Belle entrée en matière des Sucriers en Coupe AWBB avec une victoire chez la R2 de Pepinster.
Ayant repris très tôt le chemin des parquets, les Sucriers ont débuté leur parcours en Coupe AWBB par une très belle victoire chez la R2 de Pepinster. Avec 8 longueurs d’avance à l’entre-deux, Oudenne (13 points) et les Wanzois rentraient bien dans la partie pour rester en tête après dix minutes, 19-22. Dans le second quart, Riga (15), Romain Paulus (14) et leurs coéquipiers se montraient rigoureux derrière pour augmenter leur viatique, 34-41.
Au retour des vestiaires, les Sucriers surclassaient leurs hôtes qui évoluent pourtant une division plus haut. En claquant un 15-25, les visiteurs prenaient le large, 49-66. Heureusement pour le coach Vincent Aldenhoff, Delvoye (16 points), Nzisabira (12), Dallenogare (11) et les Pepins offraient une belle réaction en resserrant les rangs derrière pour réduire l’écart. Au final, la victoire revenait tout de même aux pensionnaires de P1, 69-77.
Lola Paulus analyse la splendide victoire des Cats pour se hisser dans le dernier carré des Jeux Olympiques et briguer une médaille.
Face à l’Espagne, les Belgian Cats ont livré une prestation magistrale, menant de bout en bout face une équipe d’Espagne pourtant habituée des grands rendez-vous. « Je pense qu’on peut dire que la première mi-temps des Cats a atteint la perfection offensivement Voir voyager la belle de cette manière est vraiment fantastique », analyse Lola Paulus. « Par contre, en première mi-temps et surtout dans le premier quart-temps, elles furent en difficulté en défense sur certaines situations, surtout sur pick and roll et au niveau des rotations. »
Après la pause, les protégées de Rachid Meziane ont élevé leur standards défensifs, optant pour une « ice defense » au lieu du « hedge ». « Les Espagnoles n’ont trouvé aucune solution là-dessus, permettant aux Belges de dérouler », observe la jeune Comblinoise. Avec un duo intérieur prolifique (38 points et 17 rebonds pour la paire Meesseman/linskens) et du scoring extérieur via Vanloo (13 points), Ramette(8 unités) et Delaere (13 pions), les Cats ont décroché une victoire plus que méritée, 79-66.
« Honnêtement, je n’imaginais pas une victoire avec un tel écart. Et mon plan de match a été respecté en limitant les Espagnoles à presque 60 points », sourit la nouvelle coach de la R1 de Huy. « De plus, toutes les joueuses belges sont montées sur le terrain et sont ainsi concernées pour la suite de la compétition. Même si la fin de match fut un peu moins aboutie, l’exploit est extraordinaire, magistral ! »
Bien en place offensivement et défensivement, les Belgian Cats ont dominé l’Espagne pour se hisser dans le dernier carré du Tournoi Olympique.
Démarrage en trombe pour ce quart de finale passionnant avec deux bombes d’Emma Meesseman (19 points, 9 rebonds, 6 assists et 3 contres) et des paniers de Ramette (8 points et 5 passes décisives) et Linskens (19 points et 8 rebonds) avant que Vanloo (13 points et 7 passes décisives mais 9 balles perdues) ne plante un gros triples pou creuser un premier écart, 5-13. Gustafson (17 points et 5 rebonds à la mi-temps, 21 points et 7 rebonds au total) gardait les Espagnoles au contact. Rachid Meziane soulignait le laxisme défensif des Belges mais force était de constater que la réussite était impressionnante dans les deux camps. Meesseman puis Delaere (13 points et 7 assists) redonnaient de l’air aux Belges, 19-26. Sur une ultime tentative marquée via la planche de l’inévitable ancienne scoreuse d’Iowa le marquoir affichait un score de parité, 26 partout.
Après avoir compté jusqu’à sept longueurs d’avance, tout était à refaire pour les Belgian Cats qui devaient remettre l’ouvrage sur le métier. Pour cela, une seule solution : défendre. Mais Gustafson continuait son numéro pour donner l’avantage aux Ibères pour la première fois de la partie, 29-26. Heureusement, Becky Massey (2 points et 3 rebonds) et Meesseman remettaient la Belgique devant, 29-30. Linskens faisait le taf inside et Meesseman s’illustrait en attaque (14 points en 14 minutes) et en défense avec un gros contre, alors que Ramette se montrait précise derrière l’arc, 32-44 ! Avec un peu de réussite, les Espagnoles parvenaient à rester au contact à la pause, 37-48 à la pause.
Après un passage aux vestiaires durant lequels les coachs des deux équipes avaient pu donner leurs consignes et motiver leurs troupes, les Cats redémarraient tambour battant. Linskens par deux fois mais aussi Ramette derrière l’arc et Delaere en découpant la défense ibère lançaient idéalement la Belgique, 39-57. Dans une bonne séquence, les Belgian Cats perdaient Massey sur blessure mais Vanloo scorait pour donner 20 longueurs d’avance à sa formation, 39-59. Cependant, après avoir mené de 22 unités, les Cats se relâchaient, permettant à Cazorla (13 points) et ses coéquipières de revenir à 49-67 malgré un triple spectaculaire de Julie Vanloo.
Avec un jeu en mouvement, même les remplaçantes belges participaient à la fête. Joris (2 points et autant de rebonds) redonnait 20 points d’avance aux Belges qui se rapprochaient de la qualification. Plus les minutes s’égrenaient, plus les mines sur le banc noir-jaune-rouge affichaient de larges sourires. Rachid Meziane se permettait même de reposer sa leader Emma Meesseman à 7 minutes du coup de sifflet final. Un repos de courte durée tant l’absence de la capitaine se faisait ressentir, les Espagnoles revenant à 60-71. Heureusement, Vanloo faisait mouche from downtown pour relancer des Cats irrésistibles. Les Ibères avaient beau tenter le tout pour le tout, les Belges géraient leur avance pour s’imposer 66-79 et communier à nouveau avec un public venu en nombre assister à une nouvelle performance de choix de ses préférées. « Un match complet », résumait à juste titre Pierre Cornia.
Les championnes d’Europe affronteront la France ou l’Allemagne en demi-finale avec l’objectif clair de retrouver les USA en finale. Avec ce que nos compatriotes montrent depuis trois matchs, leurs chances de décrocher une médaille deviennent de plus en plus réelles.
Les Hesbignons ont fait parler la poudre en attaque et ne sont pas passés loin d’empocher la victoire à Mont-sur-Marchienne.
Face à la régionale de Mont-sur-Marchienne, Dibenedetto (30 points), Palazy (20), Materne et les Hesbignons avaient réglé la mire en attaque et faisaient feu de tout bois pour rivaliser avec les locaux. Il aura fallu que les deux équipes jouent les prolongations pour que les Hennuyers arrachent la victoire, 98-92.
Une reprise positive pour le groupe d’Arnaud Munten qui devrait à coup sûr jouer les premiers rôles cette année au sein de l’élite provinciale liégeoise.
Grosse surprise avec l’élimination du Canada par la France.
A l’entame de ce quart de finale entre le Canada et la France, les pronostics penchaient nettement en faveur du pays à la feuille d’érable. Les Canadiens avaient bouclé le premier tour de la compétition avec trois victoires probantes alors que les Français avaient, eux, gagné sans convaincre contre le Brésil et le Japon avant de montrer de criantes limites contre l’Allemagne, qualifiée quelques heures plus tôt aux dépens de la Grèce. Les derniers jours avaient également été secoués par une joute verbale par médias interposé entre Evan Fournier et le sélectionneur Vincent Collet.
Le coach de l’équipe de France posait d’ailleurs un choix fort en sortant Evan Fournier (15 points et 3 passes décisives) et Rudy Gobert (1 rebond et 1 balle perdue) du cinq de base afin d’y inclure Isaia Cordinier (20 points, 3 rebonds et autant d’interceptions) et Gershon Yabusele (22 points et 5 rebonds), les deux meilleurs joueurs de la rencontre. Si l’ancien joueur des Knicks put toutefois passer pas mal de temps sur le parquet et réussir une bonne prestation et un tir d’anthologie, le pivot des Wolves, lui, dû se contenter de trois minutes.
Avec ce cinq plus équilibré signant la fin de l’association Wembanyama (7 points à 20% aux tirs mais 12 rebonds, 5 passes décisives, 3 steals et 1 contre) / Gobert qui ne fonctionnait guère, les Français démarraient au quart de tour en étouffant les Canadiens et leur armada NBA. Défense intransigeante, jeu rapide, extra-passes, chantier dans la raquette : tout y était pour les tricolores qui menaient 23-10 après dix minutes et 45-29 à la pause !
Au retour des vestiaires, Jamal Murray (7 points à 23% et 5 rebonds) se montrait toujours aussi emprunté mais l’inévitable Shai Gilgeous-Alexander (27 points, 5 rebonds et 4 passes décisives) sonnait la révolte et les Canadiens réduisaient une partie de leur retard, 61-50 à la pause. Barrett (16 points, 3 rebonds et autant d’assists) et ses partenaires poussaient pour recoller au score, il s’agissait pour Mathias Lessort (13 points, 5 rebonds et 1 block) et les Français de tenir, ce qu’ils parvenaient à faire avec intelligence et une pointe de réussite – ce tir à 10 mètres de Fournier ! – pour valider leur belle victoire, 82-73. Les protégés de Vincent Collet retrouveront les Allemands en demi-finale pour un duel qui s’annonce explosif !
Qualification aisée de Team USA pour les demi-finales olympiques.
Ce dernier quart de finale semblait le plus déséquilibré entre l’ogre américain et le Brésil. Une impression rapidement confirmée malgré la nouvelle performance de choix de Bruno Caboclo (30 points et 6 rebonds). Face aux Brésiliens, Embid (14 points et 7 rebonds), Davis (13 points, 8 rebonds et 3 assists) et Adebayo (9 points et 7 rebonds) faisaient un chantier dans la raquette et Team USA prenait immédiatement l’avantage et le large, 33-21 après dix minutes. Booker (18 points dont 5 sur 7 derrière l’arc) réussissait sa meilleure prestation du tournoi et les protégés de Steve Kerr tuaient tout suspens à la pause, 63-36.
Au retour des vestiaires, Huertas (9 points et 5 assists) et les Brésiliens parvenaient à faire jeu égal avec leurs illustres adversaires avant que James (12 points et 9 passes décisives), Durant (11 points, 4 rebonds et 3 passes), Edwards (17 points et 5 rebonds) n’en remettent une couche dans la dernière ligne droite pour s’imposer 122-87. Les Américains retrouveront des Serbes revanchards en demi-finale du Tournoi Olympique.
Pas encore fixé sur sa prochaine destination sportive, Justin Kohajda a repris le chemin des parquets avec la TDM1 de Comblain.
Justin, tu as repris l’entrainement en compagnie de la TDM1 de Comblain ?
Oui, pour me remettre en jambes avant de repartir à l’étranger fin août.
Avec ton expérience du haut niveau, comment juges-tu la reprise comblinoise ?
Super ! Ludo Humblet a l’air d’être un coach passionné et c’est formidable pour un groupe pareil. Les Comblinois vont casser la baraque cette année ! C’est tout le mal que je leur souhaite.
Où joueras-tu cette saison ?
Je ne sais pas encore où je vais me retrouver. C’est en train de bouger donc j’espère avoir des news avant fin août, évidemment.
Quel nouveau défi recherches-tu ? Quelles sont tes envies pour cette nouvelle saison ?
J’ai envie de m’épanouir sportivement là où je signerai et, comme chaque année, de continuer à progresser et à emmagasiner de l’expérience.
Après leur magnifique saison, les Abeilles vont découvrir l’élite provinciale mais aussi la Coupe AWBB. Samedi 3 août, la formation désormais coachée par Pascal Goffin se rendait à Uccle avec un effectif où manquait encore quelques joueurs cadres.
Dans le sillage de Van Dessel (29 points), Jonniaux (12) et Servais (17), les Abeilles allaient offrir une belle résistance aux pensionnaires de deuxième régionale, trouvant assez facilement la mire. C’est en défense que les résidents de la Basse-Meuse souffraient davantage, laissant les Bruxellois scorer 101 points.
Au final, les visiteurs s’inclinaient 101-86 non sans avoir démérité. Les prochaines semaines permettront au groupe champion de P2A la saison dernière d’affiner les automatismes pour une saison qui s’annonce particulièrement excitante.
Exploit des Français qui sortent les Canadiens du Tournoi Olympique pour retrouver l’Allemagne en demi-finale tandis que les Américains ont déroulé face au Brésil pour rejoindre la Serbie dans le dernier carré.
A l’entame de ce quart de finale entre le Canada et la France, les pronostics penchaient nettement en faveur du pays à la feuille d’érable. Les Canadiens avaient bouclé le premier tour de la compétition avec trois victoires probantes alors que les Français avaient, eux, gagné sans convaincre contre le Brésil et le Japon avant de montrer de criantes limites contre l’Allemagne, qualifiée quelques heures plus tôt aux dépens de la Grèce. Les derniers jours avaient également été secoués par une joute verbale par médias interposé entre Evan Fournier et le sélectionneur Vincent Collet.
Le coach de l’équipe de France posait d’ailleurs un choix fort en sortant Evan Fournier (15 points et 3 passes décisives) et Rudy Gobert (1 rebond et 1 balle perdue) du cinq de base afin d’y inclure Isaia Cordinier (20 points, 3 rebonds et autant d’interceptions) et Gershon Yabusele (22 points et 5 rebonds), les deux meilleurs joueurs de la rencontre. Si l’ancien joueur des Knicks put toutefois passer pas mal de temps sur le parquet et réussir une bonne prestation et un tir d’anthologie, le pivot des Wolves, lui, dû se contenter de trois minutes.
Avec ce cinq plus équilibré signant la fin de l’association Wembanyama (7 points à 20% aux tirs mais 12 rebonds, 5 passes décisives, 3 steals et 1 contre) / Gobert qui ne fonctionnait guère, les Français démarraient au quart de tour en étouffant les Canadiens et leur armada NBA. Défense intransigeante, jeu rapide, extra-passes, chantier dans la raquette : tout y était pour les tricolores qui menaient 23-10 après dix minutes et 45-29 à la pause !
Au retour des vestiaires, Jamal Murray (7 points à 23% et 5 rebonds) se montrait toujours aussi emprunté mais l’inévitable Shai Gilgeous-Alexander (27 points, 5 rebonds et 4 passes décisives) sonnait la révolte et les Canadiens réduisaient une partie de leur retard, 61-50 à la pause. Barrett (16 points, 3 rebonds et autant d’assists) et ses partenaires poussaient pour recoller au score, il s’agissait pour Mathias Lessort (13 points, 5 rebonds et 1 block) et les Français de tenir, ce qu’ils parvenaient à faire avec intelligence et une pointe de réussite – ce tir à 10 mètres de Fournier ! – pour valider leur belle victoire, 82-73. Les protégés de Vincent Collet retrouveront les Allemands en demi-finale pour un duel qui s’annonce explosif !
Ce dernier quart de finale semblait le plus déséquilibré entre l’ogre américain et le Brésil. Une impression rapidement confirmée malgré la nouvelle performance de choix de Bruno Caboclo (30 points et 6 rebonds). Face aux Brésiliens, Embid (14 points et 7 rebonds), Davis (13 points, 8 rebonds et 3 assists) et Adebayo (9 points et 7 rebonds) faisaient un chantier dans la raquette et Team USA prenait immédiatement l’avantage et le large, 33-21 après dix minutes. Booker (18 points dont 5 sur 7 derrière l’arc) réussissait sa meilleure prestation du tournoi et les protégés de Steve Kerr tuaient tout suspens à la pause, 63-36.
Au retour des vestiaires, Huertas (9 points et 5 assists) et les Brésiliens parvenaient à faire jeu égal avec leurs illustres adversaires avant que James (12 points et 9 passes décisives), Durant (11 points, 4 rebonds et 3 passes), Edwards (17 points et 5 rebonds) n’en remettent une couche dans la dernière ligne droite pour s’imposer 122-87. Les Américains retrouveront des Serbes revanchards en demi-finale du Tournoi Olympique.
Les Allemands ont évincé la Grèce pour décrocher leur ticket pour les demi-finales. Les Serbes ont fait de même face aux Australiens mais ont eu besoin d’une prolongation pour y parvenir.
Quart de finale « vieux continent » entre l’Allemagne championne du monde et la Grèce, nation historique du basketball. Dans le sillage de son leader double MVP NBA Giannis Antetokounmpo 22 points) et Papanikolaou (10 points et 9 rebonds), les Grecs démarraient idéalement cette rencontre. Grâce à une excellente défense, les Héllènes prenaient les devants, 11-21 à la pause. Wagner (18 points) et les Teutons resserraient les boulons derrière et retrouvaient leurs standards offensifs dans le second quart-temps pour recoller au score. A la pause, c’était l’égalité parfait, 36 partout.
A la reprise, Schröder (13 points et 8 passes décisives) et ses partenaires continuaient sur leur lancée pour prendre l’avantage au marquoir et se forger un viatique intéressant à la demi-heure, 59-52. Walkup (12 points) et les Grecs devaient réagir mais butaient sur la défense allemande. Theis (6 points et 8 rebonds) et ses coéquipiers enfonçaient le clou et s’imposaient 76-63. La Manschaft est la première équipe qualifiée pour les demi-finales parisiennes.
Ce quart de finale s’annonçait prometteur entre une équipe serbe ouvertement candidate à une médaille derrière son triple MVP NBA Nikola Jokic (21 points, 14 rebonds, 9 assists, 4 interceptions et 2 contres !) et des Boomers au jeu rugueux et à l’intensité jamais démentie. A l’instar des Teutons, les Serbes connaissaient un retard à l’allumage et étaient cueillis à froid par Mills (26 points) et Giddey (25 points) on fire, 17-31 après dix minutes et 42-54.
Au retour des vestiaires, et les Serbes serraient la vis derrière pour grignoter leur retard et même passer devant, 57-65 à la demi-heure. Le dernier quart était passionnant, les deux équipes se rendaient coup pour coup. A 9 secondes du coup de sifflet final, Micic (14 points et 6 assists), qui venait de louper un lancer-franc, pensait avoir offert la victoire à la Serbie en convertissant son deuxième lancer. Mais c’était sans compter l’inusable Patty Mills qui arrachait la prolongation d’un tir dont il a le secret.
Dans le temps additionnel, Exum (12 points) et les Aussies prenaient l’avantage avant que Jokic n’assume son statut et ne prenne les choses en main pour faire passer la Serbie devant, laissant à Bogdanovic (17 points, 5 rebonds et 6 passes) le soin de conclure depuis la ligne de réparation. Les Serbes s’imposaient ainsi 95-90 au bout du suspens pour décrocher leur place pour les demi-finales olympiques où se profile un gros duel avec Team USA.