S’il a un peu compensé l’absence de basket par le tennis – au point de gagner deux classements – durant l’été, Tom Ventat reste en manque de son sport favori et des nombreuses facettes de celui-ci. Interview.
Tom, quel bilan fais-tu de 2020 ?
Juste du point de vue basket, aucune compétition n’ayant été à son terme, il n’y a rien de positif à tirer de 2020. Jouer aussi peu – dont une bonne partie à Liers, et en hiver en plus (rires) – est très frustrant. Je me suis un peu consolé avec des tournois de tennis mais les interclubs m’ont manqué aussi.
Es-tu aussi redoutable sur les courts de tennis que sur les parquets ?
(rires) Redoutable, c’est exagéré. Le tennis, c’est du bonus hors-saison mais je suis assez content de celle-ci. J’ai gagné un beau tournoi pendant la prépa basket – et pourtant, finir par un match de tennis après trois matchs de basket sur le weekend, c’était chaud (rires). Cela m’a fait gagner deux classements: voilà donc un point positif pour 2020.
Qu’est-ce qui te manque depuis que le basket est à l’arrêt ?
Au-delà du basket en lui-même et de la compétition c’est toute l’autre facette de notre sport – passer des week-ends dans les salles, voir les potes, évoluer en équipe, etc. – qui me manque terriblement. J’ai l’impression de ne plus avoir qu’à étudier et travailler pour l’unif.
Quels sont tes espoirs pour 2021 ?
Toujours d’un point de vue basket uniquement, c’est de pouvoir rejouer le plus vite possible et regoûter à la compétition.
Crédit photo: PP Photography Amateur