Julien Lemaire revient sur la saison faste de Pepinster en P2A.
Sur la saison:
« C’était une belle saison, très disputée, avec des matchs engagés tous les weekends. Concernant nos résultats, je suis évidemment déçu de nos six défaites car nous n’avons jamais pris de trempe, sauf à Angleur où nous n’avons jamais eu voix au chapitre. Cela aurait pu tomber pour nous mais le basket est un jeu de détails et c’est là que résidait le souci. Néanmoins, nous avons bien progressé au fil de la saison. »
Sur la place sur le podium des Pepins:
« Je ne vais pas mentir et dire que cette troisième place me va… Nous visions la première. Mais au vu des confrontations directes avec Tilff et Ensival, nous méritons cette troisième place. Les leaders furent bien plus réguliers. »
Sur la P2A:
« Nous avions une belle série homogène. Elle avait, selon moi, un niveau plus élevé qu’une simple P2. Plusieurs des équipes qui la composaient pourraient jouer les outisders en P1. Et au niveau « compèt », nous nous cognions bien sur le terrain avec un peu de trash talk mais après c’était cool et nous pouvions discuter et boire des verres. C’était vraiment super de, chaque weekend, pouvoir faire la guerre puis la fête. »
Sur ses propres prestations:
« J’ai mis du temps à me remettre dedans… L’année dernière, je n’ai plus rien fait à partir de janvier: ni entrainement, ni match à cause d’une blessure au pied. Ce n’est vraiment qu’à partir d’octobre que j’ai commencé à bien me trouver dans l’équipe. Mais bon, on peut toujours faire mieux. »
Sur les moments marquants de la saison:
« La demi-finale, même perdue, fut cool: du peuple, une cafétaria et un derby. Mes vrais souvenirs furent arrêtés par le Covid-19. Nous devions jouer Ensival et Angleur, les deux fois chez nous. Cela allait être des finales à chaque fois. »
Sur ce qu’il a particulièrement apprécié cette année:
« Le groupe que nous avons réussi à former avec les jeunes. Et notre progression au fil de la saison. Ce ne fut pas parfait mais tant qu’on ne recule pas, c’est déjà top. »
Sur ses regrets:
« Je n’en ai pas. Cela ne sert à rien de regarder en arrière. Donc je reste positif et je regarde vers l’avenir. »