« Comme le dribble ou le shoot, les contacts sont une technique particulière »

Septième épisode de The Atlas Rules by Yvan consacré aux contacts dans le basketball.

« Comme le dribble ou le shoot, les contacts sont une technique particulière. A haut niveau, la puissance physique est tellement importante qu’il faut s’entrainer à pousser et à avoir des contacts avec ses adversaires », expliquent Yvan Fassotte en guise d’introduction de cette septième vidéo spécifiquement consacrée à la la défense 3/4 au low post.

Un épisode à découvrir ici.

Crédit photo : GR Communication sportive

« Nous sommes restés les rois de Jupille »

Jérôme Niedziolka et les Etoilés ont bouclé l’exercice 2022-2023 à une très « honorable » quatrième place en première provinciale.

Jérôme, quel bilan fais-tu de cette dernière saison ?

Je pense que nous pouvons tirer un bilan plutôt positif de notre saison. Nous terminons à une honorable quatrième place, synonyme de participation aux Playoffs s’ils avaient eu lieu. Avec une nouvelle équipe, le bilan est bon.

Quels furent les moments forts de cette dernière campagne ?

Les quatre derbies de la commune que nous avons tous remportés, aussi bien contre Bellaire que contre Atlas. A chaque fois, il y a eu une belle ambiance et trois des quatre matchs furent serrés. Au bout du compte, nous sommes restés les rois de Jupille.

Votre équipe sera bien différente la saison prochaine, tu fais partie des rares rescapés. Quelles sont tes envies pour la prochaine saison ?

J’aspire à ce que l’équipe fasse aussi bien la saison prochaine que celle-ci au niveau résultat, le tout avec une bonne ambiance et de bonnes personnes. Bref, que nous continuions à nous amuser.

« Un départ idéal avant d’un peu rentrer dans le rang »

Simon Lambert et les Hesbignons avaient bouclé la première moitié de saison avec un bilan à l’équilibre.

Simon, quel bilan fais-tu de ce premier tour conclu avec un bilan équilibré ?

Je pense que nous avons réussi un bon premier tour. Nous avon démarré la saison de la meilleure façon possible avec cinq victoires de suite avant de rentrer un peu dans le rang. Nous avon finalement un bilan équilibré à la mi-saison, ce qui est plutôt positif.

Qu’est-ce qui t’a marqué durant cette première moitié de saison ?

Il y a notre match contre Sainte-Walburge pour lequel nous espérons récupérer la victoire quasi acquise sur le terrain. Mais aussi notre match plein chez le leader Alleur lors duquel toute l’équipe a assuré.

Quels seront vos objectifs pour le deuxième tour ?

Nos objectifs demeurent inchangés. Nous espérons continuer sur notre lancée et passer une saison tranquille au sein de l’élite provinciale. L’idéal serait de prendre directement quelques victoires en évitant les blessures. Je pense que nous pourrons être satisfaits en fin de saison si nous y parvenons.

Les quatre fantastiques !

Sur cet Euro, Emma Meesseman, Julie Allemand, Julie Vanloo et Kyara Linskens ont formé un quatuor redoutable.

En finale, seules quatre Belges ont scoré : Emma Meesseman, Julie Allemand, Julie Vanloo et Kyara Linskens. La MVP du tournoi compila 24 points, 8 rebonds et 5 steals. La meneuse des Cats ajouta 9 points et 8 assists, Julie Vanloo termina avec 13 points et 4 assists tandis que Kyara Linskens fit le ménage dans la raquette avec 18 points, 15 rebonds et 3 contres.

Si les trois premières furent élue dans le meilleur cinq du tournoi, Kyara Linskens, qui a véritablement pris une autre dimension dans cet Euro, aurait elle aussi mérité d’y figurer. Les quatre amies ont formé un quatuor redoutable et redouté qui explique en grande partie l’accomplissement que constitue ce titre européen.

Bien évidemment, l’exploit des Cats est également à mettre au crédit de Rachid Meziane, le coach des Cats qui a su insuffler une nouvelle dynamique à ce groupe. Mais aussi à ses prédécesseurs, Philip Mestdagh et Pierre Cornia.

Enfin, si les quatre piliers des Cats ont pu autant apporter, c’est aussi parce qu’elles ont pu s’appuyer sur des coéquipières précieuses telles Antonia Delaere (3,7 points et 3,8 rebonds), Bethy Mununga (1 point, 5,7 rebond et 1 steal), Maxuela Lisowa Mbaka (3,3 points et 1 interception), Laure Résimont (6,3 points) et Becky Massey (3 points, 1,2 rebonds et 1,4 passes) alors que Billie Massey, Elise Ramette et Serena-Lynn Geldof furent aussi efficaces quand le besoin se fit sentir.

Avec un tel collectif et un basket chatoyant et efficace, avec de telles joueuses et une maturité certaine, les Cats peuvent se permettre de rêver à une médaille aux prochains Jeux Olympiques de Paris.

Crédit photo : FIBA

« Je suis tellement, tellement fière de mon équipe »

Cet Euro a achevé de placer Emma Meesseman dans une autre dimension.

Que la Belgique a de la chance d’avoir Emma Meesseman. L’Yproise avait déjà tout gagné, ou presque. Des titres en en pagaille : WNBA, Russie, Turquie ou Euroleague. Des distinctions individuelles à foison : MVP de l’Euroleague, des WNBA Finals, du Final Four, de l’Euro Junior. Ces deux dernières semaines auront permis à Emma Meesseman d’ajouter deux trophées de plus – les plus beaux ? – à son impressionnante collection : le titre européen et celui de MVP de l’Euro.

Pendant deux semaines, Emma Meesseman a marché sur l’eau et sur la concurrence, totalisant 21,7 points, 8,7 rebonds, 5,2 passes décisives et 4,3 interceptions en moyenne en six rencontres. En quart de finale, lors de la démonstration contre la Serbie, la leader des Cats a réussi le premier triple-double de l’histoire de l’Euro féminin avec 15 points, 13 rebonds et 10 assists.

Outre les chiffres bruts impressionnants, c’est l’impression dégagée par Meesseman tout au long du tournoi qui a suscité l’admiration de tous. Leader – par les gestes et la parole – des Belges, capable de tout très bien faire et d’apporter l’indispensable à son équipe en fonction du déroulement du match, donnant l’impression de contrôler les débats et de pouvoir toujours guider sa team vers la victoire, cette championne hors normes a brillé individuellement tout en plaçant sans cesse le collectif devant ses propres prestations. « Je suis tellement, tellement fière de mon équipe », a-t-elle confié à la FIBA après le sacre de la Belgique. Généreuse, altruiste – comme lorsqu’elle a donné le trophée de MVP d’un match à Kyara Linskens – et humble, Emma Meesseman a confirmé être une athlète d’exception et une toute grande dame, figure emblématique parfaite des Cats et du sport féminin belge. Vivement les Jeux Olympiques 2024 à Paris où, avec un tel collectif et une aussi formidable capitaine, les Cats pourront résolument rêver d’une médaille !

Crédits photos : FIBA

« Nous sommes des championnes. Je suis tellement fière de mon équipe »

Le premier titre européen de l’histoire de la Belgique, Emma Meesseman élue MVP, trois joueuses dans le meilleur cinq de la compétition et Julie Allemand qui bat le record de passes décisives du tournoi : les Cats ont réussi un véritable carton plein lors de cet Euro 2023.

Wouaw ! Les mots manquent pour qualifier l’exploit des Belgian Cats, dominatrices et séduisantes tout au long du tournoi pour décrocher le premier titre européen de leur histoire et placer la Belgique sur le toit de l’Europe.

Avec trois victoires d’entrée de jeu dont deux dans les très grandes largeurs, les Cats avaient d’emblée affiché leur collectif, leur maitrise et leur maturité. En quart de finale, les Belges avaient éparpillé les Serbes – championnes d’Europe en titre, tout de même ! – façon puzzle pour l’une des plus impressionnantes démonstrations de l’histoire de l’Euro. En demi-finale, les Cats avaient réussi à maitriser les Françaises avant d’émerger en finale contre les Espagnoles pour devenir championnes d’Europe.

Outre ce superbe accomplissement collectif, les Cats ont raflé les trophées individuels. Emma Meesseman, impressionnante tout au long du tournoi, fut logiquement élue MVP de la compétition. Avec 21,7 points, 8,7 rebonds, 5,2 passes décisives et 4,3 interceptions, un leadership impressionnant et la capacité à tout (très) bien faire et à prendre ses responsabilités dans les moments décisifs, l’ancien championne WNBA et MVP des WNBA Finals, récentes MVP de l’Euroleague, a confirmé qu’elle est tout simplement la meilleure joueuse d’Europe et l’une des meilleures du monde. « Nous sommes des championnes. Je suis tellement fière de mon équipe », a commenté Emma Meesseman, mettant comme toujours l’accent sur le collectif.

Forcément, Meesseman fut également élue dans le Meilleur cinq de l’Euro où deux autres Belges l’ont rejointe : Julie Allemand et Julie Vanloo. La meneuse liégeoise a compilé 11 points et 8,7 assists, établissant ainsi un nouveau record de passes décisives sur le tournoi (le précédent était de 8,5 assists de moyenne) et confirmant être une remarquable chef d’orchestre. Julie Vanloo, dans un rôle de combo-guard, s’est révélée indispensable pour les Cats avec 16,2 points et 3,2 assists de moyenne. Libérée, Vanloo a planté pas moins de 24 triples en six rencontres ! Si Sandrine Gruda et Alba Torrens complètent ce starting five, Kyara Linskens n’aurait pas volé sa place parmi ce cinq de légende. La pivot belge a encore pris une autre dimension en tournant à 11,8 points, 6,2 rebonds et 2 contres en moyenne.

Meilleure attaque de l’Euro, exceptionnelle aux passes décisives et aux interceptions, la Belgique a proposé un basket collectif, en mouvement, avec du jeu rapide et des combinaisons efficaces. De quoi justifier complètement ce titre européen et enthousiasmer tous les amateurs de la balle orange. Bravo !

Crédits photos : FIBA

Les Cats sur le toit de l’Europe !

Au bout du suspens et d’une magnifique bataille, les Belgian Cats deviennent championnes d’Europe pour la première fois de l’histoire.

Dans cette finale, et c’est bien logique, les joueuses belges ressentaient une forme de pression. Favorites, les Cats laissaient les Espagnoles dicter le rythme des échanges et ne parvenaient à scorer que grâce à Emma Meesseman (24 points, 8 rebonds et autant d’interceptions). Après dix minutes, les Ibères étaient devant, 17-13.

Malheureusement, le second quart n’était guère meilleur pour nos compriotes qui se montraient trop dispendieuses avec le cuir (13 balles perdues en vingt minutes) alors que les Espagnoles ne rataient rien derrière l’arc. Alors que tout le public pensait qu’un triple de Vanloo (13 points et 4c assists) allait enfin lançer les Cats, il n’en était rien et à la pause, le marquoir affichait 32-25.

La reprise était en faveur des Espagnoles avant un sursaut de Linskens (18 points, 15 rebonds et 3 contres) et des Belges mais les Ibères faisaient mouche par deux fois du parking pour provoquer le temps-mort de Rachid Meziane, 42-34. Après un play concluant des Belges avec un tir sur une jambe de Julie Vanloo, les Hispaniques répondaient du tac au tac. Mais juste avant la demi-heure, Julie Allemand (9 points et 8 assists) transperçait doublement la défense adverse, 48-43.

Le dernier quart était étouffant ! D’un triple, Emma Meesseman faisait passer la Belgique devant, 54-55. Plus attentives avec le ballon, avec maturité et malgré quelque lancers-francs laissés en route, les Belges prenaient enfin les commandes de cette finale pour ne plus les lâcher et vaincre les coriaces Espagnoles, 58-64.

Une victoire au bout du suspens pour les Cats qui deviennent championnes d’Europe ! Au coup de sifflet final, les Belges pouvaient exulter, pleurer, sourire, devenant la première équipe féminine belge dans un sport collectif à monter sur le toit de l’Europe. Bravo, bravissimo !

Crédit photo : FIBA

« La clé pour gagner la finale est l’aspect mental »

Une finale ne se joue pas, elle se gagne dit l’adage. Les Cats ont rendez-vous avec l’Espagne pour écrire ce dimanche la plus belle page de leur histoire.

Après avoir éparpillé les Serbes façon puzzleles Cats ont vaincu les Françaises pour se hisser pour la première fois de leur histoire en finale de l’Euro. Lors de celle-ci, elles affronteront les Espagnoles, de sacrées clientes !

Cette finale, qui se déroulera en Slovénie à 20 heures, verra nos compatriotes affronter l’Espagne, place forte du basket européen depuis toujours. Avec la troisième meilleure attaque du tournoi, les Espagnoles – quatrièmes aux passes décisives et aux interceptions – seront de sacrées clientes pour les Cats. Moins dominatrices au rebond, les Ibères pratiquent un basket intelligent, agressif et rythmé où le collectif prime sur les individualités. Cette finale historique pour les Belges se jouera vraisemblablement sur des détails – attention à Torrens qui en a planté 27 contre la Hongrie en demi-finale – alors que la gestion de la fatigue et des émotions sera sans nul doute prépondérante. Comme le dit l’adage : « Une finale ne se joue pas, elle se gagne. »

Une finale dont les Belges sont favorites même si les Espagnoles, peut-être moins performantes qu’il y a quelques années, ne seront pas un oiseau pour le chat. « Nous les avons jouées en préparation et c’est un style et un défi différents par rapport à la France, surtout en dehors du ballon. Mais je pense que la clé pour gagner la finale est l’aspect mental et je pense que les filles sont prêtes mentalement. Je pense que nous pouvons arrêter l’équipe espagnole parce qu’elle présente aussi un style similaire au nôtre. Contrôler le rythme sera le défi »assure Rachid Meziane sur le site de la FIBA.

Ce dimanche, c’est tout un peuple, toute une nation qui sera derrière les Cats pour que ces formidables joueuses – en larmes pour la plupart après leur victoire contre la France – ramènent l’or au pays. Come on Belgium !

Crédit photo : FIBA

« Les filles sont prêtes mentalement »

Magnifiques depuis le début de l’Euro, les Belgian Cats doivent parachever le travail ce dimanche soir face aux talentueuses espagnoles.

Après avoir éparpillé les Serbes façon puzzle, les Cats ont vaincu les Françaises pour se hisser pour la première fois de leur histoire en finale de l’Euro. Lors de celle-ci, elles affronteront les Espagnoles, de sacrées clientes !

« Nous avons eu des moments difficiles ces dernières années, mais l’une des clés est que nous avons été ensemble dans tous ces moments – quand nous avons gagné et quand nous ne l’avons pas fait. C’est l’une des forces qui nous a amenés ici. Il est vrai que pendant ce championnat, nous avons essayé de ne pas penser au passé, seulement au présent. Le premier match n’était pas le meilleur pour nous, mais nous l’avons pris comme une opportunité de grandir », explique Alba Torrens – intenable en demi-finale avec 27 points – sur le site de la FIBA.

Les Cats, elles, semblent être arrivées à maturité pour disputer la finale de l’Euro pour la première fois de leur histoire. « C’est un aboutissement. Elles sont venues pour ça à cet Euro. C’est noté depuis longtemps, depuis 2015. On devait avoir la maturité qu’on n’avait pas encore dans les grands tournois. Et grâce à cette maturité, on l’a vu, le groupe n’a pas paniqué et est resté soudé. C’est fantastique de pouvoir jouer la finale. Il reste l’or à aller chercher« , analyse Pierre Cornia, ancien assistant-coach des Cats, pour la RTBF.

Une finale dont les Belges sont favorites même si les Espagnoles, peut-être moins performantes qu’il y a quelques années, ne seront pas un oiseau pour le chat. « Nous les avons jouées en préparation et c’est un style et un défi différents par rapport à la France, surtout en dehors du ballon. Mais je pense que la clé pour gagner la finale est l’aspect mental et je pense que les filles sont prêtes mentalement. Je pense que nous pouvons arrêter l’équipe espagnole parce qu’elle présente aussi un style similaire au nôtre. Contrôler le rythme sera le défi », assure Rachid Meziane sur le site de la FIBA.

Ce dimanche, ce sera toute une nation qui sera derrière les Cats pour les pousser à parachever le travail et à ramener l’or au pays. Come on Belgium !

Crédit photo : FIBA

Tout un peuple, toute une nation derrière ces formidables Cats

Les Cats ont rendez-vous avec l’histoire et l’Espagne ce dimanche en finale de l’Euro. Analyse d’un duel forcément historique.

En demi-finale contre la France comme au tour précédent contre la Serbie, les Belges prirent un bon départ. Après quelques minutes où les deux équipes étaient à égalité, Emma Meesseman (24 points, 6 rebonds, 5 passes, 4 steals et 3 contres) – impeccable de bout en bout et qui a su montrer la voie à suivre à ses partenaires – et les Cats creusaient leur avance pour mener de dix points après dix minutes et, après une tentative de retour des Françaises, clore le second quart avec quatorze longueurs d’avance. Un viatique qui se révéla précieux tant les Tricolores tentèrent une remontada en deuxième mi-temps.

Face à un adversaire du calibre de la France, les Belges ont évidemment moins scoré (67 points) et délivré moins d’assists (18) que lors des matchs précédents mais ont su se montrer dominatrices au rebond (39 prises dont 13 offensives) et hargneuse en défense (10 ballons volés). Si l’adresse derrière l’arc fut au rendez-vous (43,5%), c’est à deux points (40%) et dans la gestion du ballon (20 balles perdues) que les Cats ont quelque peu péché.

Avec Linskens rapidement à deux fautes, les Belges ont pu profiter de remplaçantes décisives dont Bethy Mununga (2 points, 9 rebonds et 2 steals) hyper combative au rebond et Maxuella Lisowa Mbaka (2 points et 2 passes) très remuante et collective. Comme en plus Meesseman assumait son statut, que Vanloo (18 points, 5 rebonds et 4 passes) confirmait son excellent tournoi et que Julie Allemand (10 points, 3 rebonds et 3 passes) s’occupait de gérer le tempo, les Cats ont réussi l’exploit de se qualifier pour la première finale de leur histoire !

Celle-ci, qui se déroulera en Slovénie à 20 heures, verra nos compatriotes affronter l’Espagne, place forte du basket européen depuis toujours. Avec la troisième meilleure attaque du tournoi, les Espagnoles – quatrièmes aux passes décisives et aux interceptions – seront de sacrées clientes pour les Cats. Moins dominatrices au rebond, les Ibères pratiquent un basket intelligent, agressif et rythmé où le collectif prime sur les individualités. Cette finale historique pour les Belges se jouera vraisemblablement sur des détails – attention à Torrens qui en a planté 27 contre la Hongrie en demi-finale – alors que la gestion de la fatigue et des émotions sera sans nul doute prépondérante.

Ce dimanche, c’est tout un peuple, toute une nation qui sera derrière les Cats pour que ces formidables joueuses – en larmes pour la plupart après leur victoire contre la France – ramènent l’or au pays. Come on Belgium !

Crédits photos : FIBA