Speedy pour Obasohan

Sûr que le public du chaudron de Jérusalem se régalera avec le remplaçant de Retin Obasohan ! Quant aux Panthers, elles optent pour une nouvelle Etatsunienne, mais renoncent à l’Europe. Aix-Maurienne nous ramène à Colfontaine et à un duo principautaire bien connu. Ce sont les infos d’EMCE.

Va-et-vient masculin : Smith (ex-Spirou) pour notre Lions à Jérusalem

Retin parti pour l’ASVEL, les décideurs de l’Hapoel Jérusalem se devait de lui dénicher un digne successeur. C’est chose faite, via l’arrivée de « Speedy » Smith (29 a, 1,91 m) déjà vu à Charleroi (19/20) et à Anvers au début de la saison suivante. Il fait donc le grand écart géographique entre la Lituanie (Rytas) et Israël où il retrouvera Levi Randolph. Qui se souvient encore de Troy Caupain ? Le gaillard (27 a, 1,93 m) séjourna sur notre littoral en 2020 et fait ses adieux à la D1 turque pour Brescia, au sein de l’élite italienne.

Va-et-vient féminin : une patronne US à Liège, une promesse à Malines

C’est une véritable patronne sur le terrain que les Angleuroises pourront s’appuyer dès la reprise. Il s’agit de la distributrice US, Carlie Littlefield (22 a, 1,75), qui a dirigé la manœuvre dans les universités de Princeton et de North Carolina. D’autre part, les locataires du Bois Saint-Jean renoncent à une nouvelle participation européenne pour raisons financières. Quant aux Malinoises, elles feront confiance à l’internationale finnoise, Lotta-Maj Lahtinen (23 a, 1,75 m), de retour de NCAA.

A qui le Tour ? Objectif les playoffs pour Aix-Maurienne avec Nichols

Pour l’ultime étape alpine, on traversera la vallée de la Maurienne dont le club majeur niche à la halle Marlioz (1500 places) d’Aix-les-Bains. En 21/22, les troupes d’Emmanuel Schmitt ont loupé d’un fifrelin le tour final. Autrement dit, elles viseront les playoffs la saison prochaine. Pour y parvenir, les dirigeants locaux ont recruté David Nichols, en provenance directe de Mons. A l’occasion des chocs du championnat, la formation du cru investit le Phare de Chambéry doté d’une capacité de 5800 sièges. Parmi « nos » Américains ayant séjourné là-bas, on recense Chris Dowe (Brussels 16/17) et cet autre Chris Dunn que l’on repère, en 06/07, en D2 belge à Colfontaine. Amusant : dans le Borinage, il avait pour équipiers Renaud Leclercqs, Pipo Willems (victime d’une rupture du tendon d’Achille) ainsi que Nathan Steveniers, le fils de l’« Empereur d’Anvers ». Qui n’eut pas vraiment la même carrière…

Michel Christiane

Crédit photo : Hapoel Jérusalem

« Le 3×3 semble bien plus facile depuis le canapé »

Voici un mois, les Belgian Lions faisaient vibrer toute la Belgique au Mondial 3×3 organisé à Anvers et terminaient à une belle – mais forcément décevante – quatrième place, comme un an plus tôt aux Jeux Olympiques de Tokyo. Pierrick Van den Brule, l’un des meilleurs Liégeois de la discipline, débriefe le parcours de nos compatriotes et analyse l’émergence d’un presque nouveau sport. Entretien.

Pierrick, quelles furent tes impressions, devant ta TV, concernant cette Coupe du Monde 3×3 ?

Ce furent de superbes matchs mais pour avoir affronté certains joueurs, je trouve qu’on ne voit absolument pas à l’écran la folle intensité qu’ils mettent. On ne s’en rend pas toujours compte si on n’a jamais participé à un 3×3 mais c’est une forme de jeu hyper intense. C’est du cardio non-stop pendant dix minutes, et même parfois plus. J’invite tout le monde à venir assister aux manches du Crelan 3×3 Masters pour découvrir que le 3×3 est bien plus facile dans le canapé (rires).

Comme aux Jeux Olympiques, les Lions terminent au pied du podium.

Les Belges n’ont pas eu un tirage facile et la médaille leur a echappé de peu. Je crois qu’ils peuvent tout de même nourrir quelques regrets par rapport à la petite finale. Je suis en tout cas très fier de ce qu’ont proposé nos compatriotes. Aux JO, ils étaient peut-être les invités surprises du dernier carré mais ils ont réitéré leur performance à Anvers. Je tire donc mon chapeau à l’équipe.

Tu as disputé récemment des tournois 3×3 avec la Team Antwerp.

Oui, j’ai joué mes premiers tournois 3×3 à l’étranger cette année avec la Team Antwerp. C’était vraiment très agréable. Nous avons fini cinquièmes et troisièmes lors de nos tournois en Allemagne et puis premiers aux Pays-Bas et nous sommes qualifiés pour la finale à Amsterdam. J’ai aussi eu l’occasion de disputer un tournoi avec Steph Moris et, comme à son habitude, il a régalé à trois points et amusé la galerie. Ce furent vraiment de super moments !

Crédit photo : FIBA

Devinez pour qui je préfère lever mon verre ?

Une différence de moyens parfois criante.

En pleine Grande Boucle, j’ai été interpellé par un détail qui en dit long sur les moyens (et les origines) des formations cyclistes. Chaque jour, on peut voir Pogacar, fer de lance de l’équipe UAE (United Arab Emirates), dont la penne de la casquette arbore « Emirates ». Soit, une compagnie aérienne ayant réalisé, en ’19, un chiffre d’affaires de 104 milliards de dollars et employant plus de 45.000 collaborateurs. Quand par bonheur un des coureurs d’Intermarchés-Wanthy-Groupe Gobert venait à l’emporter, sa penne indiquerait la… « Bière des Amis ». Soit, un breuvage typiquement régional brassé par une poignée de passionnés dans une ancienne ferme de Thimister. Devinez pour qui je préfère lever mon verre ?

M. C.

Crédit photo : DR

Bako à Bologne

Décidément, les Belgian Lions se révèlent d’excellents produits d’exportation. Après Obasoha à Lyon, c’est Ismaël-le-Louvaniste qui débarque à Bologne. Deux Principautaires s’intègrent aux staffs de nos équipes de jeunes alors qu’on débute par un crochet sympa et mousseux sur le Tour. Ce sont les infos d’EMCE.

La pépite (thimistérienne) du mardi

En pleine Grande Boucle, j’ai été interpellé par un détail qui en dit long sur les moyens (et les origines) des formations cyclistes. Chaque jour, on peut voir Pogacar, fer de lance de l’équipe UAE (United Arab Emirates), dont la penne de la casquette arbore « Emirates ». Soit, une compagnie aérienne ayant réalisé, en ’19, un chiffre d’affaires de 104 milliards de dollars et employant plus de 45.000 collaborateurs. Quand par bonheur un des coureurs d’Intermarchés-Wanthy-Groupe Gobert venait à l’emporter, sa penne indiquerait la… « Bière des Amis ». Soit, un breuvage typiquement régional brassé par une poignée de passionnés dans une ancienne ferme de Thimister. Devinez pour qui je préfère lever mon verre ?

Après Manresa, Ismaël Bako défendra les intérêts du Virtus Bologne

A l’instar de nos meilleurs footballistes, les Lions de référence se placent parmi les plus grosses cylindrées européennes. Quelques jours après l’arrivée de Retin Obasoha à l’ASVEL, c’est au tour d’Ismaël Bako (27 a, 2,08 m) de rejoindre le Virtus Bologne. Il est clair que ses dernières sorties en date avec notre équipe nationale a plaidé en sa faveur. En principe, il devrait faire équipe, en Italie, avec cette vieille connaissance de Tornike Shengelia.

Deux Liégeoises font leur entrée dans le giron fédéral avec les jeunes

Qui dit vacances d’été, dit compétitions officielles pour jeunes. C’est ainsi que Nina Crelot (35 ans), que l’on ne présente plus, est désormais l’assistante-coache de Philip Wolk au niveau des Cats U17. Pour l’heure, elles disputent le Mondial en Hongrie. Après un revers (39-55) face au pays organisateur, elles ont étrillé (92-43) le Mexique. Quant à Manon Grzesinski (27 ans), elle devient la manager des Lions U18 en préparation de l’Euro D2 fin juillet. Une phalange qui est dorénavant drivée par Jean-Marc Jaumin.

A qui le Tour ? On fait étape aujourd’hui à Bellegarde-sur-Valsérine

Les rescapés des dix premiers jours passeront, ce mardi, par Bellegarde-sur-Valsérine (11.000 âmes). Cette bourgade de l’Ain n’a jamais défrayé la chronique basketballistique. Qu’à une exception près chaque année. En fin de saison, le club du cru met traditionnellement sur pied un tournoi international assez réputé. Le week-end dernier, il en était d’ailleurs à sa 34e édition et pas avec n’importe qui. Pour preuve, le Centre Sportif Marcel Berthet accueillait les équipes masculines U18 de France, Lituanie, Allemagne et Croatie en pleine préparation pour leur Euro. Les « Bleus » restaient invaincus même si l’explication avec les Croates était très « chaudement » disputée…

Michel Christiane

Crédit photo : FIBA

La Belgique sur du velours, la Serbie dans de sales draps

Vainqueurs à deux reprises de la Serbie, les Lions sont dans une position appréciable pour prétendre participer au prochain Mondial. Tout l’inverse des Serbes qui risquent de le regarder depuis leur salon.

Vainqueur de la Serbie en Belgique, nos Lions ont bravé l’adversité et des conditions dantesques pour rééditer l’exploit au fin fond de la Serbie. Sur cette terre de basket, nous compatriotes sont allés au bout d’eux-mêmes pour arrcher une victoire 73-74 qui vaut largement son pesant de cacahuètes pour la suite.

En effet, si les chances de la Belgique de se qualifier pour le prochain Mondial sont réelles, celles de la Serbie sont nettement plus minces. « Le groupe A dans lequel se retrouvent les Serbes doit maintenant rencontrer le groupe B dans lequel ne figurent plus que trois équipes après la mise à l’écart de la Biélorussie. Cela implique que la FIBA ne prend en compte que les matchs du groupe A qui ont été disputés contre les équipes qualifiées, de sorte que toutes ont disputé un total de 6 matchs. Conséquence néfaste pour les les Serbes, ils se retrouvent avec un bilan de 1 victoire pour 3 défaites », explique Basket Europe. « La Serbie va maintenant avoir à faire à la Grande-Bretagne, la Turquie et la Grèce. Elle n’a plus son sort entre ses mains. Il faut savoir que son point-average particulier vis à vis de la Belgique et de la Lettonie est négatif. »

Crédit photo : FIBA

« Orelsan, sur scène, c’est lui le meilleur »

210 000 festivaliers ont kiffé pendant quatre jours les Ardentes sur le nouveau site de Rocourt. Parmi eux, Chris Francot, nouveau coach des P2 Dames et Hommes de Pepinster.

Aux Ardentes, Christophe Francot, grand amateur de hip-hop et de la culture US, n’a eu qu’un seul regret : rater la prestation d’Anderson Paak qui se produisait jeudi. « Je suis allé voir Hamza, Damso, Tyler the Creator, Ferg, 667, PNL, Gazo, Freeze Corleone, ASAP Rocky et Orelsan », m’énumère ce jeune quadra qui a kiffé l’expérience sur le nouveau site de Rocourt. « Il est incroyable ! Ce nouvel espace est énorme et vraiment bien agencé. Dans l’ensemble, le passage de scène en scène était fluide malgré les dizaines de milliers de personnes présentes. Il y a eu quelques mouvements de foule inévitables mais hormis ça, rien à redire. »

Avec 210 000 festivaliers, les Ardentes ont fait vibrer la Cité… ardente en proposant quatre jours totalement dingues. « L’organisation était perfect au vu du nombre de concerts, du peuple présent et des différentes scènes. C’était carré de chez carré », souligne le Pepin. « Le line up était varié et hig level quand même et il y avait aussi la place pour des découvertes avec la scène Tarmak et des DJ sets. Franchement, il y en avait pour tout le monde. » Et d’ajouter : « En plus, le prix des boissons était raisonnable et la nourriture hyper variée. Quant au cashless : c’est le top ! »

Et parmi la ribambelle de pointures présentes à Liège pour enjailler la foule en délire, Chris nous livre ses trois coups de cœur. « Tyler : un vrai show à l’américaine, des effets visuels incroyables, une top mise en scène, un son terrible et le gars est aussi dingue que génial », me confie-t-il. « Orelsan ensuite car même si son dernier album n’est pas mon préféré, sur scène c’est lui le meilleur. Des musicos, des beats en live, pas de playback. C’est propre, ça parle à tout le monde et c’est un performer incroyable. Et enfin, Damso, évidemment. Avec lui, c’est des bangers et hits à la chaîne, un gros show visuel et une mise en avant des artistes belges. » Et de conclure : « C’était un cool moment ».

« Didier Longueville m’a directement fait confiance »

Pour Liège & Basketball, Aurélien Dykmans revient sur cette saison qui l’a vu passer de la P1 de Saint-Louis à la D3 d’Esneux. Interview.

Aurélien, comment évalues-tu cette dernière saison ?

Je suis déçu de notre place en fin de saison pour la TDM2 et la R1 car je pense que nous aurions pu gagner davantages de rencontres. Mais avec la P1, nous avons réussi ue mangifique saison.

Quels furent les moments forts de ce dernier exercice ?

Les deux victoires contre Alleur (ndlr : en P1). Je crois que ce sont les moments où nous avons joué notre meilleur basket. Et les troisièmes mi-temps furent toujours à la hauteur de nos exploits.

Que garderas-tu en mémoire ?

Mes débuts en TDM2. Didier Longueville m’a directement fait confiance et j’ai pu prendre beaucoup de plaisir à découvrir cette nouvelle division.

Quelles sont tes envies pour la prochaine saison ?

Continuer de progresser et faire de bons résultats car même si nous ne sommes clairement pas favoris, je pense que nous pouvons réussir une bonne saison.

Mayombo en outre-Rhin

Comme souvent cet été, notre chronique vous emmène à l’étranger. Cette fois, nous transitons notamment par l’Allemagne, la Suisse, la France avant de repiquer sur notre Métropole. Sûr qu’en bord d’Escaut, Ivica Skelin devra s’accrocher avec le versatile Maurice Watson… Ce sont les infos d’EMCE.

A qui le Tour ? Quand Pully-Lausanne s’appuyait sur un ex-Malinois

Voici maintenant cinq ans que le cercle lausannois fait partie de la LNB, la D2 suisse. Auparavant, les résidents du lac Léman squattèrent le plus haut niveau des dizaines d’années. Ce qui leur permit d’être champions à 4 reprises et d’enlever la coupe 5 fois. A cette époque, les « Foxes » pouvaient notamment compter sur Vince Reynolds qui joua contre Michael Jordan et se fixa en Confédération Helvétique en devenant « homme à tout faire » dans un collège d’Yvonaud. Sans oublier Kevin Holmes, aujourd’hui assistant-coach à Central State University (Chicago), qui mouilla également le maillot pour le Racing Malines, en 89/90. D’où l’intérêt de la photo où on le voit dunker sous le regard du n°8 (moustachu) adverse qui n’est autre qu’Ed Murphy avec qui il fit équipe au… Winketkaai. Eh oui, mon bon Monsieur, le monde est bien petit.

Emmanuella à Keltern pour un quatrième séjour après la Turquie et l’Espagne

Après trois saisons à Keltern, Emmanuella Mayombo (29 a, 1,70 m) tentait l’expérience nettement plus au sud : en Turquie puis en Espagne. Elle désirait se rapprocher de ses racines principautaires. D’où son retour à Keltern pour un quatrième séjour. Qualifiée en EuroCup, cette équipe n’a terminé que 3e du récent championnat allemand et désire rebondir. Raison pour laquelle, elle a également signé des internationales canadienne et bosnienne. « E, comme on l’appelle ici, nous apportera surtout son énorme potentiel sportif et humain », souligne Dag Scheffer, le boss du cercle d’outre-Rhin.

Keith Braxton à Mons et le sulfureux Maurice Watson à Anvers

C’est en D2 israélienne où il ne cessait d’affoler les compteurs que les Renards sont allés chercher Keith Braxton (25 a, 1,96 m). Là-bas, il terminait 12e sur 15 de son championnat. A Anvers, Ivica Skelin a fait venir Maurice Watson (29 a, 1,80 m) qu’il eut sous ses ordres l’automne dernier à Torun. En Pologne, il évoluait avec Trevor Thompson (ex-Giants et Kangoeroes). On ne peut s’empêcher de revenir sur le passé sulfureux du meneur US. En 2017, il avait déjà des ennuis avec la justice de son pays (accusé d’agression sexuelle puis de voie de fait). Au printemps 2022, il était également viré du Maccabi Rishon Le Zion pour « comportement grave ». Lisez en raison de son instabilité et de son indiscipline notoires. Bref, ça passe ou ça casse dans la Métropole !

Cap plein Sud : « Belgicains » à Fos et Camerounais à Antibes

Le championnat belge semble inspirer confiance aux décideurs de Fos. Ils ont ainsi renforcé leurs cadres avec Garlon Green (31 a, 2,01 m) en provenance d’Oradea (D1 roumaine) et avec Shevon Thompson (29 a, 2,13 m) arrivé de G-League. Pour rappel, le premier était à Mons en 17/18 et le second à Ostende en 19/20. Toujours dans le sud de la France, Daniel Goethals a jeté son dévolu sur l’international camerounais, Roger Monté a Bidas (27 a, 2,00 m, ex-Apollo Amsterdam). « Outre son côté spectaculaire qui plaira au public d’Antibes, nous pourrons compter sur son physique au poste 3 », souligne Big Dan. On ne demande qu’à le croire…

Michel Christiane

Crédit photo : Pully Basket

Le retour de la légendaire Australienne Lauren Jackson

La légendaire intérieure viendra renforce l’équipe d’Australie pour les matchs qualificatifs pour la prochaine Coupe du Monde.

A 41 ans, Lauren Jackson effectue son retour en équipe nationale après avoir déjà repris en club. « Lauren a remporté des médailles à tous les Jeux olympiques et à trois de ses apparitions en Coupe du monde, elle sait comment gagner », a déclaré l’entraîneur Sandy Brondello. « Son expérience est sans précédent, elle a la même soif de succès et apportera un avantage à notre équipe. »

« Les montagnes russes »

Pour Liège & Basketball, Tom Bass se penche sur la saison spéciale vécue par l’Etoile Jupille au sein de l’élite provinciale et évoque le prochain exercice que les Etoilés aborderont avec un effectif profondément remanié.

Tom, quel bilan fais-tu de cette dernière saison en P1 ?

Cette saison, ce fut les montagnes russes. Nous avons commencé avec une équipe complète et une première partie de premier tour avec un bel objectif de Playoffs puis la chute libre, des arrêts et des absences dans l’équipe, des défaites… Ensuite, nous avons connu un début de deuxième tour avec des victoires, moins d’absentéisme, des objectifs revus à la hause pour finalement devoir opter pour une ‘course au maintien’ suite au retour de nos travers, de l’absentéisme, des arrêts et entrainements communs avec la P4 – que nous remercions encore une fois – qui, heureusement, se termine « bien ».

Quels furent les moments forts de cette campagne 2021-2022 ?

Ce furent les victoires à domicile contre Alleur et Saint-Louis. Contre Alleur, ce fut une victoire collective grâce à un groupe soudé. Un groupe soudé aussi mais en petit comité contre Saint-Louis.

Que garderas-tu en mémoire ?

Nous essayerons de retenir les moments positifs éparpillés tout au long de la saison. Avec cependant quelques regrets car nous avions la possibilité d’accomplir notre objectif premier – les Playoffs – si la motivation des premières rencontres avait été régulière et collective.

Quels sont tes envies pour la prochaine saison ?

Elle commencera à partir d’une feuille presque blanche. Nous ne sommes que quatre à rester à l’Etoile : Niedziolka, Blanchy, Lamborelle et moi. Tout sera à remettre en place. Michel Nihon nous a concocté un sérieux menu de préparation et nous avons déjà pu faire quelques séances tous ensemble au mois de juin, ce qui nous promet une meilleure saison que celle qui s’est achevée voici deux mois. L’objectif premier reste le même : acccrocher les Playoffs et retrouver du plaisir à jouer tous ensemble tout au long de la saison.