A Neufchâteau, Samuel Jennès et les Jupillois ont rivalisé pendant trente minutes avec leurs hôtes.
Dans le sillage de Samuel Jennès (17 points), Médart, Cordonnier, Defraine (8 points chacun) et les Jupillois rivalisaient parfaitement en première mi-temps, 41-35. A la reprise, les Brasseurs craquaient et voyaient les Chestrolais filer à 69-49. Le dernier quart était équilibré mais ne changeait rien au résultat final : 93-71.
Les Spadois de Michel Pluys ont parfaitement négocié leur arrivée en deuxième régionale.
Pour leur première saison en deuxième régionale, les Bobelins ont vite trouvé leur rythme de croisière pour s’installer dans le ventre mou de la R2B. « Le bilan est très positif, personne ne nous voyait avec six victoires à la mi-saison », avance Michel Pluys. « Notre victoire à Linthout, leader de la série, a été importante. Elle nous a permis de croire en nos qualités collectives. »
Après avoir pris la mesure de l’exigence de la division, les Spadois entameront le second tour sans trop de pression concernant le maintien. « Nos objectifs demeurent inchangés : nous mettre à l’abri le plus vite possible », assure le coach de Spa. « Cela demandera beaucoup d’implication et de concentration collectives, de continuer à progresser et, surtout, de prendre du plaisir sur le terrain. »
Chouette derby de TDM2A entre Pepinster et Sprimont.
Derby de TDM2A au Hall du Paire samedi avec la venue de Sprimont, une équipe toujours en course pour les Playoffs. Une rencontre qui voyait aussi Jérôme Jacquemin affronter son futur groupe puisqu’il prendra la succession de Pascal Horrion au terme de cette saison.
A domicile, les Pepins avaient réglé la mire – 10 bombes – mais les Sprimontois aussi, totalisant le même nombres de triples inscrits. Nyssen (17 points), Pirson (15) et leurs coéquipiers, contrairement à la R2 locale contre Verviers, prenaient toutuefois le meilleur départ pour mener 23-15 après dix minutes. Franck (23 points), Wuidar (19) et les Carriers réagissaient dans le second quart pour renverser la situation et mener 41-43 à la pause.
Au retour des vestiaires, Titeca (11) et les Sprimontois poursuivaient leur travail de sape pour se détacher à 59-66 à la demi-heure. Wintgens (14), Francoeur (9), Halkin (7) et les Pepins tentaient le tout pour le tout dans la dernière ligne droite mais les visiteurs tenaient bon et s’imposaient 80-85.
Surprenante deuxième mi-temps à Aubel.
Face à la solide équipe de Kain, Gauthier Liégeois (12 points), Glaude (10) et les Aubelois savaient la tâche ardue et la première période était aussi équilibrée que disputée, le marquoir affichant 35-34 à la pause. Au retour des vestiaires, la défense locale faisait des merveilles et Di Pro (20 points) et ses coéquipiers en profitaient pour claquer un impressionnant 25-5 pour prendre le large. Mais dans le dernier quart, les visiteurs avaient un sursaut d’orgueil et les locaux balbutiaient quelque peu leur basket. Heureusement, les protégés de Claude Ernotte assuraient l’essentiel : une belle victoire 72-65.
Les Liégeois se sont inclinés 68-58.
Pourtant, Collin (11 points), Bojovic (7) , Aerts (7 également) et leurs coéquipiers menaient 13-15 après dix minutes. La défense des Sang et Marine se faisait plus permissive dans le second quart et les locaux en profitaient pour passer devant à la pause, 34-31. La reprise était équilibré et le score ne changeait guère, Kouassi et les Principautaires revenant à 47-45 à la demi-heure avant que les Nivellois ne se montrent plus réalistes dans le dernier quart-temps pour empocher la victoire 68-58.
Les Verviétois ont confirmé qu’ils restaient de sacrés clients en prenant le dessus sur Cointe, 79-65.
En début de championnat, les Verviétois étaient pointés parmi les favoris pour le titre de la très compétitive P2B en compagnie de Comblain, Theux, Flémalle, Croatia et… Cointe. Si les Grenouilles assument leur statut en étant sur le podium de la série, les Verviétois sont rentrés dans le rang, bataillant davantage pour le Top 7.
Pourtant, lors de la réception de Cointe, les troupes de Jérémy Delsemme ont démontré qu’elle auraient pu avoir leur mot à dire cette saison. Bien en place défensivement et avec un Vincent Louis impactant en attaque, les locaux faisaient 17-8 après dix minutes et menaient 38-30 à la pause.
A la reprise, Melon (10), Brulmans (8) et les Cointois rivalisaient avec leurs hôtes, revenant même à 53-47 à la demi-heure. Mais Demez (24 points), très précis derrière l’arc, et ses coéquipiers se montraient à leur avantage dans le dernier quart pour remporter la victoire 79-65.
Les Haricots ont livré une prestation sérieuse pour s’imposer 68-86 à Andenne.
Le premier quart de ce presque derby de première régionale était équilibré mais voyait Bernard (11 points) et les visiteurs mener 11-14 après dix minutes. Bien en place derrière, Archambeau (16), Makengo (10) et leurs coéquipiers réussissaient un excellent second quart-temps pour faire le break à la pause, 25-41.
A la reprise, Stas (14), André (13) et les Oursons se montraient plus efficaces et parvenaient à réduire l’écart à 51-60 à la demi-heure. Les Liégeois retrouvaient leurs esprits dans la dernière ligne droite pour reprendre leur marche en avant et empocher la victoire 68-86.
Nette domination des Carriers contre Woluwé.
Pour dominer les Bruxellois de la tête et des épaules, les Sprimontois ont pu compter sur leurs intérieurs Meunier (22 points), Kempeneers (20) et Van Den Brule (14). Après un premier quart équilibré, 21-18, les Carriers faisaient le break pour rejoindre les vestiaires avec une avance confortable, 44-29. La deuxième mi-temps était également nettement en faveur des locaux qui s’imposaient 96-56.
Première mi-temps catastrophique des Ensivalois contre les Bruxellois.
A domicile, les Ensivalois ne parvenaient pas à rentrer dans la partie et subissaient totalement les échanges, les Bruxellois claquant un 4-23 d’entrée de jeu. La réaction se faisait attendre dans le second quart dans lequel les locaux peinaient à alimenter le marquoir. A la pause, le score affichait un terrible 11-49. Heureusement, Genet (12), Erkenne (9) et leurs coéquipiers se reprenaient au cours d’une seconde mi-temps plus équilibrée mais qui ne changeait rien au résultat final : 48-89.
Déjà dotée d’une solide expérience malgré son jeune âge et appelée à réussir une brillante carrière de coach, Lola Paulus a décidé de quitter les Panthers au terme de cette saison pour succéder à Mike Dekeyser à la tête de la R1 de Huy.
Lola, pourquoi avoir décidé de quitter la R1 des Panthers pour celle de Huy ?
J’ai décidé de m’engager avec Huy car le projet présenté par Nina Crelot m’a plu. Cela fait deux ans que cette équipe est au top de la régionale 1, le noyau reste similairement le même et je pense que nous pouvons faire de belles choses ensemble. Cette équipe possède actuellement le meilleur duo intérieur de la R1, des filles qui savent shooter et des meneuses qui ont fait leurs preuves. Le groupe est solide et c’est un super challenge si on pense à l’horizon 2025.
Quelles sont tes envies pour ce nouveau challenge ?
Je souhaite me développer en tant que coach, pouvoir développer ma vision du basket et tester plein de choses. Il n’y a que des joueuses intelligentes, je pense que nous pourrons réaliser de belles choses ensemble. Et puis, c’est un step, je l’espère, vers le niveau national, ce qui n’était pas possible à Liège, en tout cas à court terme.
Quels souvenirs garderas-tu de ton passage chez les Panthers ?
Tant de souvenirs et de personnes extraordinaires ! Je pense d’abord à mes joueuses R1, mais aussi aux plus jeunes ou encore à Julia Franquin et aux jeunes joueuses D1, mais aussi aux parents et aux sympathisants. Toutes ces personnes avec qui j’ai noué des liens très forts. Les Panthers sont ma deuxième famille. Au niveau basket, peut-être que ma première Coupe AWBB en tant que coach demeure mon plus beau souvenir mais il y a aussi certaines victoires qui me restent en mémoire, avec parfois une équipe déforcée et des guerrières.