Plus près de nous, on salue le retour sur les parquets (namurois) de cet ancien Hoëgnard qu’est Amaury Jadin tandis que l’on connait le champion de l’« exception » taiwanaise. En ce qui concerne la photo-mystère, elle a rappelé pas mal de bons souvenirs à quelques-uns d’entre vous… Ce sont les infos d’EMCE.
Disparu des radars, Amaury Jadin (ex-Pepin) rebondit à Fraire
Amaury Jadin (34 a, 1,89 m) figurait parmi les plus sûres promesses du basket belge. Il n’y a pas si longtemps que cela… Il défendait, entre autres, les couleurs de Charleroi (14/15) puis de Pepinster (15/16) avant de disparaître subitement et complètement des radars. Pendant ce temps, il obtenait son diplôme de kiné et évoluait ensuite à Lambusart (D3). Après s’être occupé des jeunes de Cerfontaine (photo), il vient de se mettre d’accord avec les dirigeants de Fraire-Philippeville. Une formation de P1 namuroise qui décline de réelles ambitions en vue de la prochaine saison.
L’exception qui confirme la règle : Taiwan a son champion !
Comme je vous l’indiquais la semaine dernière : le rideau est tombé sur un championnat de Taiwan qui ne s’est donc jamais arrêté. Faut-il en rire ou en pleurer ? Pour l’anecdote, sachez encore que ce sont les Taiwan Beers (avec l’Américain, Kentrell Barkley) qui se sont approprié les lauriers nationaux. Pour parvenir à leurs fins, ceux-ci ont dû batailler ferme (4 manches à 3) face à Yulon Luxgen. Même si l’ultime rencontre ne posa aucun virus aux champions 2020, vainqueurs 78-113 dans l’antre adverse.
Terrain extérieur : Péville, rampe de lancement de la JSG
Vous étiez très nombreux à avoir reconnu la plaine de Péville, en quelque sorte le creuset du club de Grivegnée. Déjà là-bas, la grande foule ceinturait régulièrement une aire de jeu où il ne faisait pas bon s’aventurer. La JSG, cher au président Lanni, investit ensuite la salle de la rue Nicolas Spiroux. Les « Rouge et Jaune » accédaient à la D2 en mars ’83 sous la conduite de Jean-Pierre Fransquet… qui, deux ans plus tard, montait en D1 avec Pepinster. Mais, c’est via le coaching du Spadois, Jacques Paquay et sa célébrissime zone, que Grivegnée connut son heure de gloire. On s’agglutinait sur les gradins locaux le dimanche en fin d’après-midi… Les dames (de la famille Genot) se mirent, elles aussi, en évidence. « Ce club a une histoire », comme l’indique très justement Nathan Stevens.
La télé crève l’écran
Si vous avez suivi les deux premières « livraisons » dédiées à Michael Jordan, sûr que vous vous brancherez aujourd’hui encore sur Netflix. Et quelque chose me dit que les coulisses de la NBA vous sidérerons à nouveau…
Michel CHRISTIANE
Crédit photo : BC Cerfontaine