A Saint-Vith, Pepinster s’est tiré une balle dans le pied et a vu Jean-Luc Selicki et ses coéquipiers finir par émerger. Chris Francot, coach de la P3 pepine, revient sur cette rencontre.
Chris, première chose dont Liège & Basketball avait parlé: le retour sur les parquets de Jean-Luc Selicki. Surprenant?
Il a joué et il a couru, c’est incroyable pour un gars de son âge!
Vous vous êtes inclinés 57-53 alors que vous aviez pourtant la main-mise sur la rencontre…
Quand on mène de vingt-deux points à dix minutes de la fin, c’est inadmissible de perdre. Malgré les circonstances, nous ne pouvons nous en prendre qu’à nous-mêmes. Saint-Vith a joué avec ses tripes dans le dernier quart et la réussite leur a souri au même moment pendant que nous restions amorphes.
Que vous a-t-il manqué pour arracher la victoire?
Un cerveau, de la réussite et un arbitrage un peu plus juste. Mes deux meneurs furent exclus, l’un pour deux techniques et l’autre pour deux volontaires. Je suis vraiment très déçu mais la saison est longue.
