Malgré des résultats sportifs relativement positifs, Grivegnée vit une saison cauchemardesque avec un effectif réduit à peau de chagrin. C’est désormais sans leur entraineur, Jean-Jacques Stevens, que devront composer les Sang et Or. Avant de recevoir une équipe de Bellaire elle aussi dans la tourmente, Nathan Stevens fait le point sur la situation du matricule 197.
Nathan, Bellaire sort de deux défaites. Est-ce le bon moment pour affronter les Blue Rabbits?
Pas vraiment. Bellaire va venir chez nous avec un esprit revanchard car plusieurs joueurs vont faire leur retour et cette équipe va redevenir celle qui n’a cessé d’épater les observateurs depuis le début de saison.
De votre côté, malgré de bons résultats sportifs (huit victoires en dix-sept matchs), vous êtes tout de même empêtrés dans une saison galère avec de réels soucis d’effectif et, désormais, ton papa, Jean-Jacques, qui a décidé de jeter l’éponge.
En effet, nous devrons faire sans notre coach qui a décidé d’arrêter. Nous vivons vraiment une saison cauchemardesque avec les blessures et arrêts divers… Nos victoires de début de saison sont importantes vu la tournure des évènements.
Pourquoi votre coach a-t-il décidé d’arrêter les frais?
Je pense que c’est un tout. Je comprends que cela ne soit pas agréable de coacher une équipe où il y a quatre ou cinq joueurs présents aux entrainements. En match, c’est pareil, nous jouons à cinq ou six avec un ou deux jeunes. C’est compliqué.
Ce dimanche, qui sera aux manettes de l’équipe?
Je ne sais pas qui va coacher ce dimanche. Nous verrons bien.