« Nous ne comptons pas nous arrêter là »

Martin Randaxhe revient sur le court revers d’Atlas contre la Serbie et sur le prochain match qui s’annonce à nouveau passionnant contre une équipe de Chine qui évoluera à domicile.

Martin, face à la Serbie, vous êtes passés à un fifrelin de décrocher la victoire et la qualification pour les demi-finales de ce Championnat du Monde Interscolaire. Que vous a-t-il manqué pour vaincre les Serbes ?

Ce match s’est joué sur des détails. Quelques balles perdues évitables, quelques layups ratés : cela a fait la différence. Nous n’avons pas non plus été aidés par les arbitres qui nous sanctionnaient à chaque contact alors qu’ils étaient beaucoup plus tolérants envers nos adversaires.

Une fois la déception passée, comment comptez-vous aborder la suite du tournoi ?

Nous allons mettre ce match-ci derrière nous et nous concentrer sur les suivants parce que nous n’allons pas nous arrêter là.

Vous allez désormais disputer deux matchs pour le classement des places 5 à 8 dont le premier contre la Chine lundi.

Ce sera un match aussi dur et peut-être même encore plus dur que contre la Serbie car les Chinois évolueront à domicile. Mais comme depuis le début de la compétition, nous allons tout donner et ne rien lâcher, quoi qu’il arrive.

Qui vois-tu comme favori pour le titre ?

Il y a trois favoris qui se dégagent : la Grèce, la France et la Turquie. Pour moi, ce seront ces trois équipes sur le podium. S’il est impossible de prédire qui sera sur la plus haute marche, moi, j’ai bien aimé voir jouer les Grecs.