Evoluant à Esneux, en deuxième provinciale, cette saison, Audric Forthomme a décidé de migrer de quelques kilomètres pour tenter sa chance à Tilff, en deuxième régionale. Interview en toute décontraction.
Audric, que retiendras-tu de tes saisons à Esneux?
Outre la mauvaise humeur de Robin Lhoest (rires), je garderai en mémoire la très belle saison que nous avons réalisée en R1, le bon groupe que nous formions et l’excellente ambiance qui régnait entre-nous, tant sur le terrain qu’en dehors.
Pourquoi avoir décidé de rejoindre Tilff?
Malgré les bons moments passés avec Maxime Horevoets, j’avais envie de retenter ma chance en régionale. J’ai envisagé plusieurs possibilités mais c’est le projet et le groupe de Tilff qui m’intéressaient. Nous avons déjà eu l’occasion de tous nous rencontrer et nous formerons une bonne équipe, avec certaines ambitions. Polska (ndlr: Jérôme Niedziolka) nous a même affirmé que, cette fois-ci, il privilégiera l’aspect collectif plutôt que de jouer sa carte personnelle (rires).
Quels sont tes objectifs pour la prochaine saison?
Dans un premier temps, je souhaite m’intégrer rapidement dans l’équipe. La plupart des membres de celle-ci ont déjà joué ensemble, il faudra donc que je me fasse ma place. Au niveau collectif, j’espère que notre saison sera à la hauteur de nos ambitions et que nous atteindrons, au minimum, les Playoffs.
Ta maman, France Huveners, est également une -excellente- joueuse de basket. Avoir une maman qui s’y connait, c’est un plus?
Bien entendu. Nous avons toujours passé tous nos weekends dans les salles de basket. Elle vient voir une grande partie de nos matchs (ndlr: le frère d’Audric, Florian, évolue à Sprimont) et nous avons toujours droit à un petit débriefing après la rencontre.