Samedi, devant une foule nombreuse et bruyante, Ensival a fini par rendre les armes et laisser la Coupe aux Blancs-Moussis. Christian Randaxhe revient sur la finale de sa formation.
Christian, que vous a-t-il manqué pour inverser le résultat de cette finale?
Il ne nous a pas manqué grand chose, l’écart s’est fait dans la dernière minutes, quand nous avons fait des fautes pour arrêter le chrono. Mais nous fûmes trop « propres » à l’inverse des Stavelotains qui, quand ils étaient dans le dur, ont su faire les fautes qu’il fallait. De plus, nous avons raté une quinzaine de lancers-francs et n’avons converti que huit lancers et aucun panier de plein jeu dans le dernier quart.
De quoi nourrir des regrets?
Non, vu le contexte du match avec 1200 personnes dans la salle, la pression,… Je n’ai rien à reprocher à mes gars, ils ont tout donné.
Désormais, votre attention va se reporter sur le championnat où vous occupez la deuxième place de P2A à égalité avec Pepinster?
Oui, maintenant nous devons très vite nous remobiliser sur le championnat car nous avons une deuxième place à sauver, voire une première à aller chercher.