Sprimont complète son effectif avec l’arrivée de Doneux

 

L’arrivée de Simon Doneux à Sprimont permet aux Carriers de boucler leur recrutement et de présenter un noyau compétitif pour la saison à venir.

 

L’intérieur spadois troquera le bleu contre le vert la saison prochaine. « Je respecte totalement le choix de Simon. Ses raisons sont louables » nous informe son ex-futur entraineur, Bruno Dagnely, qui comptera sur un groupe de dix joueurs la saison prochaine.

La venue de Simon Doneux, en provenance de Spa, clôt la campagne de recrutement du Point Chaud. L’effectif des Carriers sera donc composé de Perrier, Delhaye, Robin Malpas, Jérôme Flagothier, Wuidar, Florian Forthomme, Maxime Notelaers, Steve Lenglois, Simon Doneux ainsi que de  Thielen et Corbusier qui seront également inscrits dans le groupe P2 (ndlr: la P3 de Sprimont est en bonne voie pour monter). « Je suis super content » sourit le nouvel entraineur sprimontois, Vincent Degives. « Je souhaitais augmenter la compétition au sein de l’effectif et le rajeunir. Je pense que nous y sommes parvenus, tout en possédant des gars qui ont de l’expérience dans la division. »

 

Un noyau qui a de la gueule et qui promet. Pas de quoi, cependant, tirer des plans sur la comète. « C’est franchement difficile de se fixer des objectifs précis » nuance l’ancien pivot des Carriers. « Cela dépendra d’abord de la série et des qualités de la concurrence. De plus, ce sera un nouveau groupe, avec un nouveau coach. Nous pourrons réellement nous fixer un objectif après quelques semaines de compétition, lorsque nous verrons un peu mieux comment cela tourne chez nous et chez nos adversaires. »

 

Be at ease with B.Ease

 

Nouveau venu dans l’univers de la basket, « B.Ease » veut fournir aux basketteurs des chaussures confortables et abordables tout en étant à l’écoute de ses consommateurs dans l’élaboration des différents modèles. Engagé dans une campagne participative sur Kickstarter pour récolter des fonds afin de lancer la production de ces nouvelles sneakers, Eric Remond, un des instigateurs du projet, nous parle de sa marque.

 

Eric, tu es un passionné de la balle orange?

Tout à fait, j’adore ce sport depuis mon plus jeune âge, je suis joueur amateur. En parallèle, je suis chef de produits dans l’industrie du sport.

 

Comment l’idée de lancer une marque de sneakers a-t-elle vu le jour?

La basket m’a toujours passionné. J’étais d’ailleurs chef de produits pour un site spécialisé dans la vente d’articles de basket. J’avais l’occasion d’essayer beaucoup de chaussures. J’avais du mal à trouver des modèles qui me correspondaient et avec un confort identique à celui que l’on pouvait obtenir dans les années 2000. De plus, je trouvais que nous étions dans un « diktat » marketing et que ce que pensait ou éprouvait le consommateur n’avait pas d’intérêt. J’ai eu envie de créer quelque chose qui me corresponde. Après avoir interrogé plus de 300 pratiquants, je me suis rendu compte que mon ressenti n’était pas si isolé.

Que signifie le nom de la marque, B.Ease?

B pour basketball, Ease pour simplicité. « Be at ease » peut se traduire par « être à l’aise ». C’est la signification même du projet.

 

Quel est l’ADN de la marque?

Celui-ci est constitué de deux volets primordiaux. Le premier aspect est la volonté pour notre marque d’être participative, tant avec les utilisateurs pour élaborer les modèles en fonction de leurs attentes et besoin qu’avec les professionnels de la santé pour réduire les traumatismes liés à ce sport. Le second aspect est lié au style et au confort. Nous voulons être sobres mais stylés sans négliger le confort et en positionnant le prix au plus juste.

Quelles sont les ambitions à moyen terme?

A moyen terme, nous voulons pouvoir développer des outils afin d’échanger avec les utilisateurs. Nous n’avons pas d’objectifs commerciaux ou de parts de marché à conquérir. Nous souhaitons nous axer sur la qualité. Nous préférons mesurer la satisfaction client que celle du chiffre d’affaires. Peut- être sommes nous en train de nous tromper et qu’il n’y a que le marketing qui compte…mais au moins nous aurons tenté de proposer quelque chose d’humain et de différent.

 

 

« L’utilisateur au centre des préoccupations »

 

Est-ce difficile de percer sur le marché de la basket?

Très difficile! Le marché est gouverné par un géant qui impose de nombreuses obligations aux distributeurs. C’est un état de quasi monopole et nous pensons qu’à l’avenir le consommateur risque de n’être plus au centre de l’attention.

Certaines marques ou sociétés vous inspirent-elles?

J’apprécie beaucoup la marque Raidlight, active dans le trail,  qui est beaucoup à l’écoute de ses utilisateurs. Cette compagnie anime et teste les produits avec des coureurs, sans pour autant que ce soit les ténors de la discipline. Je retrouve le côté humain que nous privilégions chez B.Ease.

Où sont confectionnées les chaussures? Sont-elles personnalisables? Comment faire pour en commander?

Nous développons les produits en France. Nous souhaitons être dans un modèle économique nous permettant de travailler avec des revendeurs et d’avoir une qualité de produit très intéressante. Pour cela, nous avons fait le choix de collaborer avec une usine de production hors Europe. Nous collaborons avec un consultant pour s’assurer des respects des conditions sur place.

Déplacement délicat pour Liège Basket

 

Déplacement difficile pour Liège Basket à Alost ce samedi. Au Country Hall, Liège avait bu la tasse face aux Okapis. Le scénario ne peut se répéter pour des Principautaires que la victoire boude depuis trop longtemps.

 

Après avoir profité d’une respiration salutaire grâce aux nouvelles fenêtres internationales, Liège Basket renouera avec la compétition ce samedi au Forum d’Alost. Un déplacement difficile, une rencontre délicate, mais il est temps que les Principautaires renouent avec la victoire sous peine de continuer leur lente mais inoxerable descente au classement.

Face aux anciens du club, Olivier Troisfontaines et Justin Kohajda, Liège doit retrouver sa folie offensive tout en améliorant son rendement en défense. A ce titre, la polyvalence de François Lhoest sera, à nouveau très précieuse. L’ancien capitaine du BC Ninane a vu son contrat prolongé et portera toujours le maillot à rayures la saison prochaine. « Je suis très contente que l’aventure continue. Pour lui d’abord mais aussi pour ses enfants qui adorent le basket. Même si je dois bien avouer que ce n’est pas tous les jours facile au niveau de l’organisation » nous confie son épouse, Caroline. « Je ne suis pas surprise, d’ailleurs Sa capacité à défendre est un atout précieux. De plus, Franz est combatif, très rigoureux dans la tâche à accomplir. Pour y parvenir, il n’a pas peur de se surpasser. Et je pense qu’il n’a pas encore atteint sa puissance maximale! »

Liège Basket aura bien besoin de son trentenaires en pleine forme, Jordan étant toujours préservé pour cette rencontre.

Recrutement bouclé à Spa

 

Le noyau de Spa sera profondément différent la saison prochaine. Des départs et des arrivées, tant au niveau du staff que de l’effectif, mais les Spadois ont désormais bouclé leur recrutement.

 

Thomas Doneux ne sera plus à la tête de la formation spadoise en TDM2 la saison prochaine. Pour le remplacer, le comité des Bobelins a mis en place des promotions internes. Bruno Dagnely, le mentor de la P1, reprend l’équipe fanion du club tandis qu’Antoine Massart, entraineur de la P2 locale prendra les rênes de la formation qui milite au sein de notre élite provinciale.

Au niveau de l’effectif, les départs de Fred Delsaute et Gaetan Hertay à SFX-Saint Michel et de Deblond et Julémont devaient être comblé. C’est désormais chose faites avec les arrivées de Romain Nicaise, Pierrick van den Brule, Nicolas Franck, Benjamin Liégeois et Julien Walravens. Ce dernier transfert, en provenance de Sprimont, est d’ailleurs un joli coup du club de la Cité Thermale. « Oui, il permettra de compenser la perte de Fred et Gaetan au scoring. Il nous fallait quelqu’un qui connaisse la division, en plus des anciens qui restent au club. Son arrivée nous a permis de boucler notre effectif et j’en suis heureux car, depuis plusieurs semaines, nous bossons là-dessus presque tous les soirs » se félicite Bruno Dagnely, visiblement très satisfait de ces nouvelles arrivées. « Ce sont de jeunes talents et de chouettes gars, bien éduqués. Ce sont des battants, qui jouent collectif et colleront parfaitement à notre style de jeu » ajoute-t-il.

Cette campagne de recrutement bouclée, le club spadois se projette dans l’avenir. « Nous souhaitons créer un groupe qui perdure et se solidifie sur plusieurs années. Nous sommes un club stable, qui laisse le temps aux joueurs d’évoluer et leur permet de s’épanouir dans plusieurs équipes au besoin » continue Bruno qui se fixe certains objectifs pour la future saison. « Nous souhaitons avoir un rôle à jouer au sein de la série et évoluer du mieux possible avec la ferme volonté d’embêter les grosses armadas » conclut-il

A noter que Simon Doneux troquera le bleu contre le vert la saison prochaine et rejoint Sprimont« Je respecte totalement le choix de Simon. Ses raisons sont louables » nous informe son ex-futur entraineur, Bruno Dagnely,

 

« Une finale ne se joue pas, elle se gagne! »

 

La finale de la Coupe de la Province approche à grands pas. Samedi, à Aubel, L’Etoile Jupille et Waremme croiseront le fer pour décrocher le trophée. Julien Van Roy fait le point à deux jours du grand rendez-vous.

 

Julien, la différence de division entre vos deux équipes est-elle prépondérante dans une finale?

Waremme est le favori de cette rencontre. Les Wawas évoluent en P1 et forment une équipe expérimentée et composée de plusieurs joueurs ayant joué en nationale auparavant.

Les cinq points d’avance dont vous bénéficierez à l’entame de la partie modifieront-ils votre stratégie?

Ce léger viatique ne changera absolument rien à notre jeu. C’est évidemment un avantage de démarrer avec cinq points d’avance mais encore faut-il pouvoir les conserver et ne pas se prendre deux bombes directement. Waremme possède de gros shooteurs dans ses rangs, nous le savons.

Quels sont les facteurs qui peuvent faire pencher la balance en votre faveur?

Nous sommes une équipe complète et nous devrons rester dans nos systèmes de jeu. Je suis allé voir notre adversaire en demi-finale, il lui manquait un pivot. S’il est encore absent, je pense que c’est en-dessous que le match va se jouer. Peter Tandler sera primordial dans cette rencontre et j’espère que Guillaume Grégoire nous refera le même début de match que lors du quart de finale contre Aubel.

Que représenterai pour vous de remporter cette Coupe?

La victoire serait magnifique pour nous, c’est indéniable, et encore plus si nous allons chercher le titre en championnat. Un doublé serait exceptionnel. Nous ne nous doutions pas que nous irions si loin dans cette compétition car nous savions que nous allions rencontrer plusieurs formations de P1. Mais c’est là toute la beauté de la Coupe provinciale! Peu importe le résultat samedi, j’estime que nous pouvons être fiers de ce que nous avons déjà accompli, en grande partie grâce à l’excellente ambiance qui règne entre nous. Toutefois, nous sommes parvenus en finale, nous allons donc tout faire pour la gagner. Comme dirait notre mentor: « une finale ne se joue pas, elle se gagne. »

 

Un grand pas vers le maintien en cas de victoire

 

Ce dimanche, Pepinster peut faire un grand pas vers le maintien en cas de victoire face à Laarne.

 

Les Pépines se sont inclinées lors du premier match des Playdowns, dimanche dernier contre Willebroek. « C’était un peu le même scénario que lorsque nous avons affronté cette équipe en saison régulière » nous explique Antoine Braibant. « Nous avons pris un éclat en début de match mais, cette fois-ci, nos adversaires ne nous ont pas laissé revenir dans la rencontre. »

Pour l’occasion, Pepinster avait intégré le Hall du Paire. « Malheureusement, la salle sonnait un peu vide, ce qui a peut-être un peu déstabilisé mes joueuses » précise le mentor verviétois qui ne se cherche pas d’excuses pour autant.

Ce dimanche, c’est Laarne qui se présentera face aux ouailles d’Antoine. Une équipe que les Pépines avaient dominé lors de la dernière rencontre de la phase classique. « C’est pour moi l’équipe la plus faible du championnat » souligne le jeune mais expérimenté entraîneur. « Nous devons nous imposer, ce qui serait un grand pas vers le maintien. »

Et lorsque nous lui posons la question de savoir s’il sera toujours à la barre de l’équipe verviétoise la saison prochaine, la réponse d’Antoine fuse, sans ambages. « Si nous sommes toujours en D1 la saison prochaine, je reste à Pepinster.« 

Michael Petit sera en vert la saison prochaine

 

Ans se veut ambitieux pour la saison prochaine. Pour coller à ses ambitions, le comité ansois a convaincu Stéphane Mossay de prolonger son bail au club et entérine l’arrivée de Michael Petit.

 

Embarqué dans une saison galère au niveau collectif, Michael Petit a également connu les affres de la blessure. « Cela m’a fait du bien de jouer ce weekend, cela me démangeait depuis un certain temps » sourit le pivot verviétois. « Et je n’ai ressenti aucune douleur, c’est positif. »

La saison prochaine, Michael portera le maillot vert d’Ans. « J’avais envie de continuer en régionale » nous explique le sympathique géant. « Je ne connais pas personnellement les joueurs mais c’est une équipe compétitive en régionale. »

La saison prochaine, Ans se voudra ambitieux. « Le comité souhaite construire une équipe compétitive pour, au moins, aller en Playoffs » se réjouissait Stéphane Mossay. L’arrivée de Michael Petit devrait aider les Ansois à concrétiser leurs ambitions.

« Un titre avant de partir à Harimalia »

 

La troisième provinciale de Sprimont réalise un parcours -presque- sans faute, dix-sept victoires en dix-huit rencontres, et semble promise à rafler le titre en fin de saison. Marc Braconnier, capitaine de route de cette jeune formation, revient sur l’épopée sprimontoise et son propre parcours.

 

Marc, depuis combien de temps évolues-tu à Sprimont?

Cela fait trois ans. Auparavant, j’ai joué à Esneux, comme jeune sur le banc de la D3, à Neuville en P1 et à Haut-Pré avec qui je suis monté de P2 en P1.

Qu’est ce qui a favorisé ta venue chez les Carriers?

Je coachais déjà à Sprimont depuis un an lorsque la direction du club m’a proposé le projet jeune qu’elle souhaitait mettre en place. Il s’agissait d’accompagner la jeune équipe de P3 dans un projet à moyen terme afin de comblé le fossé qui existait entre les deux premières équipes seniors. Je connaissais une partie des jeunes de l’équipe et ce projet m’a séduit.

Comment se sont passées ces trois années?

Plutôt bien. Nous avons terminé troisièmes lors de notre première saison mais l’équipe a éclaté. Nous avons reconstruit et avons, à nouveau, obtenu la troisième place. Ceci dit, sans un forfait, nous serions montés. Et cette année, nous faisons la course en tête.

La montée était l’objectif affiché. Tu t’attendais à une telle saison?

A être leader de la série, oui, car c’était notre ambition. A dominer à ce point, pas forcément. Nous n’avons connu qu’une seule fois la défaite, d’un point contre Saint Vith. C’est assez remarquable.

 

 

« Capable d’imprimer un gros rythme »

 

A quoi ce succès est-il dû?

Nous sommes une équipe jeune, très rapide et capable d’imprimer un rythme important durant quarante minutes. Peu d’équipes peuvent tenir la distance sur l’entièreté d’un match.

Marc quittera Sprimont en fin de saison.

Beaucoup d’observateurs jugent la série C de P3 comme la plus dense. Que penses-tu votre série (ndlr: la A)?

Tout le monde ne sera pas forcément d’accord. C’est vrai qu’en P3C, tout le monde semble capable de battre tout le monde. Mais, même si nous sommes sans doute au-dessus du lot dans notre série, celle-ci est relativement homogène et nous assistons régulièrement à des surprises.

Toi qui a joué plus haut, as-tu dû adapter ton jeu à la troisième provinciale?

Pas spécialement au vu des qualités et du jeu pratiqué par mon équipe. Par rapport à l’adversaire, c’est vrai qu’il y a parfois moins de répondant.

 

 

« A Harimalia la saison prochaine »

 

Qu’est ce qui qui te plaît tant à Sprimont?

C’est un club  avec un esprit familial et le projet jeune, dont je suis le capitaine de route afin de guider mes partenaires, me plaît.

Pourtant, tu quitteras le club en fin de saison…

Oui, je pense que nous sommes arrivés à la fin d’un cycle et que le groupe n’a plus vraiment besoin de moi dans le rôle qui est le mien. De plus, j’ai des horaires particuliers et cela devenait compliqué au niveau des trajets.

Où joueras-tu la saison prochaine?

J’évoluerai à Harimalia, sous les ordres de Johnny Bantuelle.

Mais avant ça, d’abord remporter le titre avec Sprimont?

Oui, même si ce n’est pas encore acquis. Il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué et nous devrons jouer tous nos matchs avec la même envie pour être sacrés en fin de saison.

Aubel, épicentre du basket liégeois ce weekend

 

Ce weekend, Aubel accueillera les finales des Coupes de la Province. Spectacle et ambiance garantis, sur le terrain et tout autour, pour deux jours où la salle des Herbagers sera l’épicentre du basket liégeois.

 

Si les frimas de l’hiver glacent les sangs ces derniers jours, la température devrait monter en flèche dans l’antre d’Aubel ce weekend. Et pour cause, pas moins de neuf finales de Coupe seront disputées, à cheval sur deux jours, avec en point d’orgue, la finale messieurs le samedi à 20h et celle des dames le dimanche à 17h pour clore deux jours où le basket sera mis à l’honneur.

Pour l’occasion, le comité aubelois n’a pas ménagé ses efforts et proposera de quoi ravir les petits et les grands. Outre plusieurs bars pour étancher la soif des spectateurs et celles des vainqueurs -et des vaincus!- et une petite restauration (assiettes apéritives, pâtes diverses, bonbons, sandwichs) prévue pour se sustenter, des animations sont programmées pour les différentes rencontres. Une instabox sera également installée pour que chacun puisse garder de délicieux souvenirs de sa participation à cet événement où l’ambiance sera au rendez-vous.

Le programme du samedi débutera dès 9h30 par le match des cadettes du 4A Aywaille contre celles de Prayon. Sprimont débarquera ensuite en force pour trois rencontres: en pupilles filles contre Esneux, en cadets contre le Visé de Frans De Boeck et en minimes filles contre Spa. La dernière partie de la journée sera dédiée à la finale tant attendue entre l’Etoile Jupille et Waremme.

 

 

« Cinq Coupes pour Esneux? »

 

Les Jupillois, bien partis pour être sacré champions en P2, auront à cœur de réussir le doublé. « Nous voulons offrir cette coupe à notre entraîneur, Michel Nihon, pour tout ce qu’il apporte au club » nous confiait, voici quelques semaines, Nathan Servais. Face à Van Roy et consorts –qui avaient sorti Aubel en quart de finale– se dressent les Wawas. Si pas mal de changements sont à prévoir du côté de Waremme pour la saison prochaine, les Rouge et Blanc voudront s’adjuger le trophée pour embellir une saison relativement terne.

Le dimanche, les hostilités débuteront à 10h pour la finale des minimes garçons de Sainte Walburge contre Angleur. On retrouvera ensuite les Sang et Marine pour le duel contre Haneffe en pupilles garçons. A 14h30, la finale juniors opposera Bellaire à Awans. Et enfin, clou du spectacle, la finale dames entre Spa et Esneux mettra un terme à ce weekend d’exception. Tout aussi exceptionnel, la possibilité pour l’équipe de Julien Schreiber de s’adjuger une cinquième Coupe sur ses six dernières participations.

Nul besoin de vous faire un dessin, ce weekend, c’est à Aubel que cela se passe!

 

 

 

Pari réussi pour Tilff

 

Pari réussi à Tilff ce samedi où le spectacle fut présent partout, sur le terrain et en dehors. Une magnifique propagande pour le basket liégeois!

 

« Plus de 350 personnes, une ambiance au top, un match palpitant et beaucoup de compliments reçus pour cet évènement » se félicite Gauthier Deflandre. « L’atmosphère était vraiment géniale » continue Franck Renna qui évolue au sein de la R2 calidifontaine. « La salle était remplie, le public a répondu présent à l’invitation de Tilff et a mis beaucoup d’ambiance. »

Son entraîneur, Olivier Matray ne dit pas le contraire. « Je pense que les spectateurs neutres ont apprécié le spectacle. C’est un réel bonheur d’évoluer dans ces conditions » sourit Oli. Ce que ne manque également pas de souligner Quentin Pincemail. « Au-delà de la déception de la défaite, cette soirée fut une belle propagande pour le basket » reconnait le mentor porais.

Une salle bondée.

Car sur le terrain, c’est Ninane qui s’est imposé d’une courte tête. « Nous devons cette victoire à l’envie que nous avons affichée, au combat que nous avons livré et, surtout, à notre excellente défense qui nous a permis de partir en contre-attaque » nous explique Franck Renna. « Le discours de MacFly à la mi-temps nous a boosté. Grâce à cela, nous nous sommes remobilisés et entraidés durant les vingt minutes suivantes pour aller chercher la victoire. » Et d’ajouter: « Tilff est revenu à égalité en toute fin de rencontre mais nous sommes parvenus à nous imposer. Ce fut vraiment un gros match de notre part et un superbe derby. »

Tant chez les acteurs que chez les spectateurs de la rencontre, les avis furent unanimes et la cafétaria locale a vibré jusqu’aux petites lueurs de l’aube. Des derbies pareils, on en redemande!