A qui le Tour ?

A qui le Tour ? Pas de miracle pour Lourdes même avec Tony Worrell, ancien de Pepinster.

Prioritairement réputé pour son pèlerinage, la cité pyrénéenne compta, au début des années ’90, une équipe de basket évoluant en Pro B. Et ce, durant trois saisons consécutives. Pour se maintenir à ce niveau, le Lourdes Basket Club pouvait notamment compter sur les services de Fabien Dubos, international à 37 reprises. En proie à d’énormes difficultés financière, le club finit par disparaître et est aujourd’hui remplacé par BC Lourdais. Retour à l’époque Pro B quand, en 1993, les dirigeants du cru firent appel à Tony Worrell ayant transité par Pepinster en 90/91. Année de la première participation européenne des Hoëgnards et il y faisait équipe avec James Gulley. Le 11 novembre 2015, l’ami Tony décédait des suites à une crise cardiaque. Il avait 49 ans.

Michel Christiane

Allemand titularisée, Meesseman au four et au moulin

Titularisée pour la deuxième fois, Julie Allemand a fait le taf sous les yeux de sa famille pour conduire Chicago à la victoire contre Seattle, 78-74. Une rencontre dans laquelle Emma Meesseman fut particulièrement productive.

Alignée dans le cinq majeur pour la seconde fois de la saison, Julie Allemand a parfaitement dirigé le jeu du Sky et compilé 4 points, 2 rebonds et 2 passes pour guider Chicago à la victoire, 78-74. Un succès forgé dans le second quart-temps, le seul que les deux équipes ne finirent pas à égalité. Emma Meesseman fut la grande dame de cette rencontre avec 16 points, 10 rebonds et 6 passes.

« Voir notre 2e délégué Thib Julémont le plus souvent possible à nos côtés »

James Deblond analyse la dernière saison de Pepinster en TDM2 et préface la nouvelle. Interview.

James, comment analyses-tu cette dernière saison avec Pepinster ?

Il y avait moyen de faire mieux avec nos huit ou neuf matchs perdus de peu alors que nous étions toujours devant à la trente-cinquième minute.

Que conserves-tu dans ta boîte à souvenirs ?

Les victoires contre Comblain et Neufchâteau ainsi que l’ambiance et les bons moments passés avec l’équipe.

Quels sont tes envies pour la saison 2022-2023 ?

Prendre un max de plaisir avec le groupe, pas de blessure dans l’équipe, remplir nos objectifs et voir notre deuxième délégué Thib Julémont le plus souvent possible à nos côtés.

Hamm pour le show

Les supporters métropolitains ne devraient pas s’ennuyer, la saison à venir, via un rooster revu et corrigé. A suivre notamment le bondissant et prometteur Royce Hamm. Un troisième « Belgicain » débarque à Jérusalem tandis que Worrell, l’ancien Pepin, séjourna du côté de Lourdes. Ce sont les infos d’EMCE.

Avec Royce Hamm, les Giants d’Anvers fourbissent aussi leurs armes

C’est décidé : dès la reprise, les Métropolitains présenteront un effectif composé de cinq Belges, d’autant d’étrangers et de deux jeunes. Dans ce contexte, les troupes d’Ivica Skelin ne compteront plus sur Matt Tiby (30 a, 2,03 m, ex-Mons), ni sur Markel Brown (30 a, 1,91 m) qui fera escale à Varèse (Ita). En revanche, elles accueilleront ce rookie qu’est Royce Hamm (23 a, 2,06 m) terminant son cursus à l’université du Nevada : 9,3 rebonds de moyenne. Il est annoncé comme un élément particulièrement spectaculaire. Voilà qui ne devrait pas déplaire au public local adepte d’un « basket champagne ».

Carrington, passé par Hasselt, rejoint le duo Randolph-Smith à Jérusalem

En 18/19, Khadeen Carrington (26 a, 1,93 m) découvrait l’Alverberg de Hasselt où il allait prester un exercice en faveur de Limburg United. L’Américain termine un séjour du côté de Dijon et poursuivra sa carrière professionnelle pour le compte de l’Hapoël Jérusalem. Les plus attentifs d’entre vous ne manqueront pas d’observer qu’il y rejoindra donc ses compatriotes Speedy Smith (ex-Charleroi et Anvers) ainsi que Levi Randolph, en provenance de Filou Ostende où il a régalé les inconditionnels du littoral.

A qui le Tour ? Pas de miracle pour Lourdes même avec Tony Worrell (ex-Pepin)

Prioritairement réputé pour son pèlerinage, la cité pyrénéenne compta, au début des années ’90, une équipe de basket évoluant en Pro B. Et ce, durant trois saisons consécutives. Pour se maintenir à ce niveau, le Lourdes Basket Club pouvait notamment compter sur les services de Fabien Dubos, international à 37 reprises. En proie à d’énormes difficultés financière, le club finit par disparaître et est aujourd’hui remplacé par BC Lourdais. Retour à l’époque Pro B quand, en 1993, les dirigeants du cru firent appel à Tony Worrell ayant transité par Pepinster en 90/91. Année de la première participation européenne des Hoëgnards et il y faisait équipe avec James Gulley. Le 11 novembre 2015, l’ami Tony décédait des suites à une crise cardiaque. Il avait 49 ans.

Michel Christiane

Crédit photo : Giants Anvers

Ne dite plus La Spéciale Aywaille mais bien La Spéciale (tout court)

Le matricule 1535 change de nom et d’implantation et salue l’arrivée d’un nouvel entraineur.

Ces deux dernières années furent particulièrement difficiles pour de nombreux clubs de basket qui ont dû batailler avec des coûts financiers inattendus, des salles parfois ravagées par les inondations, une baisse spectaculaire des bénévoles désireux de s’impliquer dans la vie des clubs sans parler des tracasseries administratives liées aux nombreuses perturbations du Covid sur les championnats et de la multitude de joueurs et coachs ayant choisi de réorienter leurs loisirs.

Face à ce constat, nombreux sont les dirigeants de clubs à s’être retroussés les manches pour permettre à leur cercle sportif de faire face aux différents nouveaux défis pour permettre à leurs adhérents de continuer à pratiquer leur sport favori. Certains clubs ont décidé de fusionner, d’autres de mettre en commun certaines ressources ou d’établir des partenariats sportifs.

Longtemps privés de leur salle d’Aywaille, les « Spécialistes » avaient trouvé refuge à Sprimont et prirent goût à cette nouvelle dynamique qui, désormais, prend une tournure définitive, comme l’explique le communiqué publié sur la page Facebook du matricule 1535. « Ne dites plus La Spéciale Aywaille mais bien La Spéciale. Notre club change de nom et d’implantation. Pour continuer de permettre à ses membres de bénéficier d’infrastructures de qualité dans un cadre sportif dynamique et faire face aux nombreux défis que la crise sanitaire et ses répercussions ont complexifiés, La Spéciale évoluera désormais à Basket Club Sprimont« , peut-on lire dans celui-ci. « Tout en gardant son matricule, son comité, ses joueurs, ses spécificités et son autonomie, La Spéciale s’associe à la structure sprimontoise et s’y impliquera avec ardeur. Nous espérons cette collaboration aussi fructueuse que possible et remercions vivement le club de Sprimont pour son accueil chaleureux et les nouvelles perspectives d’évolution que cela offre à notre matricule 1535. Nous en profitons également pour remercier toutes celles et ceux qui depuis cinquante ans ont permis à La Spéciale de perdurer. Ce déménagement doit justement aider notre club à poursuivre son évolution. Et que tous les anciennes et anciens n’aient aucune crainte : l’ADN de La Spéciale ne changera pas ! Enfin, nous remercions la commune d’Aywaille et particulièrement l’Agisca de nous avoir hébérgés pendant de si longues années et pour l’excellente relation qui nous unissait. »

Un nouveau nom, une nouvelle salle mais un noyau qui restera identique – ou presque -, la majorité des joueurs ayant décidé de prolonger l’aventure après une magnifique saison conclue à une très belle deuxième place en P3A et une place identique au tour final. Du changement par contre au niveau du coaching puisqu’après cinq années à la tête de l’équipe, Thiebaut Colot transmet les rênes à John Vanoost qui aura la tâche stimulante d’enfin permettre à cette équipe habituée à truster les premiers rôles (deux fois deuxième, deux fois troisième et une fois quatrième) de rejoindre la division supérieure.

A qui le Tour ?

A qui le Tour ? A Saint-Gaudens avec les « Belgian Cats » de l’époque.

Aujourd’hui, la cité de St-Gaudens vivra plus que jamais à l’heure du Tour de France. Immanquablement, cette bourgade offrant une vue imprenable sur les Pyrénées me rappelle la tournée qu’effectua notre équipe nationale dames au printemps 1994. J’eux le plaisir de les accompagner au niveau de la communication. Ce samedi-là, nous allions défier les Françaises à Montréjeau et faisions étape par St-Gaudens. Pour info, les Belges se ramassaient sur le score de 98 à 41. Je profite de cette escale momentanée pour donner un coup de fil, dans l’après-midi, à mon épouse qui m’apprend que l’Autrichien Ratzenberger s’est tué lors des qualifications au GP de San Marin, à Imola. Le lendemain, nous investissons le palais des sports de Toulouse. Les mines sont allongées. En cause, le décès en début de course d’Ayrton Senna. La triste loi des séries…

Michel Christiane

En selle pour la salle

En vue d’une saison qui s’annonce à grands pas, on investit déjà les salles de Mons et d’Ostende. Dans le Hainaut, Braxton promet d’être spectaculaire tandis qu’à la Côte, les champions passeront une semaine en Croatie. Le Tour rend visite à St-Gaudens comme les « Cats » de 94. Ce sont les infos d’EMCE.

Déjà trois nouveaux visages à la « Mons Arena » en approche

On savait que les Hennuyers seront renforcés, la saison à venir, par l’international bosnien, Adin Vrabac (28 a, 2,05 m) et par l’Américain, Steve Harris (27 a, 2,01 m). Un troisième larron est venu les rejoindre. Il s’agit de cet autre Etatsunien qu’est Keith Braxton (25 a, 1,96 m, photo) qui vient d’affoler les compteurs au sein de l’antichambre israélienne où il tournait à une moyenne de 19 points et 8 rebonds par explication. De quoi mettre les inconditionnels des Renards en appétit.

Dans trois semaines, les Ostendais seront en selle pour la salle

Toujours aussi professionnel, le club du littoral a communiqué les grandes lignes de la reprise 22/23. Le premier rendez-vous est fixé aux joueurs dès le 8 août pour les inévitables tests médicaux. Parmi leurs nombreuses rencontres de préparation, ils affronteront notamment Bonn et Le Portel. Ils clôtureront leur remise en condition par un stage d’une semaine à Zadar, en Croatie. On se demanderait bien pourquoi ? Là-bas, les Côtiers auront encore trois « amicaux » à leur programme. Enfin, ils entameront leur énième campagne européenne, à domicile, en accueillant les Turcs du Galatasaray, le mercredi 5 octobre, à 20 heures.

A qui le Tour ? A Saint-Gaudens avec les « Belgian Cats » de l’époque

Aujourd’hui, la cité de St-Gaudens vivra plus que jamais à l’heure du Tour de France. Immanquablement, cette bourgade offrant une vue imprenable sur les Pyrénées me rappelle la tournée qu’effectua notre équipe nationale dames au printemps 1994. J’eux le plaisir de les accompagner au niveau de la communication. Ce samedi-là, nous allions défier les Françaises à Montréjeau et faisions étape par St-Gaudens. Pour info, les Belges se ramassaient sur le score de 98 à 41. Je profite de cette escale momentanée pour donner un coup de fil, dans l’après-midi, à mon épouse qui m’apprend que l’Autrichien Ratzenberger s’est tué lors des qualifications au GP de San Marin, à Imola. Le lendemain, nous investissons le palais des sports de Toulouse. Les mines sont allongées. En cause, le décès en début de course d’Ayrton Senna. La triste loi des séries…

Michel Christiane

Crédit photo : Mons-Hainaut

Elias Lasisi doit trouver un nouvel employeur, Omar Cook prend une retraite bien méritée

Elias Lasisi non-renouvelé et Omar Cook, « jeune » retraité.

Elias Lasisi (30 a, 1,91 m) demeure sur un séjour prolongé en Allemagne. Ce qui ne durera peut-être plus longtemps car les Merlins Crailsheim ont annoncé qu’ils ne renouvelaient pas son contrat en Forêt Noire. En sens inverse, y débarque Myles Stephens (25 a, 1,96 m) en provenance de Malines. Reste maintenant à savoir où le Louvaniste rebondira ? Omar Cook (40 a, 1,86 m), lui, n’a plus ce genre de soucis. En effet, l’ancien Raptors a décidé de prendre une retraite bien méritée. Sa dernière crèmerie en date était Saragosse, en D1 espagnole. Le samedi 29 octobre 2005, il effectuait ses débuts européens pour le compte de Mons. Et c’était à… Pepinster où il permettait d’emblée aux Renards de l’emporter 76-78, via ses 16 points.

M. C.

Crédit photo : DR

« Les petits oiseaux pour le chat »

Didier Franceschi revient sur la surprenante saison de Dison-Andrimont au sein de l’élite provinciale et évoque le nouveau championnat à venir.

Didier, quel bilan fais-tu de cette première année à la tête de la P1 de Dison-Andrimont ?

Le bilan est bon. Je crois que le défi est réussi. Il fallait parvenir à ne pas nous faire peur – contrairement aux cinq saisons précédentes – et c’est tout à fait réussi.

Quels furent les moments forts de ce championnat ?

Notre début de championnat. On ne nous connaissait pas du tout, nous étions les petits oiseaux pour le chat et nous avons prouvé qu’il fallait compter sur nous. De plus, dans les moments difficiles, nous avons su relever la tête.

Que garderas-tu en mémoire ?

L’ambiance dans l’équipe. Les gars n’avaient jamais joué ensemble et la sauce a pris de suite. Durant les moments plus délicats, nous avons su garder la tête froide et demeurer une équipe.

Quelles sont tes envies pour cette nouvelle saison qui s’annonce ?

Eviter les petites querelles en cours de saison et continuer de travailler avec davantage de joueurs aux entrainements afin de mieux préparer nos futurs matchs. Les arrivées de joueurs confirmés et avec des expériences différentes vont nous aider à faire encore mieux. Du moins, c’est mon objectif.

A qui le Tour ?

A qui le Tour ? Une arbitre pleine d’avenir au Pays de Foix Basket.

Après une journée de repos en Occitanie, coureurs et caravanes auront l’occasion de découvrir la cité de Foix. Ca tombe bien puisque le PFB (Pays de Foix Basket) commémore son 30e anniversaire cette année. Comme pour marquer le coup, la D1 départementale masculine s’est ouvert les portes des demi-finales de la Coupe de la Garonne. A noter que les équipes du cru évoluent au gymnase de Vernajoul, à quatre bornes du centre-ville. La principale fierté du club épouse le profil de Delphine Delpart qui, le 22 avril dernier, a dirigé la finale du Trophée Coupe de France, à Bercy, entre Le Poinçonnet et Monaco. Match sur lequel, nous reviendrons bientôt car il déclinait un léger accent… pepin. Et la petite question désormais traditionnelle : comment s’appellent les habitants de Foix ? Les Fuxéens.

Michel Christiane