Pour Liège & Basketball, Brieuc Lemaire a pris le temps de débriefer sa saison avec Liège Basket, son nouveau contrat avec les Principautaires et ses objectifs futurs ainsi que d’analyser la finale d’EuroMillions Basketball League qui débute vendredi et de revenir sur le retour de Pepinster à l’échelon national.
Brieuc, félicitations pour ta prolongation de contrat à Liège Basket. T’es-tu engagé pour une ou plusieurs saisons avec les Principautaires?
Je n’ai signé que pour une seule saison saison car Sacha Massot ne s’est engagé que pour un an, également.
Qu’apprécies-tu dans le club de Liège basket?
Liège est un club convivial où je connais beaucoup de monde parmi les bénévoles ou dans le public
Que retiendras-tu de cette saison?
Ce qu’il faut retenir, selon moi, c’est que l’équipe s’est battue jusqu’au dernier match! A titre personnel, j’ai eu beaucoup de hauts et de bas car je suis arrivé en cours de saison. Je sais que je devrai être plus constant dans mes prestations l’année prochaine.
Justement, que devrez-vous améliorer la saison prochaine et quels seront vos objectifs?
Le domaine dans lequel nous allons devoir nous améliorer, c’est notre défense. Cette saison, nous encaissions beaucoup trop! Et je pense que nous devons aller chercher les Playoffs la saison prochaine.
En parlant de Playoffs, la finale de ceux-ci débutera vendredi et opposera Ostende et Anvers. Une affiche logique selon toi?
Oui, c’est une finale logique au regard de la saison écoulée. Ces deux formations ont dominé le championnat, ce sera une belle finale.
Qui vois-tu décrocher les lauriers?
Cette année, c’est Anvers qui m’a le plus impressionné. Mais Ostende, avec les arrivées de Thompson et Angola et le retour de Lasisi, va être vraiment dur à jouer!
Enfin, un petit mot sur un club qui t’est cher -Pepinster – qui remonte en nationale. Une satisfaction pour toi?
Oui, c’est bien que Pepinster retrouve le niveau national. J’espère que les Pépins auront une équipe compétitive pour jouer un vrai rôle dans la division et même viser les Playoffs.
Crédit photo: Philippe Collin