Pour Liège & Basketball, Stéphane Mossay livre quelques anecdotes de voyage avec un fil conducteur: l’eau.
« Cette année, je pars en Indonésie où nous allons faire Bali, les îles Gili et Lambok » nous informe Stéphane Mossay, amateur de contrées lointaines. « En général, lorsque je pars en vacances, c’est découverte et détente donc je mets de côté la balle orange… Mais je ne laisse pas pour autant de côté une « prépa physique » : je marche beaucoup, je nage et, en Indonésie, je mange des nouilles.«
Pour Steph, un élément est essentiel à des vacances réussies: de la flotte. « Des vacances sans eau, ce n’est pas des vacances! Il me faut toujours la possibilité de plonger, tout en découvrant d’autres cultures » sourit-il. C’est d’ailleurs dans l’eau que le « capitaine festif » du dernier All Star Game a vécu la plupart de ses meilleurs moments. « A Hawai, tout est magnifique. Nous y avons visité les trois îles, nous sommes enfoncés dans la forêt tropicale, sauté dans des cascades où il n’y avait personne. Pour moi, c’était juste un rêve éveillé. Nous avons pu y nager au milieu de centaines de poissons, de tortues… Un matin, dès potron-minet, nous sommes allés sur une plage déserte, avons nagé avec une quarantaine de mètres dans la mer où nous avons « rencontré » une famille de dauphins auprès de qui nous sommes restés plus de deux heures. Le rêve total!«
La mer est toutefois parfois capricieuse, Steph l’ayant appris à ses dépens. « En Thailande, l’année dernière, nous étions en plein mer et tout allait bien avant que celle-ci ne commence à se déchainer » se rappelle-t-il. « Après une grosse vague, le moteur situé à l’arrière du bateau s’est retrouvé à l’eau. Impossible de le récupérer! A chaque vague, nous étions à deux doigts de nous retourner et avons dû attendre une heure qu’un autre bateau vienne nous récupérer. Au final, c’était assez marrant mais, sur le moment, c’était plutôt impressionnant.«
C’est également en Thailande que Steph a pu faire ses plus belles rencontres. « Nous étions dans un village retiré habité par des femmes aux « longs cous ». Là, les autochtones vivent sans électricité, sans eau courante, avec un confort minimaliste qui contraste avec le bonheur qui irradiait de leur visage. La doyenne du village nous a même joué un morceau de guitare… Toujours en Thailande, nous avons passé une nuit dans un orphelinat du fin fond du pays. Ce fut là aussi un moment incroyable partagé avec les enfants » conclut le leader d’Ans.