Les Canadiens ont vaincu les Espagnols qui sont éliminés du Tournoi Olympique.
Dans le « groupe de la mort », tous les scenarii étaient possibles, renforcés encore davantage par la victoire de la Grèce contre l’Australie. Face à l’armada du Canada, les Espagnols savaient qu’ils risquaient de jouer leur place en quart de finale du Tournoi Olympique.
Hernangomez (10 points et 4 rebonds) et les Ibères tenaient bon au cours des dix premières minutes, 19 partout. Mais Gilgeous-Alexander (20 unités), Barrett (16 points), Nembhard (18 points) et leurs coéquipiers passaient ensuite la surmultipliée pour claquer un 30-19 des familles et faire le break à la pause, 49-38.
Au retour des vestiaires et durant toute la deuxième mi-temps, et Aldama (7 points et 11 rebonds), Abrines (12 points) et Espagnols allaient se dépouiller sur le parquet pour parvenir à réduire petit à petit l’avance canadienne. Malheureusement, Llull (13 points et 4 assists) et ses partenaires tombaient un rien trop courts et s’inclinaient 88-85.
Le Canada terminent invaincu en tête de cette redoutable poule A, devant l’Australie, la Grèce et l’Espagne.
Dépassés en défense et stériles en attaque, les Français ont bu le bouillon contre l’Allemagne.
Dans le match pour le leadership du groupe B, les Français se sont inclinés 71-85 contre l’Allemagne. Un score en forme de trompe-l’oeil qui reflète mal l’outrageuse domination des Allemands qui ont compté jusqu’à 24 longueurs d’avance et menaient toujours 46-69 à la demi-heure, avant de logiquement se relâcher devant l’envie de Cordinier (10 points).
Rapidement, les Tricolores furent dépassés par la justesse, l’intensité et le collectif des Teutons. Si Fournier (10 unités), Wembanyama (14 points et 12 rebonds) et leurs coéquipiers restaient au contact, 18-24 après dix minutes, le second quart allait être une purge, Schröder (26 points, 4 rebonds et 9 passes décisives), Franz Wagner (26 points et 5 rebonds), Theis (7 points et 8 rebonds) détruisant les locaux pour tuer tout suspens à la pause 27-48.
Les champions du monde bouclent ce premier tour de compétition invaincus et en tête du groupe B. Les Français comptabilisent deux victoires mais leurs prestations n’ont absolument pas rassuré leurs fans, que du contraire. Les protégés de Vincent Collet – de plus en plus pointé du doigt pour la pauvreté du jeu français – devront affronter le Canada en quart de finale.
Les Belgian Cats veulent croire à une qualification pour les quarts de finale des Jeux Olympiques. Pour cela, il faudra vaincre le Japon avec le plus large écart possible ce dimanche.
Après avoir joué les USA les yeux dans les yeux, les Belgian Cats ont rendez-vous avec l’Histoire et avec le Japon ce dimanche matin. « La qualification n’est plus entre nos mains, mais on va tout donner. On doit jouer chaque match avec cette énergie, ce que nous n’avons pas fait contre l’Allemagne« , prévient Emma Meesseman au micro de la RTBF. « On devra gagner contre le Japon, on va faire un peu de mathématiques pour voir comment s’en sortir. Ce serait super dommage de ne pas être en quarts, mais ce serait de notre faute. Il nous reste une chance« , ajoute Julie Vanloo.
Les Belges ont fait douter les Américaines jusqu’au bout, limitant considérablement l’écart. Nous pourrons juste regretter ce triple de Ionescu à la toute fin du temps règlementaire. « J’espère que l’écart va nous permettre de rester compétitif pour la 3e place. Cela passera d’abord par victoire contre le Japon avec plus gros écart possible. J’ai sentiment qu’on est encore en vie. Je suis rassuré de voir qu’on est capable de jouer comme ça et j’espère que ça va aussi être le cas dans la tête des filles », analyse Rachid Meziane pour BeBasket.
Face aux Nipponnes et leur jeu atypique, formation dominée par les Belges en préparation, la tension sera à son maximum. Avec ce qu’elles ont montré face à l’armada US et en retrouvant un peu d’adresse, les Belgian Cats peuvent réussir leur coup. « Il nous a manqué cette réussite mais aussi quelques coups de sifflet. Nous avons parfois manqué de maîtrise sur certaines actions qui leur ont offert du jeu rapide. Cela laisse des perspectives d’amélioration et nous aurons peut-être de meilleures opportunités contre le Japon », assure le coach de la Belgique.
Les Belges pourront à nouveau compter sur l’appui de leur très nombreux supporters pour tenter de rallier Paris. Toute la Belgique croise les doigts pour que ses championnes continuent leur épopée dans ce Tournoi Olympique.
Pour la dernière journée du Tournoi Olympique, la lutte fait rage pour les dernières places qualificatives. Les Brésiliens se sont assurés la troisième place du groupe B derrière l’Allemagne et la France en venant à bout du Japon.
Les deux meilleurs troisièmes recevront leur ticket pour les quarts de finale de ces Jeux Olympiques parisiens. C’est pourquoi les Brésiliens débutaient par un feu d’artifice face aux Japonais pour mener 31-20 après dix minutes. L’écart demeurait inchangé après les dix minutes suivantes, 55-44.
Au retour des vestiaires, Kawamura (21 points et 10 assists), Wutanabe (14 points et 9 rebonds) et les Nippons parvenaient, grâce à une attaque de feu, à réduire l’écart et à recoller à 77-73 à la demi-heure. Caboclo (33 points et 17 rebonds), l’inusable Hertuas (13 points et 8 assists) et les Brésiliens réagissaient alors en dressant les barbelés derrière pour assommer leurs opposants et arracher la victoire 102-84.
La Seleçao s’assure ainsi la troisième place du groupe B derrière l’Allemagne et la France, conservant des chances de rejoindre Paris et les quarts de finale du Tournoi Olympique.
Jeudi soir, les Belgian Cats étaient transfigurées par rapport à leur premier match contre l’Allemagne. Portées par un public aussi nombreux que bruyant, les Belges ont poussé les Américaines dans leurs derniers retranchements, ne s’inclinant que 87-74. Emma Meesseman et ses coéquipières ont retrouvé leur ADN et veulent encore croire à une qualification pour les quarts de finale de ce passionnant Tournoi Olympique.
« On ne pouvait pas décevoir le public, l’ambiance était magique« , souligne Bethy Mununga au micro de la RTBF. « Il y a évidemment la satisfaction d’avoir vu un autre visage. J’aurais aimé voir cela contre l’Allemagne, l’issue aurait peut-être été différente. Je suis presque fier d’avoir vu équipe solidaire et qui a été capable de réagir. Nous voulions commencer et terminer le match la tête haute », analyse Rachid Meziane pour BeBasket. « On a remis l’équipe à l’endroit dans le style de jeu dans lequel on est efficace. Nous avons montré du caractère et que nous pouvons jouer les yeux dans les yeux contre la meilleure équipe du monde. »
Sans Julie Allemand et avec une adresse en berne, les Cats ont tout donné, à l’instar de Julie Vanloo, ciblée par la défense américaine. « Les Etats-Unis ont vécu une soirée très difficile, nous étions très agressives. C’était un bon match, c’était nous, la Belgique. Cela nous donne de la confiance pour le prochain match, nous sommes encore là. Disputer ce match devant autant de supporters, c’était un des meilleurs moments de ma carrière« , reconnait pour la RTBF celle qui s’est déjà taillée une solide réputation en WNBA. « Nous pouvons être fières, ce match nous restera en mémoire pour toujours« , ajoute Emma Meesseman.
Les Cats doivent désormais vaincre le Japon, si possible avec un écart conséquent, terminer meilleures troisièmes pour rejoindre les quarts de finale. Avec ce qu’elles ont montré contre les USA, elles en ont les capacités et ce serait terriblement frustrant de voir les championne d’Europe en titre ne pas rejoindre Paris. « La qualification n’est plus entre nos mains, mais on va tout donner. On doit jouer chaque match avec cette énergie, ce que nous n’avons pas fait contre l’Allemagne« , prévient la capitaine de l’équipe belge. « On devra gagner contre le Japon, on va faire un peu de mathématiques pour voir comment s’en sortir. Ce serait super dommage de ne pas être en quarts, mais ce serait de notre faute. Il nous reste une chance« , conclut Julie Vanloo.
Nikola Jokic n’est vraiment pas une superstar comme les autres.
Champion NBA, triple MVP, six fois All-Star, médaillé d’argent aux Jeux Olympiques de Rio : Nikola Jokic a déjà tout gagné et s’est assuré une place de choix dans le classement des meilleurs joueurs de l’histoire. De quoi, à l’instar d’autres superstars, faire gonfler son égo et le pousser à la recherche permanente de records statistiques ? Pas vraiment…
Face à Porto-Rico, le leader de la Serbie fut, à nouveau, au four et au moulin avec 14 points à 72% aux tirs, 15 rebonds, 9 passes décisives et 2 interceptions en seulement 23 minutes ! Une fois le match plié, le Joker n’est plus remonté au jeu, faisant ainsi fi de la possibilité de conclure la rencontre en triple-double malgré les encouragements du public.
« On a entendu des fans crier et demander le retour de Nikola Jokic, mais je pense qu’il est fatigué d’entendre parler des statistiques. Il est si dominant et, je peux le dire, il ne joue pas pour les chiffres », assure Bojan Bogdanovic. « Je pense qu’il se fiche des stats », a ajouté Nikola Milutinov pour clore le débat.
Nikola Jokic, un champion d’exception, tout simplement…
Les Cats se sont montrées admirables face aux favorites du Tournoi Olympiques. Les Belges ont joué les yeux dans les yeux avec les Américaines, ne s’inclinant que 87-74 contre l’armada US.
Pas de round d’observation entre les championnes du monde et les championnes d’Europe et un début de rencontre à cent à l’heure ! Si les Américaines prenaient immédiatement l’avantage, 4-0, Linskens (10 points et 5 rebonds) et Meesseman (24 points, 4 rebonds et 3 passes) assuraient pour la Belgique. Les hostilités étaient lancées. La capitaine des Cats se montrait déjà incontournable et la défense belge tenait le choc malgré des belles actions de Stewart (26 points, 7 rebonds et 4 passes décisives) et Wilson (23 points et 13 rebonds). Les deux équipes se répondaient du tac-au-tac. Avec Griner (7 points), les Américaines faisaient mal au rebond offensif mais Julie Vanloo (11 points, 4 rebonds et 5 assists) réalisait une folle séquence à sept points pour mettre les Belges devant au marquoir sous les encouragements d’un public qui semblait déjà avoir choisi son camp. Leurs adversaires réagissaient mais Delaere (16 points, 5 rebonds et 8 passes) rétablissait l’égalité à la toute fin du premier quart-temps, 23 partout.
Transfigurées par rapport au match précédent contre l’Allemagne, nos compatriotes ne pouvaient empêcher les favorites du tournoi de prendre six longueurs d’avance mais réagissaient ensuite, Massey (3 points et 2 rebonds) volant un ballon que Vanloo convertissait en pénétration, 31-27. Delaere écopait d’une faute très légère – la troisième des Cats qui semblaient dubitatives sur l’arbitrage – et Stewart – la Kevin Durant féminin – et ses coéquipières recreusaient l’écart, 35-27. Une certaine fragilité au rebond et l’absence de shooteuses fiables empêchaient les Belges de recoller au score, les Américaines dépassant pour la première fois la barre des dix points d’écart, 40-29. En transition, les stars de WNBA sont redoutables et le démontraient face à des Belges pourtant combatives. Après Meesseman toujours aussi régulière, c’était Delaere qui trouvait la mire à distance pour faire 44-36. Pas gâtées par le corps arbitrales, Lisowa (8 points) et les chouchoutes du public lillois laissaient leur coeur sur le parquet et avec une telle débauche d’énergie, gardait tous leurs espoirs à la pause, 46-38.
Déjà admirables en première mi-temps, les Cats – qui connaissaient le résultat des Allemandes contre le Japon et savaient dès lors l’importance de limiter les dégâts face à la ribambelle de stars US – se devaient de livrer une seconde mi-temps encore plus exceptionnelle. Poussée par un public en feu dans le stade Pierre Mauroy, la tâche s’annoncait tout de même très compliquée face à une équipe américaine aussi puissante dans la raquette qu’adroite de loin et létale en transition. Meesseman scorait inside et les Belges avaient l’opportunité de revenir à deux points mais Ramette (4 points et 2 assists) montrait à nouveau ses limites offensives – tout l’inverse de ce qu’elle fait dans sa propre partie de terrain – en ratant un panier tout cuit. Meessema par deux fois, puis Vanloo en contre-attaque ramenaient les Cats 50-46 ! Après quelques ratés, Massey stoppait la mauvaise série belge depuis la ligne de réparation alors Griner galvaudait du même endroit, 53-47. Les protégées de Rachid Meziane serraient les dents et parvenaient à rester au contact, 60-53 à la demi-heure.
En l’absence de Julie Allemand, le jeu offensait reposait trop sur les prouesses de Meesseman et Vanloo mais toutes les Cats se mettaient au diapason pour tenter de rivaliser avec les Américaines, 61-53. Malgré un exploit de Ramette, les WNBAers se montraient particulièrement efficaces sur les transitions offensives, 68-55. Après un temps-mort du sélectionneur de la Belgique, Linskens et ses coéquipières avaient la farouche volonté de contracarrer les plans américains. Delaere plantait deux bombes pour relancer nos compatriotes 68-61 ! Mais chaque erreur se payait cash et Stewart convertissait deux contre-attaques pour recreuser l’écart, 75-61. Meesseman, Lisowa puis Delaere ramenaient la Belgique à dix longueurs, les Cats refusant de craquer, malgré un arbitrage peu en faveur des Cats, Rachid Meziane écopant pour la cause d’une faute technique. Ionescu (6 points, 3 rebonds et 4 assists) à 9 mètres et sans défense fixait le score à 87-74 sous les huées du public.
Malgré des coups d’éclat de Julie Vanloo, la métronome Emma Meesseman et une identité retrouvée, les Cats sont menées 46-38 par l’armada américaine.
Pas de round d’observation entre les championnes du monde et les championnes d’Europe et un début de rencontre à cent à l’heure ! Si les Américaines prenaient immédiatement l’avantage, 4-0, Linskens (8 points et 3 rebonds) et Meesseman (12 points et 3 passes) assuraient pour la Belgique. Les hostilités étaient lancées. La capitaine des Cats se montrait déjà incontournable et la défense belge tenait le choc malgré des belles actions de Stewart (15 points) et Wilson (10 points et 10 rebonds). Les deux équipes se répondaient du tac-au-tac. Avec Griner (6 points), les Américaines faisaient mal au rebond offensif mais Julie Vanloo (9 points, 3 rebonds et 3 assists) réalisait une folle séquence à sept points pour mettre les Belges devant au marquoir sous les encouragements d’un public qui semblait déjà avoir choisi son camp. Leurs adversaires réagissaient mais Delaere (7 points et 3 passes) rétablissait l’égalité à la toute fin du premier quart-temps, 23 partout.
Transfigurées par rapport au match précédent contre l’Allemagne, nos compatriotes ne pouvaient empêcher les favorites du tournoi de prendre six longueurs d’avance mais réagissaient ensuite, Massey volant un ballon que Vanloo convertissait en pénétration, 31-27. Delaere écopait d’une faute très légère – la troisième des Cats qui semblaient dubitatives sur l’arbitrage – et Stewart – la Kevin Durant féminin – et ses coéquipières recreusaient l’écart, 35-27. Une certaine fragilité au rebond et l’absence de shooteuses fiables empêchaient les Belges de recoller au score, les Américaines dépassant pour la première fois la barre des dix points d’écart, 40-29. En transition, les stars de WNBA sont redoutables et le démontraient face à des Belges pourtant combatives. Après Meesseman toujours aussi régulière, c’était Delaere qui trouvait la mire à distance pour faire 44-36. Pas gâtées par le corps arbitrales, Lisowa (4 points) et les chouchoutes du public lillois laissaient leur coeur sur le parquet et avec une telle débauche d’énergie, gardait tous leurs espoirs à la pause, 46-38.
Dans le sillage d’un Jokic en quasi triple-double, les Serbes n’ont laissé aucune chance aux Porto-Ricains.
Face à la Serbie, Alvarado (2 points) et Waters (5 points) n’ont pas eu leur rendement habituel. Et si Ortiz (19 points et 6 rebonds) et Romera (10 points et 5 rebonds) ont tenté de prendre le relais de leurs deux leaders offensifs, cela s’est avéré largement insuffisant face à des Serbes emmenés par un Nikola Jokic au four et au moulin : 14 points à 72% aux tirs, 15 rebonds, 9 passes décisives et 2 interceptions en seulement 23 minutes !
Pour compenser une adresse en berne derrière l’arc (28%), Petrusev (15 points et 9 rebonds), Jovic (10 points) et les Serbes ont insisté inside et dominé le rebond (54 prises) pour rapidement prendre l’avantage, 24-12 après dix minutes. Bogdanovic (13 points), Micic (13 points et 7 assists) et leurs coéquipiers continuaient sur leur lancée et à la pause, le marquoir affichait 52-35.
Au retour des vestiaires, Avramovic (12 points et 4 passes décisives), Milutinov (11 points et 9 rebonds) et leurs partenaires s’en donnaient à coeur joie pour définitivement tuer tout suspens, 79-51. Les Serbes alourdissaient l’addition dans les dix dernières minutes pour s’imposer 107-66 et réussir le premier carton de ces Jeux Olympiques parisiens.
Sans pouvoir rivaliser autant qu’en préparation, les Soudanais du Sud ont toutefois bien résisté à l’armada américaine.
Face à la jeune nation du Soudan du Sud, Steve Kerr avait retenu la leçon de la préparation et décidait de se passer des services de Joël Embid – très mauvais contre la Serbie – et de titulariser Anthony Davis (8 points, 7 rebonds, 3 passes et 2 contres) et Jayson Tatum (4 points et 5 rebonds) afin de switcher sur tous les écrans. Il fallait cependant attendre l’entrée des remplaçant Kevin Durant (14 points), Derrick White (10 points) et Bam Adebayo (18 points et 7 rebonds) pour voir les Américains creuser l’écart, 26-14 après dix minutes .
Dans le second quart, Lebron James (12 points, 7 rebonds, 5 assists mais encore 6 balles perdues) et ses coéquipiers continuaient sur leur lancée mais Carlick Jones (18 points et 7 passes décisives), Bul Kuol (16 points et 5 rebonds) et les Soudanais du Sud parvenaient à limiter les dégâts. A la pause, c’était 55-36
Au retour des vestiaires, Anthony Edwards (13 points) et Devin Booker (10 unités) compensaient la maladresse de Stephen Curry (1 sur 9 aux tirs) mais les Soudanais du Sud se montraient admirables en défense et s’offraient même le luxe de remporter le troisième quart-temps. A la demi-heure, l’écart avait légèrement diminué, 73-57. Dans la dernière ligne droite, les Américains parvenaient à augmenter leur viatique au fur et à mesure pour finalement s’imposer 103-86.