Dans des conditions rocambolesques, François Sgobba et sa R2 de Prayon se sont inclinés 43-40 à Profondeville. Interview.
François, la situation actuelle est assez compliquée à Prayon.
Exact. J’ai donné deux entrainements à huit sur deux mois. Nous n’étions donc pas du tout prêts à aller jouer à Profondeville, d’autant plus que nous n’avions que six joueuses pour ce déplacement. Arrivés sur place pour jouer à vingt heures, les arbitres ne se sont pas présentés. Nous avons quand même attendu et, finalement, les Sharks ont trouvé un arbitre pour commencer le match à vingt-et-une heures et quinze minutes. C’est difficile à ce niveau pour un arbitre de siffler seul mais il s’en est bien tiré et le match était correct.
Et vous n’êtes finalement pas passés loin de la victoire, ne vous inclinant que 43-40.
Ce résultat reflète notre manque d’entrainements et de présences. Cette rencontre très équilibrée s’est jouée sur des détails. Nous avons manqué de constance dans notre jeu et d’agressivité sur les plans offensif et défensif. Au complet et dans de meilleures conditions, nous aurions pu mieux faire mais nous ne méritions pas plus que les Sharks de gagner. Nous allons faire en sorte de nous reprendre rapidement pour obtenir de meilleurs résultats.