En cette période de confinement et de crise sanitaire, faire la fête est logiquement interdit et inapproprié. Du coup, on se remémore une anectode du spécialiste en la matière: Dennis Rodman. Sa présence dans certaines buvettes liégeoises aurait à coup sûr valu le déplacement tout en garantissant la pérennité des finances des clubs qui l’auraient accueilli.
« J’ai une anecdote un peu spéciale et je n’ai pas pu suivre son rythme. Je n’ai fait la fête qu’une fois avec lui parce qu’après il faut 7 à 10 jours pour s’en remettre » commence Toni Kukoc dans un podcast. « Nous étions 4, et la première chose qu’il a faite c’était de commander 40 shots de vodka et 10 bières. Je lui ai demandé si d’autres personnes allaient se joindre à nous et il m’a dit qu’il était important de faire en sorte que le bar reste ouvert. Tous ceux qui étaient dans le bar ce soir-là ont eu de la bouffe et des verres offerts par Rodman. »
Si le meilleur rebondeur (officieusement) de l’Histoire était un sacré soiffard et un pétard ambulant, c’était aussi une crème d’homme dans un groupe. « C’est un super mec qui était génial pour tout le monde, mais pas pour lui parce qu’il avait du mal à trouver le bon équilibre » ajoute la « Panthère Rose croate ».