« Le coup de chaud de Lionel Werll qui a planté quelques shoots venus de nulle part »

Les Awansois de Nicolas Gerads bouclent le premier tour sur une courte victoire contre Stavelot, 81-79.

Nico, comment avez-vous abordé la réception des Stavelotains ?

Nous devions terminer l’année avec une victoire et nous y sommes parvenus. Nous savions que jouer Stavelot ne serait vraiment pas simple : c’est une très bonne équipe qui, si elle était au complet chaque week-end, serait plus haut dans le classement. Après avoir obtenu une victoire étriquée en Coupe contre les Stavelotains, nous savions à quoi nous attendre. La pièce aurait pu tomber des deux côtés et je suis heureux qu’elle soit tombée du bon (rires).

Que retiens-tu de ce match ?

Je retiens l’abnégation de certains gars pour l’équipe et la volonté de bien faire de tout le monde, même si certains sont déçus de leur temps de jeu. La victoire est là malgré les absences de Collette et Peleeheid pour une certaine durée : main cassée et genou.

Qu’est-ce qui vous a permis d’empocher cette courte victoire avant la trêve hivernale ?

La différence s’est faite, à mes yeux, sur certaines séquences défensives dans le quatrième quart-temps – dommage que cela ne fut pas comme cela tout le match – et, impossible de le cacher, sur certains coups de chaud de Lionel Werll (35 points au total) qui a planté quelques shoots venus de nulle part.

Vous bouclez ce premier tour avec un bilan de sept victoires pour quatre revers.

La trêve tombe à pic – notre dernier match contre Cointe est remis en février – mais nous allons continuer à travailler pour faire un bon deuxième tour afin d’aller chercher le podium.