« L’aventure humaine et l’éclosion de nos jeunes Trinon, Di Prospero et Kesikidis »

Mike Bodson revient sur la saison probante des jeunes Alleurois en première provinciale.

Mike, que retiens-tu de cette saison en première provinciale ?

Tout d’abord une aventure humaine. Je suis arrivé avec mon approche et mon expérience de nationale et j’ai vite compris que ce n’était pas la bonne méthode avec mon groupe. J’ai dû faire un gros travail sur moi-même afin de trouver la bonne carburation et faire éclore ce tout nouveau groupe. Une fois mes corrections apportées, place au plaisir et à une cohésion d’équipe impressionnante au premier tour. C’était un régal de voir l’équipe trouver des solutions collectives avec une moyenne d’âge terriblement jeune.

Comment analyses-votre bilan sportif ?

Le bilan global est très bon. J’avais signé en mai et n’avais aucun joueur à ce moment-là. J’ai pu travailler avec mon ami Greg Kesikidis à la construction de l’équipe dans l’urgence et nous pouvons dire que les résultats plaident en notre faveur au vu des difficultés rencontrées et du délai. Notre première partie de saison fut fantastique, la seconde beaucoup moins bonne. A partir du moment où les transferts commencent fin décembre, début janvier, c’est compliqué de garder les gens motivés. J’ai pu mettre davantage les jeunes du club qui ont ainsi pu gagner en expérience.

Quels furent les moments forts de ces dix derniers mois ?

Notre victoire à Grâce-Hollogne restera un temps fort de notre premier tour. Nous avons réellement passé un cap à ce moment-là. La victoire contre Wanze dans un match très électrique fut également marquante. Et certaines troisièmes mi-temps n’étaient pas piquées des vers.

Quel restera ton meilleur souvenir ?

Je retiens surtout l’aventure humaine de mon groupe, la sympathie du club autour de l’équipe. Nous avons toujours joué devant une belle assistance et avons pu profité de l’éclosion de nos jeunes Trinon, Di Prospero et Kesikidis. Je tiens à remercier l’ensemble de mes joueurs pour cette saison.

« Une fumée blanche la semaine prochaine ou plus de fumée du tout »

S’il reste un infime espoir de voir RSW Liège Basket conserver sa place au sein du basket professionnel belge, on se dirige malheureusement vers une triste disparition.

Le club de Liège Basket va-t-il disparaître de la BNXT League et du basketball professionnel belge ? Ce n’est pas encore acté mais cela en prend malheureusement la direction. Faute de trouver un repreneur rapidement, l’ancien club de Fléron, monté en D1 grâce au tandem Jean Joly/Yvan Fassotte, risque de disparaître. « Cela concerne uniquement l’équipe D1. Rien ne change pour les équipes de jeunes et les autres équipes adultes du club qui sont regroupées dans une autre asbl », précise François Ancion ce jeudi 13 juin.

Mais comment en est-on arrivé là, quelques jours seulement après une demi-finale de Playoffs contre le futur champion Ostende et après avoir glané une troisième place sur la scène européenne dans la European North Basketball League ? « Ernie Cambo a annoncé ne plus vouloir investir dans le club la saison prochaine », rappelle l’actuel Directeur de RSW Liège Basket qui souligne au passage que grâce à l’apport financier de l’investisseur américain, le club est désormais sain financièrement, a la certitude de pouvoir évoluer au Country Hall la saison prochaine et détient la licence pour participer à la BNXT League.

Pour repartir pour une nouvelle saison, les Sang et Marine ont donc besoin d’un repreneur. « La somme demandée pour reprendre l’équipe D1 de Liège est une somme symbolique, elle n’est absolument pas un frein. Le bilan du club est clair, il n’y a pas de mauvaise surprise. Par contre, le club ne dispose pas d’un bas de laine, ni de promesses de subsides des pouvoirs publics », présente François Ancion.

C’est sans doute cette nécessité d’amener immédiatement du cash pour pouvoir lancer la nouvelle saison couplée à un timing particulièrement serré, au sentiment que le basket professionnel – et c’est là une question légitime de politiques publiques – est parfois oublié aux différents niveaux de pouvoir et une temporalité particulière – les citoyens viennent juste de se déplacer aux urnes – qui expliquent que les discussions avec les deux groupes de candidats repreneurs piétinent. « L’espoir est toujours là mais il s’amenuise chaque jour davantage », reconnait François Ancion.

Les retours positifs, la saine dynamique et les excellents résultats sportifs engrangés ces derniers mois ne suffisent pas à assurer une pérennité à Liège Basket qui, moins d’une décennie après Pepinster, pourrait aussi disparaître du paysage du basket professionnel qui tend sans cesse davantage vers le nord du pays. « Il y a une vraie frustration que tous les efforts fournis n’aboutissent pas, qu’il faille arrêter en rendant les clés », soupire François Ancion. « Les derniers soubresauts vont-ils lever des freins auprès de repreneurs, vivra-t-on le miracle d’un gars qui apparaît comme sorti d’un chapeau pour sauver le club ? »

Face à des scenarii relevant malheureusement sans doute davantage du rêve que du possible, François Ancion avait pris la décision, mardi, d’informer les trois joueurs encore sous contrat qu’ils pouvaient se mettre en quête d’un nouveau club. « J’ai agi par correction, par honnêteté, car la construction des effectifs des autres équipes a déjà bien avancé », précise cet avocat de profession.

Il reste sans doute un infime espoir pour sauver RSW Liège Basket mais il y a urgence. « Il faut qu’il y ait une fumée blanche la semaine prochaine ou bien il n’y aura plus de fumée du tout », résume François Ancion.

Crédit photo : Philippe Collin

Brown, Tatum et les Celtics à une victoire du sacre !

Les Celtics se sont imposés 99-106 à Dallas au terme de quarante-huit minutes passionnantes.

A Dallas, les Mavs et les Celtics se sont livrés à une véritable bataille où le suspens fut au rendez-vous. Emmenés par Tatum (31 points, 6 rebonds et 5 passes mais encore seulement 11 sur 26 aux tirs) et Brown (30 points, 8 rebonds et 8 passes), les protégés de Joe Mazulla, privés de Porzingis, ont fait la course en tête et ont compté plus de 20 longueurs d’avance avant un magnifique sursaut de Doncic (27 points, 6 rebonds et autant de passes décisives) et Irving (35 points). Les Texans sont revenus tout près des Celtics mais l’expérience de ces derniers et l’exclusion pour 6 fautes du Slovène ont plombé leurs espoirs.

Les Mavs sont désormais encore davantage dos au mur et doivent absolument réagir pour éviter le sweep. La quatrième et potentiellement ultime manche de ces Finals aura lieu dans la nuit de samedi à dimanche.

« Génial de voir un jeune Belge performer comme ça à l’autre bout du monde »

Guillaume Reynders s’était envolé pour Hawaï afin de rencontrer la pépite belge Noel Coleman et couvrir le tournoi NCAA organisé par la fac de la superbe île du Pacifique.

Pour beaucoup de basketteur, les Etats-Unis sont le rêve ultime, le Graal absolu. Aux States, les étudiants-athlètes peuvent bénéficier d’une bourse pour suivre un cursus universitaire tout en pratiquant leur sport favori. La NCAA est le championnat de basket universitaire et l’une des compétitions les plus médiatisées aux USA, générant des millions de dollars de recettes et plongeant, le temps de la « March Madness », le pays tout entier dans une ferveur totale. Depuis plusieurs années, de jeunes talents belges n’hésitent plus à franchir l’Atlantique pour vivre l’expérience US. Et certains se démarquent particulièrement, leurs performances étant relayées par différents médias dont Be U.

« Be U, c’est le média de référence pour suivre les basketteurs belges qui ont fait le choix de partir jouer aux USA, NCAA D1 et Junior College essentiellement », explique Guillaume Reynders. « Au jour le jour, nous rapportons les dernières prestations avec des stats et résultats, nous mettons en avant les grosses performances et les accomplissements. Et plus occasionnellement, nous réalisons une interview avec l’un des athlètes, via une série intitulée « Put Belgium on the map ». »

La dernière en date concerne Noel Coleman. « Nous sommes partis voir Noel car c’est l’un des Belges qui fait le plus parler de lui en NCAA. C’est l’un des deux meilleurs guards de la conférence Big West – l’autre étant Ajay Mitchell que nous avons pu interviewer en février dernier – et l’un des meilleurs scoreurs de cette même conférence », continue ce passionné. « De plus, je l’avais rencontré durant l’été et m’étais dit que son parcours serait intéressant à voir avec lui. »

La pépite belge porte les couleurs de l’université d’Hawaï. « Cette unif organise à chaque « Christmas break » un tournoi de basket assez réputé qui attire de grosses équipes NCAA. L’an dernier, Vanderbilt et Scottie Pippen Jr – contre qui Noel avait scoré 30 points – étaient de la partie. Cette année, il y avait des facs comme SMU, Washington State qui est l’ancienne fac de Klay Thompson ou Iona, coachée par la légende Rick Pitino », poursuit Guillaume. « Il faut bien avouer aussi que pouvoir combiner le travail avec la découverte d’une des plus belles îles du monde a pesé dans la balance. »

Sur la terre qui a vu naître Barack Obama, Guillaume a savouré l’expérience, assistant à la première victoire de l’équipe locale – qui s’est jouée sur un trois points à la dernière seconde – dans ce tournoi et profitant d’une atmosphère incroyable pendant les rencontres des Rainbow Warriors. « Comme il n’y a pas d’équipe pro dans l’état et pas d’autres teams en D1 NCAA, tous les habitants de l’île sont derrière les Rainbow Warriors et l’ambiance pendant les matchs est énorme », sourit celui qui réalise également des vidéos pour Liège & Basketball« De plus, j’ai pu observer la confiance que dégage Noel dans son rôle de première option et celle que ses coéquipiers et son staff lui donnent. Voir un jeune Belge performer comme ça à l’autre bout du monde, c’est génial ! »

Une superbe expérience professionnelle également pour le Liégeois. « Filmer un match en bord de terrain dans une salle aussi grande que le Stan Sheriff Center qui peut accueillir plus de dix mille personnes, dans un évènement organisé par ESPN et avec une accréditation presse qui me donnait un accès total était tout simplement incroyable », s’extasie-t-il. « La première fois que je suis rentré dans la salle par le tunnel, j’ai vraiment eu des frissons. Et je prenais le temps à chaque pause de regarder autour de moi pour m’assurer que je ne rêvais pas. »

Pour voir cette super vidéo, c’est ici : https://www.instagram.com/reel/Cnw8JIrJnBL/?igshid=YmMyMTA2M2Y=

Crédits photos : GR Productions

« Il faut faire preuve de patience parce que le travail acharné porte toujours ses fruits »

Julie Vanloo a réussi une belle prestation pour aider les Mystics à remporter leur première victoire de la saison.

Plombées par les blessures, les Mystics n’avaient pas encore réussi à débloquer leur compteur depuis l’entame de la saison WNBA. Après douze défaites consécutives, Julie Vanloo (11 points et 4 passes décisives) et ses coéquipières ont enfin pu goûter aux joies de la victoire en venant à bout de d’Atlanta, 87-68. Une victoire obtenue en partie grâce à une impressionnante production derrière l’arc : 17 sur 31 !

« Nous avions très bien jouéNous avons été si proches tant de fois. Nous avons joué très dur contre de très grandes équipes. Et j’ai le sentiment que nous avons travaillé si dur, et qu’il faut faire preuve de patience parce que le travail acharné porte toujours ses fruits », analyse la meneuse belge pour le Washington Post.

Une victoire qui devrait relancer les Mystics, qui récupèrent petit à petit leurs blessées, alors que Julie Vanloo réussit ses premiers pas dans la grande ligue.

Crédit photo : FIBA

Gillet et les Ostendais remportent le titre de BNXT League

Les Ostendais se sont imposés 66-79 à Leiden pour devenir champions de BNXT League.

Dominateurs au rebond (34 à 21) et à nouveau bien en place défensivement, Ahmad (24 points), Jefferson (17 points et 6 rebonds) et les Ostendais démarraient en trombe pour placer un 18-27 prépondérant. Dans le second quart-temps, Gillet (11 points et 8 rebonds), Salumu (14 points et 4 rebonds) et leurs coéquipiers poursuivaient sur leur lancée pour faire le break à la pause, 33-47.

Les Bataves reprenaient du poil de la bête à la sortie des vestiaires, réduisant quelque peu l’écart à la demi-heure, 51-62. Dans le dernier quart, les Côtiers résistaient parfaitement aux envies de retour des visiteurs et augmentant même leur viatique pour finir par s’imposer 66-79.

Les Ostendais empochaient ainsi la deuxième manche pour remporter cette finale des Playoffs de BNXT League et prendre leur revanche suite à leur défaite face au même adversaire à ce stade de la compétition la saison dernière. Jefferson est élu MVP de cette finale tandis que Sam Van Rossom a reçu une standing ovation à sa sortie pour le dernier match de sa formidable carrière.

Crédit photo : BCO

« Le team building organisé en commun avec la P3 et la P2 »

François Genet analyse la dernière saison des Ensivalois en R2.

François, que retiens-tu de cette dernière saison d’Ensival en deuxième régionale ?

Nous sortons d’une saison très compliquée. Le groupe fut énormément touché par les blessures, ce n’était donc pas évident de trouver un bon rythme et de bosser correctement aux entrainements. Mais l’ambiance au sein du groupe et autour du bar est restée top.

Comment analyses-tu votre bilan sportif avec un maintien pratiquement acquis sur le terrain avant une descente décidée par le club faute de pouvoir reconstruire une équipe compétitive ?

Le bilan n’est pas vraiment possible à analyse vu que l’intention du club était, au vu des circonstances, de descendre en P1. Mais avant cette décision, nous aurions pu attendre mieux au niveau sportif. Malheureusement, les blessures et absences aux entrainement n’ont pas facilité la tâche.

Quels furent les moments forts de cette saison ?

Le match à retenir, c’est le derby à domicile contre Spa. Il y avait une super ambiance avec beaucoup de jeunes du club présents et une victoire obtenue dans les dernières minutes. Mais les moments forts de cette saison eurent surtout lieu au bar en jouant à « 3-4 ». Nous y avons laissé des plumes à plusieurs reprises.

Quel est ton meilleur souvenir ?

Il y a vraiment un week-end à retenir de cette saison, c’est celui du team building organisé en début de saison en commun avec la P3 et la P2. Il y a eu plusieurs moments inoubliables !

Clap de fin pour RSW Liège Basket ?

Ce serait une bien triste nouvelle pour le basket belge et liégeois.

Depuis l’annonce d’Ernie Cambo de se retirer de RSW Liège Basket, diverses informations filtraient, notamment celle de plusieurs entrepreneurs liégeois qui viendraient à la rescousse du club phare de la Cité ardente. Cependant, selon certains médias comme La DH et L’Avenir, cette solution aurait du plomb dans l’aile et le club Sang et Marine se verrait contraint de mettre tout simplement la clé sous la porte.

Une annonce qui, si elle se confirme, serait un véritable crève-coeur pour tous les passionnés de la balle orange en région liégeoise, surtout après la formidable saison réussie par Olivier Troisfontaines et sa bande.

Sources : Stupeur dans le monde du basket belge: Liège ne sera plus en BNXT League la saison prochaine – La DH/Les Sports+ (dhnet.be) , Stupeur dans le monde du basket belge : Liège ne sera plus en BNXT League la saison prochaine – L’Avenir (lavenir.net)

Crédit photo : Philippe Collin

Castagne, Di Prospero, Aerts, Franck et Germay en lice pour les Awards de l’AWBB

La province de Liège bien representée aux Awards masculins de l’AWBB.

Comme chez les Dames, la province de Liège place de nombreux éléments aux Awards de l’AWBB. Ainsi, l’emblématique Claude Germay est nommé parmi les Secrétaires de l’année. En R1, chez les joueurs, Thomas Castagne et Martin Di Prospero sont récompensés de leur excellente saison réussie avec Sprimont et Aubel.

En R2A, Alexandre Aerts, pour sa dernière saison sous le maillot de RSW Liège Basket, figure parmi les nommés au trophée de Joueur de l’année. Chez les coachs, Nicolas Franck est en lice pour la R1 grâce à la formidable saison réussie par la jeune escouade sprimontoise.

« Les nommés au titre de joueuse, joueur coach de la saison 2023-2024 ont été élus par les coaches de chacune des séries régionales séniores », précise l’AWBB. « Les nommés au titre de secrétaire de la saison 2023-2024 ont été élus par un jury composé du président, du secrétaire général, du président du département coupes et de la responsable du secrétariat général parmi les secrétaires des clubs qui participent aux compétitions régionales séniores et jeunes. »

« Notre saison démontre bien que le basket est un sport collectif »

Saison noire pour Maxime Clavier et les Haricots qui sont déjà impatients de remettre Belleflamme à la place qui est la sienne.

Maxime, que retiens-tu de cette saison 2023-2024 ?

Ce fut une saison plus que compliquée. Je pense que notre saison démontre bien que le basket est un sport collectif et qu’il faut que chacun soit concerné et impliqué dans le jeu pour obtenir des résultats. Sur papier, nous avions une super avec équipe avec de super joueurs mais nous n’avons jamais réussi à jouer ensemble pour tirer tout le monde à son meilleur niveau. Je pense que notre intersaison ne fut pas bonne, nous n’étions pas du tout prêts au mois d’août. Nous avons dû rattraper notre retard mais c’était déjà notre tard. La R1 est désormais très compétitive et si nous ne sommes pas prêts, nous ne pouvons pas faire que paraître.

Comment analyses-tu votre bilan sportif ?

Il est pour moi catastrophique. Cela fait dix ans que la saison ne s’est jamais arrêtée aussi tôt. Nous avons toujours disputé les Playoffs et cette année, j’ai l’impression que nous avons eu fini il y a déjà une éternité Nous avons connu deux changements d’entraineur, l’équipe n’était pas super bien balancée suite aux arrêts avant de commencer la saison. J’ai dû jouer meneur pour compenser, ce qui n’est évidemment pas ma meilleure place… Nous avons formé un bon groupe en dehors du parquet mais nous n’avons jamais réussi à transposer cela sur le terrain. C’est vraiment une saison à oublier rapidement pour remettre Belleflamme à sa place.

Quels furent les moments forts de ces dix derniers mois ?

Il n’y en a pas eu eu, selon moi. Nous avons été en dessous de tout et devons retenir cette leçon. J’ai quand même l’impression que nous avons essayé de bien faire vu que nous avons fait des efforts pendant le trêve pour tenter d’être prêts mais cela n’a jamais payé. Nous allons vers un nouveau projet, avec une équipe plus complémentaire et une meilleure balance entre jeunes et joueurs expérimentés. Nous allons surtout retenir les valeurs de Belleflamme avec des arrivées qui ont le sang vert et blanc. J’espère de nouveau pouvoir m’épanouir individuellement dans un jeu plus collectif la saison prochaine mais nous devrons être prêts directement. Je pense que chacun a envie d’effacer au plus vite cette saison noire.

Quel est tout de même ton meilleur souvenir de la saison écoulée ?

Notre team building à la mer avec Jean-Luc Mathy et notre retour en van pour rentrer de Fleurus qui a duré deux heures avec des petits soucis techniques (rires). C’était un super groupe humainement. Désormais, place à la nouvelle saison que je suis impatient de commencer pour remettre Belleflamme à la place qui est la sienne.