La seconde « demie » opposera, ce mercredi, les Brainoises aux Malinoises afin de défier les Angleuroises en finale de la coupe. Au Grand-Duché, une ex-Carrière prend en charge les destinées du 3 x 3 luxo. En Lombardie, un ancien assistant-coach montois fait des miracles à Varèse. Ce sont les infos d’EMCE.
Coupe de Belgique : ce soir, les Panthers connaitront leurs rivales en finale
Pendant qu’elles affronteront Waregem à domicile et en championnat, les Liègeoises (avec Brewer) seront attentives au choc (20 h 30) mettant aux prises Braine et Malines. A son issue, elles sauront contre qui elles seront opposées en finale de la Coupe de Belgique. Sans De Meyer, ni Becky Massey, les Flandriennes ne partiront pas favorites à l’ombre de la Butte mais, avec les Kangoeroes, une surprise n’est jamais à exclure d’avance. Pour rappel, le match au sommet de cette compétition aura lieu, dès le samedi 12 mars prochain (20 h 30), au hall Octave Henry de Namur. Comme quoi, on ne perd pas de temps en chemin…
Une ancienne Sprimontoise, Nadia Mossong, « boss » du 3×3 luxembourgeois
La fédération grand-ducale a décidé de donner un sacré coup de boost au basket 3 x 3. Pour se faire, elle effectue actuellement des recrutements en vue de former une phalange représentative tant féminine que masculine tout en proposant des tournois pour jeunes. Afin de mener cette mission à bon port, les commandes ont été confiées à Nadia Mossong (35 ans, photo) qui évolua à Sprimont durant la campagne 2012/2013. Chez les « Carriers », elle eut pour coach Pierre Cornia qui effectuait ses débuts au sein d’une D1 dames allant devenir les Panthers.
L’aussi fantastique qu’inattendue réussite de Roijakkers (ex-Mons) en Italie
En tout début d’année, son engagement à Varèse, un des clubs mythiques de la Botte, en avait surpris plus d’un. Depuis, Johan Roijakkers clape le bec à ses détracteurs au travers d’un impressionnant 5 sur 6. Et encore puisque son unique revers avec les Lombards n’est que d’une petite unité. L’ancien assistant-coach de Mons et Bree, entre autres, explique : « Dès mon arrivée, j’ai tenté d’aller à contre-courant de ce qui se fait généralement en Italie. Avec moi, tous les joueurs se sentent concernés et les entraînements doivent être plus durs que les matches. Ce qui n’est pas toujours le cas dans ce pays, semble-t-il. » Et, jusqu’à présent, ça marche…
Michel Christiane
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