Maxime Gaudoux face à son ancienne équipe ce soir

 

Maxime Gaudoux retrouve Charleroi ce mercredi. L’occasion pour les Bears d’accrocher une troisième victoire face à un adversaire en plein doute.

 

Louvain a renoué avec la victoire depuis l’arrivée d’Eddy Casteels à la tête de l’équipe mais s’est lourdement incliné face à l’équipe en forme du moment, le Basic Fit Brussels. Dans la déroute louvaniste, Maxime Gaudoux s’est illustré en compilant 16 points, 5 rebonds et 2 passes décisives. Des chiffres assez proches des standards du Liégeois qui livre une très belle saison sur le plan individuel.

Face aux Bears se dresse Charleroi ce soir. Un adversaire en plein doute et qui a aussi mordu la poussière le weekend dernier, défait 91 à 76 à Alost. Lors de cette rencontre, Olivier Troisfontaines s’était fendu de 13 points, 7 rebonds et 3 passes décisives tandis que Niels Marnegrave, dans le cinq de départ, apportait 7 points et 4 assists au Spirou.

Face à ses anciennes couleurs, Maxime aura sans doute à coeur de se surpasser et les Louvanistes auront bien besoin que celui qui vit désormais à Waremme soit aussi tranchant et efficace qu’il peut l’être.

Les frères Constant débarquent à Comblain

 

Belle prise du Mailleux Comblain qui enregistre l’arrivée de Quentin et Thibaut Constant pour la saison prochaine.

 

Thibaut va amener son impact physique et son expérience à Comblain.

Quentin Constant évoluait à Hamoir, en P3, cette année, tandis que Thibaut était drivé par Quentin Pincemail dans la R2 de Tilff. Et tous les deux ont décidé de se retrouver sous le maillot à rayures du Mailleux. « Nous jouerons pour la P2 de Comblain la saison prochaine, avec d’autres potes » nous confie Thibaut. « Mon boulot me prend pas mal de temps et c’est beaucoup d’investissement pour moi donc je souhaite la faire plus « cool » la saison prochaine. »

Une bien belle prise pour les Comblinois tant les qualités athlétiques des deux frères, sans parler du shoot dévastateur de Quentin, risquent de faire des ravages dans les raquettes de deuxième provinciale. « A Comblain, ce sera plus facile pour moi, à différents niveaux, surtout que c’est un peu plus près de chez moi et que cela m’évitera des déplacements plus importants. Même si c’est vrai qu’on se marre bien à Tilff cette saison » conclut Thibaut.

 

Deux jeunes recrues arrivent à Tilff

 

Tilff se porte bien et impressionne. Après avoir longtemps été invaincus en R2, les promus sont rentrés dans le rang mais restent tout de même en course pour les Playoffs. Et Quentin Pincemail vient d’enregistrer l’arrivée de deux jeunes prometteurs pour la saison prochaine.

 

Le début de saison des Porais était tonitruant. Dubru et consorts furent même leaders de leur série de R2 quelques temps. Depuis, Tilff est un peu rentré dans le rang, la faute aux blessures notamment, mais reste en lice pour se qualifier pour les Playoffs à la fin de la saison.

En coulisses aussi, le club s’active et plutôt bien puisque les Bleu et Blanc enregistrent deux arrivées en vue de la prochaine saison. « J’ai signé Audric Forthomme, qui jouait en D3 à Esneux l’année passée et en P2 cette saison, pour remplacer Constant qui s’en va (ndlr: à Comblain, en P2) » nous dit Quentin Pincemail. « Yourik Szabo, en provenance de Sprimont, sera aussi des nôtres la saison prochaine. »

Deux renforts qui viendront étoffer un groupe compact où le collectif prime sur les individualités. « Je suis content que deux jeunes, qui avaient des propositions en Régionale, signent chez nous et s’engagent dans notre projet de club. C’est la preuve que nous avançons » se félicite le mentor local.

 

David Di Giuseppe n’est plus le coach de Visé

 

A la lutte -une âpre lutte- pour son maintien en première provinciale, Visé a décidé de se séparer de son entraineur, David Di Giuseppe.

 

Après Pepinster, lui aussi concerné par la lutte pour le maintien, qui avait choisi de se séparer de son entraineur, c’est désormais Visé qui a fait le même choix. « Nous n’avons rien à reprocher à David » précise d’emblée Michel Lejeune, Président du Royal Basket Club Visé. « Mais, après avoir constaté depuis plusieurs semaines que son message ne passait plus, qu’il y avait un manque d’envie et des critiques, la meilleure solution, pour lui et pour l’équipe, était de prendre cette décision. »

« Nous savions que cette saison serait difficile » nous confie le principal intéressé. « Nous avons été champions l’année passée et sommes montés avec un groupe plus faible puisque van den Brule ne joue qu’un match sur deux. » Une absence qui pèse. « Nous avions l’habitude de jouer à l’intérieur avec lui, nous avons dû modifier notre style de jeu, tout en sachant qu’aucun de nos joueurs, hormis Lucas Di Panfilo, mais qui souffre de problèmes physiques, n’avaient évolué à ce niveau » explique David. « Ce manque d’expérience se paie cash dans une division où la moindre erreur est sanctionnée. »

 

 

Un sentiment d’inachevé mais pas de rancoeur

 

A la tête de cette équipe depuis un an et demi, cette séparation se passe sans heurt ni rancoeur. « J’aurais tout de même souhaité finir la saison, aller au bout des choses pour ne pas partir avec un sentiment d’inachevé » poursuit David. « Mais je comprends la décision du Président et du Comité. C’est dommage, bien entendu, c’est une page qui se tourne. Mais je le vis bien, j’ai donné mon maximum et j’arrive à me regarder dans le miroir. »

Dans ce genre de situation, les « torts » sont bien évidemment partagés. « Je suis un jeune entraineur, ce n’est que ma quatrième saison, je suis donc conscient que je dois encore apprendre et progresser » continue-t-il. « J’accepte les critiques, c’est tout à fait normal, et je me remets en question. Mais cela a aussi ses limites. En finalité, ce n’est pas moi qui suis sur le terrain. Les joueurs aussi doivent faire leur auto-critique. »

Le Président du club de la Cité de l’Oie ne dit pas autre chose. « Nos gars doivent retrouver de l’envie et une motivation collective. A eux, désormais, de prouver qu’ils ne sont pas montés par hasard. La balle est dans leur camp » lance Michel Lejeune. Ces derniers temps, l’ambiance n’était plus vraiment au beau fixe à Visé. « C’est indubitable que lorsque les défaites s’enchainent, l’ambiance n’est plus la même. Et cela nuit à la possibilité d’évoluer » reconnait David. « Mais cela n’explique pas tout. Ce weekend, le Mosa est venu chez nous avec cinq joueurs de P1. Mais nous avons été en retard sur nos switchs, dans les aides défensives. Je suis d’ailleurs parti directement après la rencontre car je n’avais pas envie de subir les éternelles discussions d’après-match. »

David n’en reste pas moins attaché à Visé. « J’y ai joué plusieurs saisons en P1 et c’est Michel qui m’a donné ma chance comme entraineur de la P2 la saison dernière » rappelle-t-il. Pour le remplacer, le club a misé sur une doublette du club. « Nous avons l’habitude de travailler en interne. Cela ne sert à rien d’aller chercher des grands noms. C’est l’assistant de David, Dustin Hayot, qui reprend le leadership de l’équipe. Il sera secondé par mon fils, Sébastien, qui s’entraine toujours avec Visé une fois par semaine et qui a envie d’aider ses potes à se sauver » termine le Président visétois.

Liège Basket conteste la victoire de Limburg

 

Liège Basket s’est incliné par le plus petit écart, après prolongation, lors de son dernier déplacement à Limburg United. Mais une faute oubliée à la dernière seconde du temps règlementaire turlupine les Principautaires qui ont décidé de poser leurs réserves.

 

C’est la DH qui annonce la nouvelle: Liège conteste la victoire de Limburg United et pose ses réserves. En cause? Une faute non sifflée sur Darnell Harris à la toute fin du temps règlementaire alors que celui-ci venait d’intercepter la balle. Le score était alors de 65 partout et l’ailier américain aurait pu bénéficier de deux lancers-francs.

Dans la course aux Playoffs, cette défaite liégeoise peut coûter cher, d’autant plus que le Basic Fit Brussels est en train de réaliser une véritable remontada. Les officiels de la rencontre ont considéré que la faute sur Harris intervenait à la fin du temps règlementaire, ce que conteste Liège Basket. La commission disciplinaire va désormais fixer une date lors de laquelle les Liégeois pourront venir plaider leur cause. La rencontre sera-t-elle à rejouer? Wait and see comme on dit dans ces cas là…

Nicolas Gerads, un liégeois dans le Limbourg

 

Passé par Sprimont, Comblain, Esneux et l’Ajax Team d’Ostende, Nicolas Gerads est désormais l’entraineur de Bilzen, en première provinciale limbourgeoise. Pour Liège & Basketball, il revient sur sa carrière, ses meilleurs souvenirs, son expérience d’entraineur et son aventure à Bilzen.

 

Nico, depuis combien de temps es-tu à Bilzen?

Cela va faire deux ans et demi. Je jouais là-bas mais j’ai été lourdement blessé au dos et j’ai dû me faire opérer pour mes hernies discales. Je ne peux désormais plus jouer.

Et comment en es-tu arrivé à reprendre les rênes de l’équipe?

C’était Zecevic qui était notre entraineur mais il a été viré à mi-saison. Peut-être était-il trop « pro » pour cette équipe. Nous étions derniers en R2. Les joueurs ont pensé à moi pour le remplacer et le club me l’a proposé. J’ai accepté. Cela s’est bien passé mais nous sommes descendus en P1.

Quand Nico était encore joueur.

Avais-tu déjà tâté du coaching auparavant?

J’entraine depuis douze ans et j’ai toujours entrainé, sauf lorsque j’étais à l’Ajax Team d’Ostende. J’ai déjà coaché en P3 à Comblain et à Awans.

Qu’apprécies-tu particulièrement dans le coaching?

Cela me permet de rester en contact avec le monde du basket. J’aime réfléchir à des systèmes pour contrer nos adversaires, mettre en place des stratégies. Je vais d’ailleurs parfois filmer nos concurrents.

Jouer ne te manque pas?

Si, parfois. Surtout quand mes joueurs ne font pas ce que je demande (rires). J’ai parfois envie de rentrer sur le terrain pour relancer la machine.

 

 

« Nous réalisons une bonne saison »

 

Comment as-tu atterri à Bilzen?

Lorsque j’ai quitté Ostende, j’avais des contacts avec des clubs de D1 mais cela ne se goupillait pas avec les études. J’ai donc arrêter d’espérer passer pro et j’ai alors joué à Esneux et Comblain. C’est Dimitri Massot, qui est un ami qui m’a convaincu de rejoindre Bilzen, où le projet était séduisant.

Cette saison semble se passer parfaitement puisque vous êtes troisièmes mais avec deux matchs de moins. Monter est votre objectif?

En début de saison, le comité a construit une équipe pour atteindre la demi-finale de la Coupe et jouer la tête. Je suis donc satisfait et nous jouons pour tout gagner. Nous allons bientôt aborder de gros matchs. Fin février et le mois de mars seront costauds.

Benjamin amène toute son expérience et son talent.

Des « Liégeois » évoluent sous ta férule, comment cela se passe-t-il pour eux?

Pour Jean Delva, c’est sa première année et il lui a fallu un petit temps d’adaptation car il avait arrêté durant une saison. Benjamin Thelen possède, lui, un niveau bien supérieur à la division, ce qui est parfois difficile pour lui, avec l’arbitrage notamment. Mais il remplace parfaitement Zecevic et apporte toute son expérience.

Sais-tu déjà si tu resteras au club la saison prochaine?

Si les objectifs sont atteints, il est possible que je change d’horizon. Je ne cherche rien de précis, j’ai quelques contacts en Flandres mais tout dépend aussi du contexte familial car j’ai deux filles. J’aimerais continuer à coacher, mais ce n’est pas obligatoire. J’apprécie avoir mon mot à dire sur l’équipe. Ce que j’aime, c’est disposer de dix gars motivés, pas besoin qu’ils soient forcément talentueux. Par exemple, je trouve remarquable le boulot effectué par Quentin Pincemail à Tilff.

 

 

« L’Ajax Team, une aventure à vivre »

 

Quel est le niveau en P1 limbourgeoise?

C’est difficile à dire même si nous avons déjà joué contre plusieurs équipes qui évoluent en R1 AWBB. Il y a beaucoup d’équipes B ou C de clubs flamands qui figurent en Nationale. Par exemple, nous avons perdu de quinze points contre Houthalen C. Là-bas, il y a trente gars qui peuvent évoluer dans les trois équipes du club. Cela fausse un peu le championnat. Le physique est sans doute un peu différent également. Dans notre équipe, nous avons trois joueurs qui culminent à plus de deux mètres et plusieurs autres qui mesurent plus d’un mètre nonante.

Tu évoquais l’Ajax Team, quels souvenirs gardes-tu de cet épisode de ta vie?

Frans De Boeck avait une énorme connaissance basket et une grande motivation. C’est un truc à vivre quand tu es passionné. Nous avions trois entrainements par semaine, dont le premier à 6h30 avant d’aller à l’école. C’était vraiment d’excellentes conditions pour progresser.

 

 

« Une super ambiance à Comblain »

 

Que retiens-tu de tes passages à Comblain?

Lors de mon premier passage, je suis sans doute venu trop tôt, le changement avec Ostende était un peu brutal. Lors de ma deuxième aventure comblinoise, nous avions une ambiance incroyable avec Lemoine, Bosard, Hazée.

Tu as également passé quelques saisons sous le maillot d’Esneux. Que gardes-tu en mémoire de ces années-là?

C’était très bien. Nous ne parlions pas d’argent, le club était familial. On apprécie ou pas Didier Longueville mais il se donne à fond pour son club et cherche toujours des moyens pour contrer l’adversaire. Nous étions parvenus à monter malgré notre jeunesse.

Quels sont tes meilleurs souvenirs liés au basketball?

En jeunes, mon premier titre de champion de Belgique avec Sprimont ainsi que la formation à Ostende. Cela reste une fierté d’avoir été choisi. L’ambiance à Comblain demeure également un excellent souvenir.

Kabangu pour jouer les pompiers de service à Ninane

 

Le titre de cet article est volontairement humoristique pour cadrer avec la photo qui l’illustre. Il n’en reste pas moins qu’Alija Kabangu apportera un vrai plus la saison prochaine à l’atypique raquette calidifontaine. Celle-ci manquait parfois de taille et de muscle par rapport à ses adversaires. Olivier Matray, grand ami de la nouvelle recrue et assistant de Marc Hawley en TDM1, se confie sur cette arrivée.

 

Oli, Kabangu est-il le point d’ancrage qui vous manquait dans la peinture?

Oui, Ali nous apportera un peu de muscle dans la raquette, ce qui ne fera pas de mal. Les vrais postes cinq sont des denrées rares à Liège. De plus, il a déjà joué chez nous, il a une super mentalité, connait parfaitement le club et la manière de fonctionner du coach. Ce n’est donc que du positif.

A titre personnel, vu votre amitié, cette arrivée doit te réjouir?

Oui, bien sûr. A titre personnel aussi, je suis très heureux qu’Ali revienne à Ninane. C’est un ami de longue date, avec qui j’ai joué durant plusieurs saisons, à l’Etoile en R1 et à Ninane en D3. De plus, nous nous téléphonons régulièrement et nous voyons beaucoup en dehors du basket. J’ai hâte de pouvoir bosser avec lui.

 

Les filles du Mosa Angleur brigueront la Coupe AWBB à Spa

 

Le programme des finales de Coupe AWBB est connu et, parmi les équipes seniors, deux formations liégeoises brigueront le trophée.

 

Pour le seul match du vendredi soir, ce seront les filles du Mosa Angleur qui affronteront Basket Namur Capitale le 9 mars à 20h45. Après avoir créé l’exploit en quart de finale en battant Ottignies et s’être brillamment qualifié pour la finale aux dépens de Fleurus, Angleur voudra ramener le trophée à la maison.

Le samedi à 21h, dans la catégorie masculine, ce sera Sainte Walburge qui rencontrera Belgrade. Les Liégeois, qui ont privé les Spadois d’une finale à domicile, auront là une superbe opportunité de remporter une victoire qui offrirait à leur saison une toute autre saveur.

Les finales se disputant à Spa, espérons que les spectateurs de notre province se déplacent en nombre afin de d’offrir un adjuvant positif à nos représentants.

Grosse ambiance et beau derby à Tilff

 

Ce samedi, Tilff accueille Ninane pour un chouette derby de R2. Pour l’occasion, les Porais ont voulu marquer le coup et organiser une vraie fête du basket liégeois.

 

« Nous voulions appuyer l’évènement car au match aller, il n’y avait guère de supporters et peu d’ambiance, ce qui est un dommage pour un derby » déclare Gauthier Deflandre, Président de Tilff. Alors que les deux équipes P2 des locaux joueront avant, Gauthier espère avoir une belle assistance pour la rencontre de R2. Et pour cela, les Porais ont décidé de marquer le coup. « Le club de danse d’Alleur viendra pour faire des animations durant la rencontre et une démo à la mi-temps » continue Gauthier. « Il y aura également un deejay et, grâce à un partenariat avec Marc Marnette, un concours sera organisé et des lots pourront être gagnés. »

Tilff souhaite une grosse ambiance pour cette rencontre et en faire une belle propagande pour notre sport. « Notre traditionnel tambour sera de la partie et Luc Dubois m’a assuré que des Ninanais se déplaceront pour l’occasion » enchaîne le sympathique Président. « Un partenariat avec Jean Thonus nous permettra d’installer un bar « Val-Dieu » dans le fond de la salle. »

Pour les amateurs de basketball, c’est donc à Tilff qu’il faudra se rendre ce samedi pour un derby endiablé, sur le terrain et tout autour.

Vague de départs à Dison-Andrimont

 

La saison de Dison est plus que délicate, nous l’avons déjà écrit. Le club verviétois enregistre la défection de Benjamin Liégeois qui a décidé de rendre son équipement et note le départ, à la fin de la saison, de Sebo Lussadissu.

 

« Il y a pas mal de tensions dans l’équipe » nous confie Sebo Lussadissu. « L’arrêt de Benjamin est vraiment une déception, tant collective que personnelle mais ce n’est pas un gamin. Il sait pourquoi il a pris cette décision, j’en ai discuté avec lui et je suis obligé de respecter son choix. » Pour Sebo, qui avait développé une vraie connexion avec son meneur, c’est évidemment une perte dommageable. « Cela va me manquer de ne plus avoir mon « partner in crime » pour la fin de la saison » continue le Disonnais.

Sebo aussi quittera Dison-Andrimont, mais au terme de la saison. « L’équipe a complètement splitté » nous explique-t-il. « Je n’ai pas spécialement défini la division dans laquelle je veux jouer mais je souhaite un club qui favorise l’évolution des joueurs et qui pratique un bon basket. »

Avec ses qualités intrinsèques, l’explosif scoreur ne devrait pas manquer d’être courtisé. Et pourquoi pas un retour au Haut-Pré où le style de jeu pratiqué par l’équipe d’Yves Dehousse permettrait à Sebo de continuer à faire des ravages.