Le second round face à l’Allemagne a prouvé la « wembanyama dépendance » de l’équipe de France.
Sans Victor Wembanyama, l’équipe de France est nettement moins dangereuse des deux côtés du terrain. Batum (11 points), Coulibaly (11 également) et Fournier (10 unités) avaient beau se charger du scoring, les Français étaient bien moins dominateurs que deux jours plus tôt. De quoi voir les Teutons de Wagner (17 points) et Schröder (17 unités aussi) s’imposer 70-65.