Pour Antoine Braibant, le basket, c’est sa vie! L’entraineur des filles de Pepinster savoure sa première saison en tant que head coach d’une formation de D1. Alors que l’année touche bientôt à son terme, il était temps de faire le bilan.
Antoine, que retiendras-tu de 2017?
Mon gamin, Niels, qui ne cesse de grandir. Avec ce prénom, on pourrait y voir un signe, mais c’est juste du hasard. Je retiens aussi l’émulation que d’être en D1 a provoqué à Pepinster. Nous récupérons du public, l’année dernière il y avait parfois plus de cent personnes. Pour un match de R1 Dames, c’est pas mal du tout et c’est super agréable. D’ailleurs, nous avons même un kop de supporter.
Un regret pour cette année qui se termine?
Le conflit que j’ai eu avec Cécile Van Bladel. Je l’ai écartée du groupe, c’est un choix sportif, cela fait partie du job mais c’est toujours difficile. Je ne lui tiens absolument pas rigueur de comment les choses se sont terminées.
Une résolution pour 2018?
Je vais bientôt avoir trente ans, donc ça serait pas mal de mûrir un peu. Et puis j’aimerais rendre au club la confiance qu’il m’accorde en nous permettant de nous maintenir en première division.
Une envie pour l’année à venir?
Je souhaite rester coach en D1, en Belgique ou ailleurs. L’étranger fait d’ailleurs partie de mon plan de carrière, c’est un objectif à moyen terme.