robin Malpas et Maxime Notelaers pour constituer l’épouvantail de P1, Florian Forthomme revient sur sa dernière saison à Sprimont. Entretien.
Florian, comment juges-tu la saison qui vient de s’achever?
Ce fut loin d’être notre meilleure saison. Nous n’avons jamais su trouver un équilibre, une envie ou que sais-je… Bref, la sauce n’a jamais pris. C’est aussi vraiment dommage pour mon ami Romain Delhaye qui ne terminera pas sa carrière sur une très belle note. Avec cet exercice en demi-teinte et l’arrêt prématuré du championnat, nous n’avons pas su le fêter!
Vous ne terminez pas à la place que vous espériez?
Non, nous visions mieux, surtout que nous avions une toute belle équipe qui était pour moi l’une des meilleures de la série. Par contre, nous méritons notre classement final vu ce que nous avons montré cette saison, ce manque d’envie ou d’objectifs que je n’arrive toujours pas à identifier.
Qu’as-tu pensé de votre série?
Nous avons assisté à pas mal de résultats surprenants! C’était une série sympa pour nous, avec plusieurs formations liégeoises.
Quid de tes prestations?
Ce n’est pas loin d’être ma plus mauvaise saison. Après avoir commencé par une belle entorse au stage de reprise, j’ai eu des soucis de santé qui m’ont privé des terrains pendant quelques temps.
Qu’as-tu particulièrement apprécié cette année?
La venue de Flago à un entrainement (rires).
Quels sont tes regrets?
De terminer mon aventure à Sprimont de la sorte. C’était ma neuvième année dans ce club et j’aurais aimé prendre davantage de plaisir, pouvoir faire une belle fête au final avec de beaux résultats. Il ne reste plus qu’à gommer cela la saison prochaine et offrir une belle saison à Alleur avec peut-être une montée à la clé.