Où a été prise cette photo ?

Après une escapade namuroise en début de semaine, ces news typiquement liégeoises déclineront aujourd’hui un accent brabançon (Braine), voire carrément bruxellois, via Terry Deroover. D’autre part, le cliché-mystère ne vous causera aucune migraine tout comme l’initiative de Larochette. Ce sont les infos d’EMCE.

L’ancien Liégeois, Terry Deroover, dans le staff du… Brussels

« Moi, le pur Bruxellois, je désespère d’encore pouvoir jouer un jour pour le plus grand club de la capitale. » C’est ce que me confiais l’ancien Liégeois (17 à 19), Terry Deroover (29 a, 1,80 m). Comme pro, il avait ainsi déjà transité par Louvain, Willebroek, le Sart Tilman et, maintenant, Malines. Mais, jamais par Never-over-Hembeek. Ceci dit, une première étape vient peut-être d’être franchie puisque l’ex-meneur du Country Hall intègre le staff technique du club cher au président DeKandelaer. Dès la reprise, il s’y occupera de la formation individuelle des jeunes du cru.

Braine : la Française Touré pour remplacer M. Grzesinski ?

On le sait, Manon Grzesinski sera le renfort de luxe de la R2 d’Alleur. Encore fallait-il pallier à son départ au pied de la célèbre Butte brabançonne. D’après nos confrères hexagonaux, ce serait chose faite. Ils n’hésitent pas à annoncer la très probable venue de Migna Touré (25 a, 1,83 m) à Braine. La jeune femme est internationale française de 3×3 et évoluait, ces deux dernières saisons, à Basket Landes. Là-bas, elle tournait à 9,4 points et 2,4 rebonds par rencontre. Sûr que le « Nordiste » Fred Dusart ne doit pas être étranger à cette mutation.

La chouette cagnotte de Larochette

C’est sans doute ce qui fait tout le charme du basket luxembourgeois : quand un minuscule village de 2000 habitants, comme Larochette, possède une équipe de D1 depuis des lustres. A titre comparatif, Stoumont est plus peuplé. Il y a quelques jours, le capitaine de ce club situé à 40 bornes de la Belgique prenait l’initiative. Question de venir en aide à ses couleurs. Il a donc lancé une cagnotte en ligne où il est possible d’acquérir maillots ou ballons dédicacés, séances individuelles avec les futurs pros et abonnements pour la saison à venir. « Au mieux, j’espérais récolter aux environs de 2000 euros », indique-t-il, amusé. Ce jeudi, à 10 heures, la somme s’élevait à… 7700 €. Et ce n’est pas fini !

Terrains extérieurs : C…, joyeuse plaine !

Mardi, la photo-mystère portait bien son qualificatif tant il était malaisé de dénicher l’endroit où elle avait immortalisée. A l’exception des Comblinois et Comblinoises à qui on ne la fait évidemment pas. Aujourd’hui, le cliché proposé est sans conteste un des plus faciles à trouver depuis l’entame de la série. Tant sont nombreux joueuses et joueurs qui y ont usé leurs baskets des heures durant. Bref, l’indice a quelque chose de vexatoire : après un coup d’œil sur le bâtiment du fond, vous serez fixé…

Michel CHRISTIANE