Sébastien Peremans évoque son confinement. Interview.
Sébastien, comment t’occupes-tu en cette période?
En tant que professeur d’éducation physique, je ne preste pas beaucoup d’heures de surveillance vu le peu d’élèves à l’école. Du coup, je profite du retour du soleil pour faire de petits « runnings » solo au bord de l’eau. Cela ne fait pas de mal de rester en former (rires). J’ai aussi acheté une PS4 pour passer le temps et jouer en ligne à Fifa avec des potes. Et je prends le temps de préparer de bons petits plats avec de nouvelles recettes et modifier la déco de ma chambre et y changer les murs de couleurs. Le seul point positif de ce confinement c’est que je vais réaliser un mois sans alcool sans le basket et les sorties (rires).
Tu parlais de bon petits plats, peux-tu nous livrer ton tiercé gagnant?
Un boulet-frites, rien de tel et en plus on mange local. Une bonne dernière raclette avant le retour définitif du soleil et des pâtes « carbo » ou jambon-fromage.
Tu évoquais les jeux vidéos mais quels jeux de société affectionnes-tu aussi?
Rien de tel qu’un bon petit « 421 » (rires). Mais j’aime aussi les jeux de cartes et les jeux de culture générale.
Quels livres-lis-tu?
Mis à part les interviews de Liège & Basketball et la gazette des sports, je ne suis pas un grand lecteur. Le dernier bouquin que j’ai lu remonte à quelques années, lors de mes études.
Tu n’es pas non plus très séries.
Exact, je n’en regarde jamais. Je préfère les films.
Lesquels?
Je viens de regarder Hors norme, un film sur le handicap mental. Cela m’a fait repenser à mes stages dans le spécialisé. J’ai trouvé ce film touchant et proche de la réalité avec un bon jeu des acteurs. Avant le confinement, j’étais allé au cinéma voir 1917. Les effets spéciaux employés sont vraiment superbes et le scénario est prenant. Et puis, il y a Dikkenek, l’un des meilleurs films avec le meilleur acteur – François Damiens – pour se remonter le moral.