Les Celtics sont à vendre !

La franchise valorisée à 5 milliards de dollars est à vendre.

A peine le temps de profiter d’un magnifique titre et d’une dix-huitième bannière que les Celtics sont à vendre. Wyc Grousbeck et le consortium Boston Basketball Partners ont annoncé vouloir se séparer de la totalité des parts de la franchise. Achetés pour 360 millions de dollars en 2002, la franchise de Bean Town serait désormais valorisée à 5 milliards de dollars. Un sacré retour sur investissement !

« Le buzzer de Cointe me fait toujours halluciner »

Julien Lemaire analyse la saison vécue par les Stavelotains en P2B.

Les Stavelotains ont bouclé cette saison 2023-2024 à une honorable sixième place dans la très compétitive P2B. « Nous avons disputé dix de nos treize matchs à l’extérieur lors du premier tour », rapelle Julien Lemaire. « Et nous avons d’ailleurs réussi un très beau premier tour. »

Avec treize victoires pour autant de défaites, les Stavelotains présentent un bilan à l’équilibre. « Je reste tout de même mitigé quant à notre bilan même si, de nouveau, nous n’avons pas été épargnés par les blessures et les absences », continue le coach de Stavelot. « J’avais annoncé en début de championnat que finir dans le Top 8 de cette série serait déjà très costaud. Nous finissons sixièmes, c’est donc pas mal. Mais je reste sur ma faim car, selon moi, nous comptons quatre défaites de trop : deux contre le Croatia, une contre Harimalia et le buzzer de Cointe qui me fait toujours halluciner. »

Sans faire de bruit, les Stavelotains font désormais partie des équipes qui comptent en deuxième privinciale. « Nous avons réalisé quelques belles performances notamment lors des victoires contres Flémalle et Visé qui sont des top équipes et groupes », souligne Julien. « Je suis aussi très content que nous arrivions à intégrer des jeunes de Stavelot en conservant leur philosophie. C’est top que le club soit là où il en est et que nous soyons suivis, encouragés et fêtés lors de chaque match à domicile. »

Crédit photo : DR

Arthur Goethals est le nouveau président de la BNXT League

L’ancien président d’Ostende succède au Néerlandais Ramses Braakman.

La présidence de la BNXT League passe sous pavillon belge. Arthur Goethals, ancien membre du Comité Olympique et président d’Ostende de 2007 à 2015, succède à Ramses Braakman. « Je suis honoré de cette nomination et je suis impatient de contribuer à la croissance et au succès de la BNXT League« , a réagi celui qui est aussi bien introduit au sein du basket européen.

« Ces Playoffs qui ont eu lieu pour la première fois »

Julien Walravens revient sur cette nouvelle saison réussie avec Tongres en Nationale.

Julien, que retiens-tu de la saison écoulée ?

Ce que je retiens de cette saison en TDM2, ce sont les Playoffs qui ont eu lieu pour la première fois. Dommage que cela soit obligé car plusieurs équipes ne voulaient pas monter car n’avaient pas la licence.

Comment analyses-tu votre bilan sportif ?

Nous terminons dans le Top 3, ce qui est notre objectif chaque saison… Du coup, notre saison est réussie !

Quels furent les moments forts vécus cette année ?

Nos deux matchs contre Bruges ! Deux défaites de quelques points mais deux très beaux matchs contre une excellente équipe qui termine première de la saison régulière et gagnante des Playoffs.

Et quel est ton meilleur souvenir ?

Nos deux victoires contre Sprimont qui est mon ancien club club ainsi que celui où j’ai la chance de coacher des jeunes de moins de seize ans.

Ajay Mitchell score 21 points pour guider le Thunder à la victoire contre Memphis

Le meneur liégeois continue d’impressionner et a été décisif pour son troisième match sous le maillot du Thunder.

Deuxième victoire pour OKC à la Summer League de Salt Lake City. Le Thunder s’est imposé de justesse contre Memphis, 80-77. Un succès qui doit beaucoup à Ajay Mitchell, excellent pour sa troisième prestation sous le maillot de la franchise de l’état des tornades. Le meneur liégeois a claqué 21 points à 7 sur 9 aux tirs tout en captant 8 rebonds. Une performance trois étoiles qui confirme encore davantage qu’Ajay Mitchell est désormais NBA ready.

Les jeunes pousses du Thunder bouclent cette Summer League dans l’Utah avec un positif bilan de deux victoires en trois matchs et prennent désormais la direction du Nevada et de la capitale du jeu pour une autre Summer League.

Crédit photo : OKC Thunder

Ajay Mitchell épate pour ses débuts avec le Thunder d’OKC

Ajay Mitchell a réussi ses premiers pas sur les parquets NBA.

Drafté en 38ème position par le Thunder d’OKC et actuellement détenteur d’un two-way contract qui lui permettra d’alterner entre la NBA et la G-League (la ligue de développement de la NBA) pour son année rookie, Ajay Mitchell faisait ses grands débuts sous le maillot du Thunder lors de la Summer League de Salt Lake City.

Pour son premier match, le Liégeois a compilé 14 points à 60% aux tirs, 4 passes décisives, 3 rebonds, 3 interceptions et 2 contres ! Une feuille de stats très complète dans la défaite de son équipe contre les Sixers, 92-102.

Lors du second match, Ajay Mitchell a pu déjà goûter aux joies de la victoire avec un succès acquis contre le Jazz, 98-75. Notre compatriote a réussi un double-double du meilleur aloi avec 11 points et 10 passes décisives ! Nul doute que le jeune meneur a réussi ses premiers pas en NBA et confirmé les espoirs que le staff du Thunder place en lui.

Crédit photo : OKC

« Une saison incroyable en R2 alors que nous venions de P1 »

Michael Hendrick et les Bobelins ont parfaitement réussi la transition entre première provinciale et deuxième régionale.

Les Spadois ont réussi leur premiers pas en régionale avec douze victoires acquises pour leur découverte de la deuxième régionale. « Nous avons réussi une incroyable saison en R2 alors que nous venions de P1 et nous avons réussi à nous sauver alors que tout le monde nous voyait descendre », savoure Michael Hendrick, particulièrement en vue cette année. « Nous avons formé un groupe super soudé jusqu’au bout et je suis fier de faire partie d’une telle équipe. »

Sur le parquet comme au classement, les Bobelins se sont distingués. « Nous finissons à la septième place, ce qui est pour moi un peu décevant alors que nous étions à un rien du Top 5 derrière Pepinster avant nos trois défaites d’affilée en fin de saison », déplore le Spadois. « Mais globalement, pour une première saison à cet échelon, nous pouvons être très fier de nous. Très peu des membres de l’équipe avaient l’expérience de la régionale et nous avons tout de même réussi à nous maintenir assez rapidement. »

Sur le terrain comme en dehors, les protégés de Michel Pluys ont vécu des moments mémorables. « Notre première victoire contre Linthout, une équipe très solide et composée de joueurs très expérimentés, reste dans ma mémoire. Nous avions réussi un match incroyable, aussi bien en défense qu’en attaque. Je crois que c’est la plus belle victoire de ma carrière de joueur. Et, de plus, nous avons été les seuls à battre deux fois Linthout. C’est une grande satisfaction », sourit Michael. « Mon meilleur souvenir demeure cependant notre victoire à Mont-sur-Marchienne car nous avions été dominés toute la rencontre avant d’émerger sur la fin grâce à de grosses défenses, de gros shoots. Nous avions été particulièrement solides pour assurer la victoire en fin de match. »

Sans Wemby, les Français chutent contre les Teutons

Le second round face à l’Allemagne a prouvé la « wembanyama dépendance » de l’équipe de France.

Sans Victor Wembanyama, l’équipe de France est nettement moins dangereuse des deux côtés du terrain. Batum (11 points), Coulibaly (11 également) et Fournier (10 unités) avaient beau se charger du scoring, les Français étaient bien moins dominateurs que deux jours plus tôt. De quoi voir les Teutons de Wagner (17 points) et Schröder (17 unités aussi) s’imposer 70-65.

« La FIBA c’est bien »

Les Bahaméens ont échoué de peu à décrocher leur ticket pour Paris. Néanmoins, Buddy Hield et ses coéquipiers ont savouré l’expérience.

En finale du TQO de Valence, les Bahaméens ont échoué de peu face à une équipe d’Espagne habituée des grands rendez-vous. Néanmoins, les NBAers des Bahamas ont savouré leur participation à ce tournoi. « C’est un privilège d’être là, on se crée des souvenirs pour la vie« , assurait Eric Gordon.

Les NBaers ont apprécié le jeu FIBA et ses règles qui diffèrent parfois de celles imposées en NBA. « J’adore la plupart d’entre elles. Ne serait-ce que la règle des trois secondes. On peut rester un peu plus longtemps, et c’est plus difficile pour les attaques. Mais la FIBA, c’est bien. Ils ont leurs règles, et on s’adapte. C’est plaisant. On ne peut pas s’en plaindre. Il faut juste s’adapter, et c’est ce qui est génial« , a ainsi analysé Buddy Hiled.

Crédit photo : FIBA

« Le niveau de la P2B équivalait à celui de la P1 cette année »

Quentin Malpas revient sur la saison des Métallos conclue par une troisième place en P2B.

Quentin, que retiens-tu de cette saison en P2B ?

Le niveau qui, pour moi, équivalait cette année à celui de la P1. Il a fallu nous donner à fond tout le championnat pour rester dans le haut du classement.

Comment analyses-tu votre bilan sportif ?

Je n’étais pas là au début de championnat, j’ai été blessé à l’épaule pendant plus de deux mois. David Iliaens a arrêté en cours de saison aussi, cela n’a pas toujours été évident. Heureusement que Thierry Dario avait constitué un noyau de douze joueurs. Pour moi, nous avons réussi une toute bonne saison. Cependant, je crois que nous aurions pu faire mieux et que nos deux défaites contre Stavelot et la défaite contre Visé au premier tour aurait pu être évitées.

Quels furent les moments forts de ces dix derniers mois ?

L’ambiance qu’il y a eue tout au long de la saison dans le groupe ainsi que notre deuxième tour vraiment excellent avec pas mal de beaux résultats, notamment le match à domicile contre Theux qui s’est vraiment joué à pas grand chose et notre revanche sur Visé où les pendules furent remises à l’heure correctement.

Quel restera ton meilleur souvenir ?

Notre team building du début de saison restera gravé dans les annales. Pas besoin d’expliquer, beaucoup savent de quoi je parle (rires).