« Ces cinq minutes après une grande victoire à l’extérieur »

    

Qu’est ce qui pousse les coachs à poursuivre un job aussi stressant, frustrant, difficile?

   

Entraineur, un job et une passion difficile, stressante, frustrante, tellement à part. Qu’est ce qui pousse un individu à se lancer dans le coaching, y consacrant son temps, son énergie, sa santé parfois, sacrifiant des soirées en famille ou des sorties entre amis pour être montré du doigt quand les résultats se font attendre et oublié quand l’équipe tourne? Jeff Van Gundy, ancien coach des Knicks et Rockets, désormais consultant, tente une explication. « Il y a l’agonie de la défaite et les petits éclats de joie de la victoire. C’est difficile de comprendre pourquoi les gens entraînent – à moins que vous n’entraîniez. Ces cinq minutes après une grande victoire à l’extérieur, on ne les retrouve dans aucun autre aspect de la vie. Il n’y a pas d’autre extase de ce niveau. Vous ne pouvez pas retrouver la camaraderie que vous ressentez lorsque vous faites partie du staff d’une équipe que vous respectez et et que vous aimez. C’est impossible à retrouver » explique-t-il.

Et vous, qu’en pensez-vous?