A Anderlecht, Comblain s’est incliné 65-57, loupant une belle occasion de rejoindre Sprimont au classement. Simon Chapelle, qui ne portera plus les couleurs comblinoises la saison prochaine, débriefe ce revers du Mailleux face à sa bête noire, évoque ses envies pour le second tour du championnat et son avenir. Entretien.
Simon, vous vous êtes inclinés 65-57 à Anderlecht. A quoi ce revers est-il imputable?
Nous n’avons eu aucune réussite aux shoots. Nous nous sommes calqués sur le jeu assez lent et peu académique des Anderlechtois alors que nous sommes une équipe qui a besoin de vitesse et de contre-attaques pour performer.
Un adversaire qui vous complique la vie.
Anderlecht est vraiment notre bête noire. Sur les deux matchs que nous avons disputé contre cette équipe, nous n’avons marqué, grosso modo, que cent points, ce qui est médiocre au regard de nos qualités offensives.
La période des examens peut-elle aussi expliquer votre manque de réussite?
C’est vrai que janvier est un mois assez compliqué car c’est la période des examens et que notre équipe compte beaucoup d’étudiants. Nous sommes donc peu nombreux aux entrainements et cela peut se ressentir. Mais les Anderlechtois étaient aussi plus agressifs que nous.
Quelles sont tes envies pour cette deuxième partie de saison?
J’ai envie de terminer en beauté dans le club de Comblain en réalisant un super deuxième tour et terminer le plus haut possible au classement malgré le monstre de la série, Kontich.
Porteras-tu encore le maillot du Mailleux la saison prochaine?
Non. Ce n’est malheureusement pas ma décision. L’arrivée d’un nouvel entraineur induit des changements dans l’équipe.
Connais-tu déjà ta future destination?
Non, je ne la connais pas encore. A vrai dire, je n’y ai pas encore réfléchi. Pour l’instant, je me concentre sur mes examens et je verrai après.
Souhaites-tu rester dans la Province de Liège? Quel genre de projet recherches-tu?
Oui, rester à Liège ou retourner dans ma région de Namur sont deux pistes possibles. Je cherche un club sans pression avec un niveau national voire régional pour me relancer.