Comme Maxime Halkin, de nombreux basketteurs sont privés de la plupart des activités qui font le sel de l’existence. Entretien.
Max, comme à peu près tous les secteurs, le sport amateur est désormais à l’arrêt.
Je ne suis pas surpris et je crois que tout le monde s’y attendait. Les décisions gouvernementales ont un goût amer mais sont logiques vu la situation actuelle.
Qu’est-ce qui te manque le plus ?
C’est de me rendre à l’entrainement pour m’entrainer, retrouver l’équipe, passer un bon moment tous ensemble. Dès la reprise, aller à l’entrainement me permettait de me changer les idées car le virus a changé nos vies depuis son apparition. Etant donné qu’il n’y a plus grand chose à faire, je ne suis plus guère sorti de chez moi ces derniers temps.
En vue d’une éventuelle reprise, quelle solution remporte tes suffrages ?
Il me semble que la saison blanche est la meilleure solution car je pense que le virus sera toujours présent après janvier. Personnellement, je serais heureux si nous pouvons tout simplement reprendre le basket, disputer des matchs – même amicaux – pour y retrouver un peu de cette adrénaline qu’ils peuvent procurer.
Comment entretiens-tu ta condition physique ?
J’espérais initialement pouvoir continuer à jouer au tennis. Comme ce n’est plus possible et que les possibilités sont limitées, je n’ai pas le choix que de me mettre à la course à pied même si je ne suis pas un grand fan de cette discipline.