Dans l’état des tornades, Ajay Mitchell a déjà séduit son entourage.
Après un passage remarqué en NCAA du côté de San Barbara, Ajay Mitchell a eu l’honneur et le plaisir d’être drafté et d’atterir dans une franchise compétitive : le Thunder d’Oklahoma. Au Thunder, Ajay Mitchell, détenteur d’un « two-way contract », se trouve dans un environnement idéal pour grandir et performer. En effet, si SGA et ses coéquipiers ne cachent pas leurs ambitions après une saison 2023-2024 particulièrement réussie, la franchise du Thunder est également réputée pour sa capacité à former de très bons jeunes.
Dans l’état des tornades, Ajay Mitchell jouit en tout cas déjà de la confiance de son staff. Après une première sortie réussie (19 points, 2 rebonds, 2 assists et 1 steal pour la meilleure évaluation de son équipe) dans la victoire acquise dans le Texas, le coach du Thunder s’est montré élogieux envers son rookie. « Ajay est un joueur très mature et très intelligent. Il sait ce qui se passe sur le terrain, non seulement avec lui mais aussi autour de lui. C’est un joueur dynamique et offensif. Il peut marquer sous le panier, à mi-distance et derrière la ligne des trois points. Il est fort dans les pick-and-roll, il trouve les bonnes passes et il est compétitif en défense. Il est là où il doit être. Il est très impressionnant« , a déclaré Mark Daigneault dans des propos rapporté par la DH.
Coup double pour Jean-Louis Pire avec Spa à Blégny.
Jean-Louis, tu sembles comme un poisson dans l’eau à Spa.
En effet, j’ai la chance cette année de coacher les deux P3 de Spa. La P3B composée de joueurs un peu plus âgés, avec davantage d’expérience, qui jouent ensemble depuis de nombreuses années et qui forment un groupe solidaire. Malheureusement, le basket n’étant pas leur priorité, nous sommes rarement au complet ! Mais ce début de saison est très satisfaisant puisque nous avons engrangé six victoires en autant de rencontres. La P3C, elle, est composée de plus jeunes joueurs avec le renfort d’Audric Muller et Hadrien Mathieu qui étaient dans le noyau R2 la saison dernière. Leur force est de bien travailler à l’entrainement, d’assimiler les différents systèmes et, surtout, d’adhérer à ma philosophie de basket basée sur une défense de fer. Cela nous permet d’afficher un bilan de cinq victoires et une défaite, celle-ci ayant eu lieu à Waremme après prolongation.
Vendredi, tu as remporté deux victoires à Blégny, 57-75 en P3B et 57-72 en P3C.
Elles furent basées sur un très bonne défense – notamment un 3-22 dans le dernier quart-temps avec la P3C. Je suis donc très fier de ces deux équipes qui m’apportent beaucoup de satisfaction.
Quels sont vos objectifs ?
Ils sont les mêmes pour les deux équipes : prendre match après match et voir en fin de saison où nous serons dans le classement. Je tiens à préciser que c’est avec un mélange de ces deux équipes que nous avons éliminé la P1 d’Esneux en Coupe.
Les Saint-Vithois remportent le duel de P3C contre Theux.
En s’appuyant sur Alt (18 points) et Huppertz (20) en attaque et sur une défense rugueuse et efficace, les locaux prenaient cette rencontre contre Theux par le bon bout pour mener 18-14 après dix minutes et 31-24 à la pause. Baikri (18) et les Theutois réagissaient à la reprise pour légèrement revenir au marquoir, 49-43 à la demi-heure, mais devaient tout de même s’avouer vaincus, 70-58.
Première défaite de la saison pour les Blue Rabbits.
Dans leurs atypiques installations pour la première fois en championnat de la saison, Muller (15 points) et les Blue Rabbits espéraient bien réussir la passe de trois en recevant une équipe de Verviers capable du meilleur comme du pire.
L’entame de match était en faveur de Bours (8), Hulsen (8 également) et de leurs coéquipiers qui se montraient efficaces en attaque pour prendre l’avantage, 25-21 après dix minutes. Les locaux menaient encore à la pause, 42-40, et reprenaient même un peu d’air à la demi-heure, 57-53.
Inexplicablement, les protégés de Gaël Colson calaient ensuite offensivement alors même que leurs digues se fissuraient de partout face aux assauts de Pitz (15) et des Verviétois. La défense locale prenait l’eau et De Ponthier (13), Sanzone (6) et les Verviétois en profitaient pour revenir au marquoir et envoyer les Blue Rabbits par le fond pour décrocher la victoire, 70-80.
A domicile, Léonard (11 points), Pluys (9) Mertens (8) et leurs coéquipiers tenaient le choc en première période, 38-40 à la pause. Au retour des vestiaires, les Bobelins se montraient moins efficaces des deux côtés du terrain et subissaient un 14-23 dont ils ne se relevaient pas, s’avouant vaincus 64-81.
Game Time fête ses dix ans avec deux stages exceptionnels à Grâce-Hollogne et Jupille ! Pour Liège & Basketball, Nicolas André fait le bilan de la belle aventure Game Time.
En dix, l’équipe Game Time a su imposer ses stages comme un lieu idéal de développement basket durant les semaines où l’école fait relâche, aussi bien dans la province de Liège qu’outre-Atlantique. « Le bilan de ces dix années est exceptionnel », sourit Nicolas André. « Chaque année, nous organisons trois stages en Belgique et accueillons environ 150 stagiaires. Nous avons établi des partenariats avec des clubs comme Grâce-Hollogne, Haut-Pré et désormais Liège Atlas. En outre, depuis 2017, nous avons également eu la chance d’exporter notre concept aux Etats-Unis, avec deux stages par an à Orlando et Los Angeles. Ces stages remportent un franc succès grâce à une formule tout inclus, permettant ainsi aux jeunes de s’immerger pleinement dans la culture américaine du basketball. »
Durant ces stages, les enfants et adolescents ont indéniablement le temps de travailler techniquement sur leur jeu pour devenir encore plus performants au sein de leurs équipes respectives. « Chaque stage représente plus de 30 heures de basket, soit l’équivalent de dix semaines d’entrainement pour la plupart des jeunes joueurs », souligne Nico. « Nous nous concentrons sur des aspects techniques que les coachs n’ont pas souvent le temps d’aborder lors des entrainements réguliers, comme la mécanique du shoot que nous analysons également en vidéo. L’aspect mental est aussi un point clé de notre approche. »
Sans délaisser l’aspect plaisir et convivial d’un stage, le staff de Game Time a affiné une enseignement à même de réellement faire progresser les stagiaires. « Depuis 2014, nous avons développé une véritable méthode de travail qui allie rigueur, apprentissage, pédagogie et fun », confirme l’ancien coach de Ninane. « C’est cette approche qui permet aux jeunes de progresser tout en profitant d’une semaine inoubliable. Game Time, c’est avant tout une grande famille ! »
Loin de se reposer sur leurs acquis, les fondateurs de Game Time mettent tout en oeuvre pour coller au mieux à l’évolution du basketball tel qu’il se pratique en Belgique et dans le monde. « Le basketball évolue rapidement, notamment avec l’impact d’un joueur comme Stephen Curry qui a popularisé le tir à trois points comme arme offensive principale », observe Nico. « Nous essayons d’inculquer d’autres aspects du jeu et surtout d’apprendre à comprendre le jeu. Chaque stagiaire arrive avec des objectifs spécifiques : certains veulent perfectionner un aspect particulier de leur jeu, d’autres cherchent à améliorer leur compréhension du jeu, et certains débutants viennent pour acquérir les bases. Nos stages sont ainsi un parfait équilibre entre apprentissage et perfectionnement, adaptés à tous les niveaux. »
Du 28 au 31 octobre, Game Time organise deux stages : à Grâce-Hollogne (déjà complet) et à l’Athénée Jupille. Plus d’infos sur www.gametime-activity.com.
En P1, les Minières ont vaincu Alleur tandis qu’en P2, elles ont dominé Dison-Andrimont.
En P1 et à domicile, Lerho (13 points) et ses coéquipières réussissaient une excellente entame de match pour mener 17-7 après dix minutes. Monseu (14) et les Alleuroises réagissaient ensuite pour faire jeu égal avec les locales. A la pause, le marquoir indiquait 31-21. Au retour des vestiaires, Gallo (12) et ses partenaires repartaient de plus belle pour faire définitivement le break à la demi-heure, 53-29, et s’imposer ensuite méritoirement 69-43.
En P2, Kreutz (17) et ses coéquipières imitaient la P1 locale en prenant rapidement l’avantage, 13-7 après dix minutes et 27-13 à la pause. Lange (8) et les Disonnaises rivalisaient bien mieux avec leurs hôtes en seconde période sans pouvoir toutefois leur contester la victoire. Score final : 44-33.
A Ciney, Stassen (14 points), Parent (11) et leurs coéquipiers rentraient bien dans la partie. Après un premier quart-temps équilibré, 16-17, les Wawas prenaient l’avantage pour virer en tête à la pause, 33-40.
A la reprise, le château de cartes de Waremme s’effondrait inexplicablement. Stériles en attaque et dépassés en défense, les Wawas voyaient les locaux recoller au score et passer devant, 48-46. Alors que les supporters de Waremme espéraient une réaction, ce fut tout l’inverse, les protégés de Tom Content buvant le calice jusqu’à la lie en encaissant un terrible 27-7 ! Score final : 75-53.
Pourtant, Domken (11), Vaes (10) et leurs coéquipiers étaient bien rentré dans la partie pour mener 19-23 après dix minutes et 34-37 à la pause. Mais après avoir vu les Ixellois passer devant à la demi-heure, 58-56, les Jupillois calaient dans le dernier quart, devant s’avouer vaincus 79-62.
Malgré un Winkin prolifique, les Calidifontains se sont inclinés à Belgradeen match amical.
Cette rencontre amicale de TDM2 entre Belgrade et Ninane était l’occasion pour deux anciens camarades de classe du Sport-Etudes-Basket de Liège de s’affronter tactiquement, confirmant par ailleurs que la structure lancée il y a plus de vingt ans par l’immense Yvan Fassotte a fourni une ribambelle incroyables de joueurs talentueux au basket wallon mais aussi un nombre conséquent de coachs dans toutes les divisions, de la TDM1 avec Ludo Humblet jusqu’à la P4.
En confiance suite à la belle victoire conquise à Quaregnon quelques jours plus tôt mais diminués par des absences et des blessures, les Ninanais pouvaient compter sur un Sam Winkin (21 points dont plusieurs bombes) particulièrement productif pour prendre l’avantage, 19-22 après dix minutes. Les locaux réagissaient dans le second quart-temps pour passer devant à la pause, 40-37.
Au retour des vestiaires, les défenses prenaient le pas sur les attaques. Kabangu (10 points) faisait parler sa puissance et Henrard (8) et Gillotay (10) offraient également des solutions pour permettre aux Calidifontains de rester au contact, 54-50 à la demi-heure. Dans la dernière ligne droite, les visiteurs poussaient pour revenir mais les Namurois se montraient plus réalistes pour empocher la victoire, 77-66.