Aller courir ou faire du vélo, très peu pour Julien Walravens qui gardait un pied dans le basket grâce à son job de coach des U12 d’Aubel. Interview.
Julien, voilà le basket à l’arrêt.
Pour rester bref, je ne comprends pas les décisions du gouvernement. Le basket me manque déjà ! Heureusement que je coache les U12 d’Aubel, cela me permet, en quelque sorte, de continuer le basket.
Les enfants doivent être ravis de pouvoir continuer à pratiquer leur sport favori.
Oui, ils sont tous très contents de pouvoir continuer et très déçus lorsqu’ils sont en quarantaine. J’espère pour eux que cela ne changera pas, ils en ont tellement besoin.
Quelle option à tes faveurs pour une éventuelle reprise de la saison quand le contexte sera davantage favorable ?
Personnellement, je suis pour une saison blanche depuis le début. Il ne faut pas se prendre la tête, on joue les match qu’on peut et c’est tout. Du coup, pas de montant ni de descendant.
Vas-tu entretenir ta condition physique pendant cette pause forcée ?
Pour être franc, non. Les seuls moyens d’entretenir ma condition physique sont d’aller courir et de faire du vélo et ce n’est absolument pas mon truc (rires).
N.B. : cet entretien a été réalisé avant que le gouvernement annonce, vendredi, un retour à un confinement général jusqu’au 16 décembre.