Après des débuts pétaradants, Saint Louis est un peu rentré dans le rang mais occupe tout de même potentiellement la cinquième place du classement en première provinciale. La trêve hivernale constitue une bonne occasion de dresser un premier bilan des aventures des Collégiens en compagnie de John Vanoost, assistant-coach de l’équipe P1 et formateur au sein du matricule 2663
John, comment, en ta qualité d’assistant-coach, analyses-tu cette première moitié de saison?
Un premier tour plus que correct pour nous. Nous avons comme ligne de conduite de maintenir la R1, la P1 et la P3 jeunes tout en essayant de monter avec la P4 jeunes. Actuellement, nous sommes vraiment dans nos objectifs.
De quoi es-tu satisfait?
La satisfaction ne vient pas spécialement de là d’où on pourrait le penser. Il est plaisant de constater l’envie des joueurs de se plier au combat à chaque match. Pour moi qui suis avant-tout un formateur, ce qui est d’ailleurs la raison de mon engagement dans le club de Saint Louis, cela fait plaisir de voir qu’autant de joueurs acceptent de disputer un double championnat, que cela soit minimes régionaux et p4, Cadets régionaux et P3, P3 et P1 ou P1 et R1. Cela me donne encore plus envie de travailler durement pour pousser ces gamins encore plus loin.
Que vous faut-il encore améliorer?
Surtout la constance dans le jeu. Il faut mieux retenir les fondamentaux qui, lorsqu’ils sont appliqués, nous rendent leu jeu bien plus facile.
Quel fut le fait marquant, pour toi, de cette première moitié de saison?
Les résultats de la R1 et la complicité énorme du noyau R1 avec leur coach Joseph de Sutter sont deux faits assez marquants de ce début de saison. Un autre élément qui m’a marqué, c’est la force de frappe de Waremme qui peut aussi se reposer sur un grand joueur, Sacha Massot.
Quels sont vos objectifs pour le second tour?
Ils sont toujours les mêmes, c’est à dire continuer à aller de l’avant et nous verrons en fin de saison ce qu’il se passera.
Que penses-tu de ce championnat de P1?
Il y a Waremme, tout au-dessus, et puis un Top 6 derrière où tout le monde peut battre tout le monde. Vient ensuite un deuxième groupe dans lequel les équipes présentes pourraient rapidement revenir sur le peloton de tête. Nous vivons un championnat ouvert. A chaque match, il faut être prêt pour pouvoir revendiquer la victoire.