El Madjoubi confirme (encore) son potentiel, Liège prend 3 points précieux

Contre Dison-Andrimont, RSW Liège Basket a pris trois précieux points pour le maintien en venant à bout de Dison-Andrimont. Ce mercredi, les Sang et Marine joueront gros contre Welkenraedt.

Le week-end passé, les Sang et Marine recevaient Dison-Andrimont, l’équipe surprise de l’élite provinciale. Contrairement à la semaine précédente, les Liégeois étaient bloqués dans les stands en début de rencontre et encaissaient un 3-11. « Nous connaissions un très gros manque de réussite dans nos tentatives même si nos tirs étaient bien pris », observe Théo Barbir (7 points). L’écart allait même culminer à seize points ! « Nous savions que nous n’allions pas shooter ainsi tout le match et, d’ailleurs, la réussite a commencé à faire son retour dans le deuxième quart. » De 9-21 après dix minutes, le marquoir passait à 44-39 à la pause.

La seconde période était aussi équilibrée que disputée. Kpako (21 points) et le jeune El Madjoubi (21 points également) se livraient un beau duel et les Principautaires trouvaient les ressources pour émerger et s’imposer 88-82. Alors que la tendance à trois descendants se confirme au sein de l’élite provinciale, la bataille fait rage pour éviter de faire la bascule. « Nous voulons prendre du plaisir, ce qui passera pas des victoires », assure Théo Barbir alors que ce mercredi, les Liégeois auront un nouveau rendez-vous important dans l’optique du maintien face à Welkenraedt.

Crédit photo : Aleksandra Milanovic Photographe

« Un dunk par match, juste pour le défi »

La Principauté de Liège possède une ribambelle de shooteurs et de pourvoyeurs de caviars mais aussi quelques dunkeurs d’exception.

Le All-Star Game (annulé cette année) avait changé de mouture et Romain Bruwier s’était adjugé le « dunk contest » des Liégeois. Pour le longiligne ailier formé à Visé et sur la piste d’athlétisme, le dunk est presque une seconde nature. « Grâce notamment au saut en hauteur en athlétisme et aux séances de dunks après les entrainements à Visé, ma détente est devenue un de mes points forcément » nous apprend Romain Bruwier. « Je la travaille à la musculation et à l’entrainement, surtout durant l’entre-saison où je peux me permettre de forcer un peu plus et de soulever de plus grosses charges. L’aisance à dunker vient forcément avec et c’est aussi une manière de constater la progression au niveau de la détente. »

Lors des All-Star Games organisés à Ninane, deux joueurs avaient pris pour (bonne) habitude de faire lever les foules grâce à leurs acrobaties: Simon Liebens et Johnson « Air » Matumuini. L’intérieur bondissant de Belleflamme était un habitué des concours et son dunk préféré avait été réalisé voici bien longtemps par « His Hairness » himself. « Il s’agit d’un dunk réalisé par Michael Jordan alors qu’il était encore à l’université » (ndlr: le lien ici). Le Haricot nous avait livré ses dunkeurs favoris. « Je dois les scinder en deux catégories, mes cinq préférés en situation de match et mes cinq préférés en concours » nous avait-il précisé. « Pour ce qui est de mes favoris en match, il s’agit de Michael Jordan, Julius Erving, Vince Carter, Dominique Wilkins et Russell Westbrook. En concours, c’est un peu différent et je choisis Michael Jordan, toujours, Vince Carter, Dominique Wilkins, Shawn Kemp et Zach Lavine. » Comme la plupart des voltigeurs, Johnson préférait nettement écraser le cercle en « cinq contre cinq ». « Je préfère, et de loin, dunker en match » nous avait-il confirmé.

Simon Liebens aussi aime particulièrement « smasher » en compétition. Au point de s’être fixé un objectif original lors de la saison 2019-2020. « Je m’étais fixé comme objectif personnel de claquer un dunk par match, juste pour le défi. Ce ne fut pas le cas. Je me réentraine et je reprends cet objectif pour la saison qui arrive » nous avait-il confié. Le Covid-19 aura eu raison des vélléités spectaculaire du marsupilami de Tilff. Partie remise ?

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« Sept triples de Leemans alors que tout le monde veut sauver sa peau en P1 »

Avec seize triples convertis, Pierre Touette et Welkenraedt se sont montrés létaux derrière l’arc au Haut-Pré pour s’imposer 54-78. Les « Noirs » veulent se rapprocher du maintien en allant dicter leur loi ce mercredi à Sainte Walburge. Entretien.

A domicile, Stéphane Grandry (22 points) et le Haut-Pré prenaient le meilleur départ pour mener 20-13 après dix minutes. Les dix suivantes étaient équilibrées et à la pause, le marquoir affichaient 34-30. De retour des vestiaires, Fyon (17 unités), Leemans (21 points) et leurs partenaires prenaient le dessus sur Ilians (10 points) et les locaux pour passer devant au marquoir, 49-56 à la pause avant un dernier quart-temps à sens unique qui permettait aux troupes de Gino Fortuna de s’imposer 54-78. Une rencontre marquée par la réussite de loin de Welkenraedt avec 16 triples convertis.

Pierre, scénario particulier pour votre déplacement à Ougrée.

En effet, la rencontre a proposé deux mi-temps complètement différentes. Notre début de match fut mauvais, la bonne agressivité des Sérésiens nous occasionnait énormément de balles perdues et beaucoup de ratés dans la raquette. A la reprise, nous avons su inverser la tendance avec une bonne organisation défensive et de la réussite devant.

Selon toi, qu’est-ce qui vous a permis de remporter votre neuvième victoire de la saison ?

Notre passage en zone a fortement dérangé notre adversaire. Ensuite, nous avons pu compter sur une grosse prestation de nos ailiers derrière les 6,75 mètres – 16 triples dont 7 pour le seul Leemans.

Comment abordez-vous cette fin de saison avec déjà un déplacement ce mercredi à Sainte Walburge ?

Nous espérons acquérir notre maintien en gardant la bonne dynamique de notre deuxième tour. Mais tout le monde veut sauver sa peau et il faut continuer à travailler et à rester concentrés car cela sera tendu jusqu’au bout.

Finch rempile en NBA

Déjà au Limbourg et dans le Borinage, Chris laissait entrevoir de réelles dispositions de meneur d’hommes. Il le confirme de l’autre côté de l’Atlantique. Grâce à cette légende vivante qu’est Werner Rotsaert, on a refait la fête, dimanche, dans la Venise du Nord : 5e montée d’affilée ! Ce sont les infos d’EMCE.

Contrat longue durée pour l’ancien mentor de Mons aux Timberwolves

« Depuis son arrivée chez nous, il réalise un travail incroyable », souligne le propriétaire des Minnesota Timberwolves qualifiés pour les play-in en vue éventuellement des playoffs NBA. Raison pour laquelle, Chris Finch (52 ans, photo) s’y est vu proposer une prolongation longue durée de son contrat. Soit de plusieurs années (nombre non précisé). On souviendra qu’il est resté en Belgique durant cinq ans : de 2004 à 2007 à Bree (en pleine euphorie à ce moment) puis à Mons de 2007 à 2009. J’avais eu le bonheur de le côtoyer pendant son séjour à l’orée de la frontière hollandaise. Un grand coach en devenir doublé d’un parfait gentleman, déjà…

Un grand club ne meurt jamais : l’Avanti Bruges, par exemple…

Quand il évoluait dans le chaudron de la Groene Poorte, l’Avanti jouait les terreurs en Division 1. Ensuite, le club essuya pas mal de déboires et recommençait au plus bas niveau provincial. Dimanche, les Brugeois ont fêté leur titre de champion en 2e Régionale flandrienne. Soit, une cinquième montée d’affilée ! Faut dire que l’on retrouve aux commandes cet artiste qu’est Werner Rotsaert (69 piges), l’attachant paternel de Sam. Dans la Venise du Nord, il dispose notamment de son autre fils qu’est Dries ainsi que de Wim Dobbelaere, ex-D1 aux Kangoeroes Willebroeck et à Gand en compagnie de… Lionel Bosco. A noter encore que l’Avanti vient d’affilier un réfugié ukrainien prometteur.

La pépite (antiboise) du mardi

La semaine dernière, l’excellent site « Basket Europe » a révélé les budgets des clubs évoluant dans les deux divisions majeures de l’Hexagone. On y apprend ainsi que les Sharks d’Antibes, chers à Big Dan, disposent d’une des plus grosses « enveloppes » de Pro B. A savoir, un budget total de 3.209.000 € pour une masse salariale de 1.031.500 €. A titre comparatif, les formations belges les plus modestes en BNXT League tournent aux environs de 900.000 € (total) et 200.000 (salaires). Pourrait-on leur suggérer de lancer un appel aux dons comme le font désormais, sans vergogne, les grands battus aux actuelles présidentielles ? On vit décidément une époque à nulle autre pareille…

Michel Christiane

Crédit photo : Minnesota Timberwolves

« Profiter du noyau actuel »

Contre Mont-sur-Marchienne, Jimmy Walraff et ses coéquipiers se sont imposés 88-82. Une nouvelle victoire avant de se rendre dans deux semaines à Aubel pour le derby.

Feu d’artifice à Ensival pour la réception de Mont-sur-Marchienne. Après dix minutes, le marquoir affichait 23-29 et puis 54-43 à la pause. Les visiteurs profitaient de la reprise pour recoller au score mais Genet (25 points) et Erkenne (27 unités) ne tremblaient pas et offraient la victoire au RABC, 88-82.

« La première mi-temps fut très offensive avec une bonne réussite aux shoots. En deuxième mi-temps, c’est devenu plus compliqué. Les visiteurs ont augmenté l’intensité défensive et, physiquement, ce fut difficile. Nous avons su rester lucides en fin de rencontre pour mettre les bons tirs », nous résumé Jimmy Walraff (6 points). « Pour cette fin de saison, nous voulons profiter des derniers matchs avec le noyau actuel et, bien sûr, jouer la victoire ! »

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« Comblain a réalisé un bon mercato »

Dorian Velden fait partie des prochains renforts de la P2 de Comblain.

Au terme de cette saison, Dorian Velden quittera la R2 de La Villersoise pour la P2 de Comblain. « Mais, d’abord, je veux bien finir avec Villers où je suis encore à 100% avant de penser à Comblain », nous précise-t-il avant, tout de même, d’expliquer les raisons de son départ. « Le projet du Mailleux est un projet qui m’attire dans une division sympa. Je me retrouve avec un entrainement semaine, ce qui m’arrange pour ITR – rester à Villers se révélait moins pratique au niveau agenda -, et le pari sportif est chouette. Je connais bien le coach et m’entends bien avec lui et tous les gars de cette équipe dont certains avec qui j’ai déjà joué. »

Avec l’arrivée de plusieurs talents, le futur effectif comblinois porte beau. « Avant tout, nous voudrons passer du bon temps ensemble et aller gagner beaucoup de matchs pour voir ce qui en ressortira en fin de saison. Je crois qu’il y a moyen de faire quelque chose de très intéressant en P2 », avance Dorian. « Comblain a des ambitions, a réalisé un bon mercato avec des éléments complémentaires et assez compétitifs pour la P2. De quoi viser le top de la P2 mais, pour le moment, nous n’avons aucune revendications à avoir si ce n’est de donner le meilleur de nous-mêmes. » Et de conclure : « Nous voulons tous ensemble former un vrai groupe et avoir une entente à l’image de ce qu’est Comblain et c’est, je pense, ce que Maxime Princen souhaite créer et instaurer. »

« Notre public nous a portés »

A domicile et en effectif réduit, l’Etoile Jupille est venue à bout de Saint-Louis, 82-72.

« Ce fut un match atypique », nous précise Jérôme Niedziolka (5 points) à propos du derby entre Jupille et Saint-Louis. « Nous devions être six suite aux absences de Jacot, Lamborelle et Blanchy alors que Julien Halleux – et c’est véridique – ne s’est pas réveillé de sa sieste. Nous nous sommes donc retrouvés à cinq pour débuter ce match face à des Collégiens venus avec leurs renforts – Dykmans et Francoeur – de R1 (ndlr : à noter que Martin Francoeur a disputé pratiquement tous les matchs avec la P1 de Saint-Louis et qu’Aurélien Dykmans également). »

Le premier quart était à l’avantage d’Hugo Cloots (17 unités) qui marquait les huit premiers points de Saint-Louis pour placer sa formation aux commandes, 21-26. « Nous n’avons rien lâché durant la première mi-temps. Nous étions menés de douze longueurs mais avons ensuite placé un 12-1 pour revenir à égalité à la pause », continue le « Rodman des Argilières ». « Nous avons poussé un gros « ouf » de soulagement en voyant Alan M’Vita arriver à la mi-temps après ses obligations professionnelles. »

A la reprise, Pluys (21 points), De Liamchine (25 unités) et les Etoilés appuyaient sur le champignon pour creuser l’écart. « Notre public a commencé à se chauffer et à nous porter », souligne Jérôme qui voyait sa formation assurer la victoire 82-72 malgré la combativité de Lodonou (10 points) et des Collégiens. « Mention spéciale pour Bassini, Bruls et Pluys qui ont sorti un tout bon match, sans oublier De Liamchine, toujours dans les bons coups », ajoute « Polska ». « Notre sixième homme nous aura vraiment poussé dans nos retranchements. Cette victoire fut un réel plaisir. »

« Terminer par un neuf sur neuf et à la deuxième place du championnat »

Julien Walravens et Tongres se sont imposés 74-77 et visent la deuxième place en TDM2B. Interview.

Julien, comment s’est déroulé votre déplacement à Aarschot ?

Ce match fut serré du début à la fin. La première mi-temps ne commença pas très bien pour nous avec des shoots ouverts qui ne rentraient pas, contrairement aux locaux qui, eux, les marquaient. En deuxième période, nous avons resserré notre défense et avons davantage converti nos tentatives.

Vous voilà à la bagarre avec Comblain pour le titre honorifique de dauphin de Neufchâteau. Comment allez-vous aborder cette dernière ligne droite ?

Il nous reste deux matchs contre Hasselt et à Sprimont, nous aimerions revenir avec les deux victoires pour terminer la saison – et pour la dernière de notre capitaine Joeri – en beauté avec un neuf sur neuf et la deuxième place du championnat.

« Hervé Cordonnier est un compétiteur né »

A domicile contre Aubel, les All Blacks de Vincent Aldenhoff ont profité de l’expérience et du talent d’Hervé Cordonnier pour ajouter une victoire à leur tableau de chasse.

A domicile, les All Blacks butaient sur la défense aubeloise tandis que Glaude (10 points) et Orban (6 points) faisaient le taf inside pour placer les Herbagers devant après dix minutes, 13-16. Heureusement, les locaux pouvaient compter sur Martin Di Pro (16 points) et un inoxydable Hervé Cordonnier (17 pions) pour se remettre en ordre de marche. A la pause, les Alleurois étaient repassés devant, 34-33, et profitaient du troisième quart pour augmenter légèrement leur avance avant un dernier quart stratosphérique dans lequel les Aubelois craquaient complétement et encaissaient un terrible 33-8, laissant les protégés de Vincent Aldenhoff savourer une nouvelle victoire, 51-82.

Aldou, quelles sont tes impressions après cette dernière victoire ?

Pour Aubel, je trouve bien triste de voir une telle équipe dans les profondeurs du classement. Il y a clairement de la qualité dans le groupe et je suis persuadé que les Herbagers arriveront à se sauver. Contre les Aubelois, la patience nous a fait emerger. Ce groupe a bien mûri et sait que la patience peut être déterminante.

Tu alignes Hervé Cordonnier, une légende.

Pour lui comme pour moi, c’était un challenge de faire partie d’un groupe composé principalement de jeunes joueurs qui ne savaient pas du tout qui il était. Ses équipiers ont vite compris que l’âge importe peu avec la motivation et l’implication qu’a Hervé. C’est un compétiteur né qui veut s’entrainer et travailler. Il apporte au groupe l’expérience nécessaire et montre une force de caractère qui est un exemple pour ses équipiers. Il est un meneur sur et en dehors des terrains. Ce n’était pas gagné d’avance mais le défi est pour moi plus que relevé avec encore 17 points à son compteur ce week-end. Dans ces conditions, nous avons convenu que si son corps lui permettait, il ferait encore partie de l’équipe l’année prochaine pour un challenge supplémentaire, ce dont je ne doute pas le moins du monde.

Dans trois matchs, le verdict tombera sur cette superbe saison que vous réalisez en deuxième provinciale.

Nous devons nous donner au maximum et ne rien regretter. Il reste trois matchs pour clore cette saison qui n’aura pas été évidente au niveau des blessures, surtout durant ce deuxième tour. Il est important de nous battre ensemble pour prendre du plaisir.

Widart, le « druide » breton

Hors de nos frontières, Fuger, Widart et De Zeeuw viennent de vivre un week-end qu’ils n’oublieront pas de sitôt. Même cas de figure pour les Panthers qui en découdront désormais avec les Brainoises… sans la moindre pression. Si ce n’est celle de se faire plaisir jusqu’au bout. Ce sont les infos d’EMCE.

Maël crée la sensation et propulse Trégueux en playoffs de Nationale 2

« En décembre, plus personne chez nous n’aurait misé un euro sur une qualification au tour final. Et pourtant… », résume à merveille le président de Trégueux. Quatre mois plus tard, Maël Widart et ses « girls » (photo) ont réussi l’exploit de s’inviter au banquet final de N2. Pour se faire, ils devaient venir à bout de Saumur. Mission plus qu’accomplie sous un marquoir stabilisé à 61-44. Très loin de là, méchante mésaventure pour Koursk et Petit, vaincus à domicile (67-75) par le MBA Moscou (7-23, au 4e quart). Game 2 des « demies » mardi dans la capitale moscovite. Précieuse victoire, en revanche, pour Mayombo (7) et Ténériffe se payant le scalp (78-73) de Gran Canaria. Du côté de la Botte, Brindisi a pris la leçon (92-78) à Trente en dépit de l’impeccable prestation De Zeeuw, auteur d’un 3 sur 3 (7 pts) et de 7 rebonds. De quoi le mettre en confiance. Reste Termoli et Hulsen (7) qui sont rentrés bredouilles (93-80) de Chieti.

Playoffs dames : les Panthers à l’assaut des Castors en demi-finales

Passons rapidement sur les confirmations de Braine, Malines et Namur aux dépens de Charleroi (93-35), Waregem (111-63) et Courtrai (88-56), pour revenir sur le parcours des combattantes des Liégeoises. Après le 74-75 hors de leurs bases, les Panthers souffraient d’un manque cruel de banc au retour et s’inclinaient 57-81, vendredi, devant des Boomoises survoltées. Tout se décidait dès lors dimanche en début de soirée. Les Principautaires (Maes 23 p, 18 r) marquaient d’emblée leur territoire (30-19, 10e) et ne lâchaient plus le morceau jusqu’à 81-62, « on the buzzer ». Les demi-finales (deux manches gagnantes) se déclineront donc comme suit : Liège – Braine (jeudi) ainsi que Namur – Malines (vendredi). En gageant que Brewer sera d’attaque…

Luxembourg : tout sourit à Fuger (Contern) et à Louvrier (Steinsel)

On vous avait dit que Fabienne trouverait les mots justes pour motivés ses troupes. On ne s’était pas trompé : Contern va droit dans le mur à 37-49, c’est alors que la spitante pepine transcende les siennes. Du coup, on transite par un 14-0 (51-49, 31e) et Gréngewald de mordre la poussière à 67-64. Les antagonistes se reverront, dès mercredi, pour une belle décisive. En hommes, la « demie » belgo-belge entre Kevin Sarlette (Ettelbrück) et Etienne Louvrier (Steinsel) finissait pas sourire à ce dernier et à l’Amicale (Williams 24) sur la marque de 88 à 94. Bref, les troupes du coach namurois sont en ballottage favorable car elles auront l’avantage d’évoluer à domicile le samedi de Pâques.

Michel Christiane

Crédit photo : Basket Trégueux