Défaits en Coupe par le MOSA, les Pepins devront négocier un difficile déplacement à Wanze.
Après avoir imposé leur jeu et leur loi à Ensival, les Sucriers voudront faire de même ce dimanche contre Pepinster. La formation pepine, éliminée de la Coupe par Angleur, aura à coeur de créer la surprise pour ce déplacement lointain.
L’épisode 2 de The Atlas Rules by Yvan est désormais en ligne sur la chaine YouTube de Liège & Basketball.
Voici quelques semaines, Liège & Basketball lançait sa chaine YouTube et la diffusion de capsules vidéo dans lesquelles Yvan Fassotte évoque le basket de A à Z. « Au cours de ma longue carrière, j’ai accumulé des connaissances, je me suis construit des philosophies de jeu, de pédagogie, de gestion de match et, égoïstement, j’aimerais qu’elles me survivent… du moins en partie », avait confié Yvan, spécifiant que la transmission est dans ses gènes. « Ce sera ma vision du basket, en sachant qu’il n’existe pas de vérité absolue mais une vérité parmi tant d’autres. Cette vision a évolué et évoluera encore, on apprend sans cesse. »
Pour le tournage de ces caspules, plusieurs élèves du Sport-Etudes-Basket de Liège Atlas furent mis à contribution. « C’était une très belle expérience vécue avec certains de mes coéquipiers du Sport-Etudes-Basket et du club de LAAJ », sourit Abdoul Biao. « Le but est de montrer ce qu’on apprend au Sport-Etudes. C’est une très bonne initiative permettant à d’autres jeunes joueurs de nous rejoindre et/ou d’apprendre avec la philosophie d’Yvan Fassotte. »
Pour découvrir l’épisode 2 de The Atlas Rules by Yvan, rendez-vous sur la chaine YouTube de Liège & Basketball ou directement en cliquant ici.
A noter qu’Yvan Fassotte donnera un clinic le 19 décembre prochain à LAAJ.
Crédit photos : GR Productions et DR
Malgré un Hendrick en feu en première période, les Bobelins se sont inclinés 86-79 chez la P2 de Tilff en Coupe provinciale. Ce dimanche, les Spadois voudront se racheter contre Waremme.
Avec 20 points en première période, Michael Hendrick a mené la vie dure aux Porais mais ceux-ci, disposant de cinq points d’avance, ont toujours su conserver ce maigre viatique pour s’imposer 86-79 et rejoinde les quarts de finale de la Coupe de la province.
Les Buffalos se sont imposés 75-94 à Aubel pour se qualifier pour les demi-finales de la Coupe AWBB.
Avec 12 points, Johan Riga n’a pas manqué ses « retrouvailles » avec Aubel. Comptant 16 unités d’avance, les Buffalos menaient toujours 19-33 après dix minutes et encore 41-53 à la pause. De retour des vestiaires, Thiry (23 unités) et les visiteurs faisaient toujours jeu égal avec leur adversaire avant de serrer la vis derrière dans la dernière ligne droite pour s’imposer 75-94 et rejoindre les demi-finales de la Coupe AWBB.
Les Angleurois n’étaient que six pour se déplacer à Pepinster le week-end dernier. Qu’a cela ne tienne, Mando Kabeya avait de nouveau décidé de prendre les choses en main pour inscrire 40 points et offrir la qualification au MOSA qui se rend à Flémalle ce samedi.
Une semaine après avoir inscrit 40 points à Bellaire, Mando Kabeya a récidivé à Pepinster, en Coupe provinciale cette fois. L’intérieur du MOSA fut un problème insoluble pour les Pepins. Dans le sillage de Kabeya qui avait déjà scoré 13 points dans le premier quart, les six visiteurs menaient 20-24 après dix minutes et profitaient de leur bonne défense lors des dix suivantes pour faire 27-37 à la pause.
En seconde période, les locaux réduisaient quelque peu l’écart mais les Angleurois tenaient bon pour s’imposer 59-67 et se qualifier pour les quarts de finale où il rencontreront ESL United.
Les hesbignons de Michel Bisschop ont signé leur victoire référence chez le leader alleurois, 73-84. Interview.
Michel, tu dois te sentir bien mieux que le week-end précédent ?
Oui, beaucoup mieux, surtout en jouant notre meilleur basket.
Que retiens-tu de cette belle victoire chez le leader alleurois ?
C’est une victoire méritée dans un match que nous avons mené de bout en bout. Quand nos shoots rentrent et que nous cadenassons la raquette et ne donnons pas de shoots ouverts, nous pouvons battre tout le monde.
Comment juges-tu votre saison actuellement ?
Si nous récupérons la victoire de la semaine dernière, cela nous fera un beau bilan de sept sur onze.
Pour Liège & Basketball et avant de se « déplacer » à l’Avenir pour le derby, Romain Thirionet revient sur l’autre derby jupillois remporté contre LAAJ et sur la première partie de saison surprenante de son équipe. Entretien.
Romain, que peux-tu retenir de ce match ?
Avant toute chose, je retiens un retour d’envie ! Cela faisait quelques semaines que nous ne jouions pas notre meilleur basket car nous n’étions pas tous à 100% de nos capacités. Certes, l’infirmerie ne cesse d’être constamment remplier avec des allers et venues différentes mais cela ne doit pas être une excuse pour jouer sans envie. Quand tout le monde se donne et joue pour l’équipe, nous montrons d’excellentes dispositions, comme lors de notre prestation contre LAAJ. Notre intensité défensive a été impressionnante et nos pivots ont fait un réel chantier dans la raquette ! Attaque, défense, au-dessus, en-dessous : tout y était !
Qu’est-ce qui a fait la différence en votre faveur dans ce derby jupillois ?
Le manque de physique en face et notre expérience ont véritablement fait la différence. Nous savions que nous devions empêcher nos adversaires de prendre leurs options de loin. Notre agressivité défensive très haute les a empêchés de développer leur jeu offensif. A partir de là, notre jeu intérieur a fait la différence en attaque.
Comment juges-tu vos premiers mois de championnat et votre progression ?
Notre première partie de championnat est aussi satisfaisante que frustrante… Nous ne nous attendions pas à de si bons résultats après une refonte quasi totale de notre effectif. La mayonnaise a pris très rapidement et nous avons pu enchainer rapidement quelques victoires. Cependant, les blessures nous ont vite rattrapés… Je pense que nous n’avons pas livré un seul match au complet. Dès que nous récupérions certains joueurs, d’autres se blessaient à leur tour. Nous avons été particulièrement impactés durant notre mois de novembre alors que nous recevions quelques grosses pointures du championnat. Par contre, notre progression en troisième mi-temps est incomparable par rapport à l’année passée (rires).
C’est le (très) petit village qui héberge pourtant une formation professionnelle de la ligue portugaise. Et ce n’est pas son unique particularité… A Lyon, l’ASVEL peut à nouveau compter sur les services de notre Julie nationale. Ce sont les infos d’EMCE.
Julie Allemand de retour aux affaires avant un mois chargé
La Principautaire a pris très judicieusement le temps de soigner sa blessure. C’est donc en pleine possession de ses moyens qu’elle a signé, voici une dizaine de jours, son retour à la compétition. C’était contre Roche Vendée (73-76) avec 6 points et (déjà) 30 minutes de temps de jeu. Un come-back qui tombe à pic pour les Lyonnaises dont le mois de décembre est particulièrement chargé.
TDM1 : les Merelbeke Hawks mettent la clé sous le paillasson
Voilà une décision qui entraînera pas mal de conséquences au niveau des classements. Criblés par les dettes, les Merelbeke Hawks stoppent, avec effet immédiat, leur championnat en TDM1. Voici peu, le coach des Gantois avait tiré le signal d’alarme dans « HLN » : « Je ne vois plus personne du comité, j’ai dû envoyer mon frère qui n’est pas du club aller visionner Neufchâteau et quand je suis en contact avec Erik Rogiers, notre manager, c’est par téléphone. » Le pauvre président Sierens doit se retourner dans sa tombe.
Portugal : un village comme Hamoir au sein de la ligue pro
Il y a parfois de ces particularités qui valent le détour. Quand vous jetez un coup d’œil au classement de la D1 portugaise, vous découvrez que la lanterne rouge (0 sur 11) est la possession exclusive de l’Alianca Sangalhos. Mais, lorsque vous poussez plus loin vos investigations, vous vous apercevez qu’il s’agit d’un tout petit village de… 4100 âmes. Soit, l’équivalent de Hamoir, ou encore, moins peuplé que Clavier. Cette modeste entité n’en possède pas moins le centre national de cyclisme. Il est ainsi doté d’une splendide piste intérieure où un magnifique terrain de basket a été aménagé. En attendant, la formation locale continue d’évoluer dans ses étroites installations de la Rua da Pista (photo). Sangalhos (centre du pays) fait partie de l’entité d’Anadia. Là-même où les Belges avaient été arracher une qualification à l’Euro sous les ordres de Tony Van den Bosch. Un des plus beaux voyages de ma carrière professionnelle avec ce gentleman qu’était Léon Wandel.
La télé crève l’écran
Vendredi : Olympiacos – Bologne (19 h 45, VOOsport World) ; samedi : Philadelphie – Lakers (1 h 30, Eleven Sports 2), Heat – Suns (23 h, Eleven Sports 2) ; dimanche : coupe de Belgique (15 h 15, Eén), Pelicans – Suns (21 h 30, Eleven Sports 2).
Michel Christiane
Crédit photo : Alianca Sangalhos
Haneffe a trouvé son nouvel entraineur pour sa R2.
Suite à la démission de Renaud Leclercqs, les Templiers se cherchaient un nouveau coach et celui-ci vient d’être désigné. « Le club est heureux de vous annoncer l’arrivée de Jérémy Prinsen comme nouveau coach de notre R2 hommes. Il était en charge de la R1 dames de Fleurus la saison passée avec laquelle il a terminé champion », communique le RBC Haneffe sur les réseaux sociaux.
Les Dragons d’Eric Herben tournent désormais à plein régime et viennent de sortir la P1 de Dison-Andrimont de la Coupe avant de recevoir Visé ce vendredi.
Le week-end dernier, les pensionnaires de P2 ont créé la surprise en éliminant de la Coupe provinciale la P1 de Dison-Andrimont 66-77. « Bien qu’ils ne jouent pas ensemble chaque semaine, les gars ont formé un groupe solide où tout le monde marchait dans le même sens », salue Eric Herben. « Ils ont développé un jeu collectif et une défense de fer. C’était un plaisir de voir à quel point ils n’ont jamais lâché malgré la ténacité de notre adversaire. »
Pourtant, les Disonnais impressionnent en P1. « Le coach adverse s’attendait à une attaque basée sur notre MVP Guillaume Grégoire. Mais n’ayant pu s’entrainer de la semaine, il a commencé à mes côtés. Cela a engendré une prise de responsabilités des autres joueurs », souligne Eric. « Nous avons couru en défense et en transition de la première à la dernière minute du match. Les Disonnais déforcés et en manque de rotations ne pouvaient pas rivaliser sur tout terrain pendant quarante minutes. » Et de conclure : « Je suis évidemment très fier de nos gars et un big up à Damien Reichling, le deuxième coach dans cette Coupe, qui m’a aidé à atteindre ces quarts de finale. Il n’y a rien à dire, mes gars ont respecté le plan de match et ça s’est très bien passé pour nous. Bien vite le tour suivant pour défier le Mosa Angleur ! »