« Les deux premières places me semblent inaccessibles »

RTC revient sur la défaite de Liège contre Tongres et sur le projet de formation des Sang et Marine.

Court déplacement pour les Liégeois de Tongres qui avaient rendez-vous à Sainte Walburge ce samedi soir. Les Limbourgeois, concentrés, rentraient parfaitement dans une partie dont ils allaient prendre rapidement les commandes et en maitriser le déroulement pendant quarante minutes. A l’issue du premier quart, les frères Hertay et leurs partenaires avaient déjà forgé un premier écart: 12-22. A la pause, celui-ci n’avait guère évolué: 33-24. De retour des vestiaires, Julien Walravens et ses coéquipiers voyaient les Sang et Marine se battre comme de beaux diables et revenir à 48-55 à la demi-heure. Les protégés d’Olivier Macfly profitaient alors de la dernière ligne droite pour alourdir le score et s’imposer 61-79.

« C’est une belle victoire » souligne Gaëtan Hertay. « Nous sommes restés concentrés tout le match pour mener du début à la fin. Nous avons livré une prestation sérieuse et tout le monde n’ira pas gagner là-bas. Vivement la semaine prochaine pour retrouver des supporters ! »

Cette victoire confirme la montée en puissance des Limbourgeois sur qui il faudra compter pour le podium de TDM2B. « Notre objectif est d’aller chercher cette troisième place » nous confirme Gaëtan. « Les deux premières me semblent maintenant inaccessibles, sauf gros dérapage de Comblain ou Neufchâteau. »

Le résumé en images de RTC avec les interviews de Romain Bruwier et Mike Bodson est disponible ici.

« Se hisser parmi les 16 meilleures équipes de Champions League est un exploit »

Ce fut un véritable parcours du combattant qu’ont vécu Olivier Troisfontaines et les Ostendais pour décrocher une qualification historique pour le Sweet Sixteen de la Champions League. Interview.

Olivier, les conditions étaient complexes pour vous rendre à Ikogea.

C’est vrai que les trajets furent quand même longs alors qu’au départ nous avions prévu des vols directs jusque dans la ville à côté d’où nous jouions mais ceux-ci furent interdits. Finalement, comme notre vol fut annulé par les autorités sur place, nous avons du trouver un vol de remplacement. Nous sommes partis à vingt heures le mercredi pour arriver à trois heures du matin le jour du match. L’autre équipe avait pris le même avion donc nous étions un peu dans les mêmes conditions.

Ceci peut expliquer votre prestation en demi-teinte avant une remontada stratosphérique pour arracher la victoire et la qualification.

Nous fûmes effectivement malmenés tout le match mais Booth et Randolph furent incroyables, surtout Booth qui a mis de gros shoots. Nous terminâmes sur un 0-18 pour gagner le match. Nous étions mal partis et avons réussi à bien renverser la situation.

Avec ensuite, directement, un trajet retour bien éprouvant !

Oui, le retour fut un peu fou avec un long trajet en bus de quatre heures à une heure du matin pour l’aéroport, un vol de trois heures puis encore deux heures de car pour revenir à Ostende. Tout le monde était un peu claqué en arrivant à la Côte.

Vous voilà qualifiés avec brio pour le prochain tour de la compétition. Etait-ce un objectif du groupe ?

Oui, nous qualifier pour le Sweet Sixteen était un objectif, notamment pour retomber dans un groupe. Nous allons avoir six nouveaux matchs de haut niveau et c’est ce que nous et le club voulions.

Cette qualification vous donne-t-elle des ambitions dans cette Champions League ? Comment allez-vous aborder cette nouvelle phase de la compétition ?

Ce groupe de quatre, ce n’est que du bonus. Parvenir à nous hisser parmi les seize meilleures équipes de Champions League est un vrai exploit. Chaque victoire que nous pourrons prendre, nous allons juste l’apprécier, d’autant plus que nous ferons face à d’excellentes équipes du « Vieux Continent ». Mais nous évoluerons sans pression – ce qui est sans doute la meilleure manière de procéder – tout en voulant saisir notre chance.

Crédit photo: Champions League

« Un match à oublier au plus vite »

A domicile, Maxime Grégoire et les Oursons ont subi la loi des Grenouilles.

Pour paraphraser et faire mentir Jean de la Fontaine, les Grenouilles ont réussi à avaler non pas le boeuf mais les Oursons dimanche en fin de journée pour s’imposer assez nettement, 61-88. « Nous avons mal commencé le match en encaissant un 0-10 d’entrée de jeu », peste Maxime Grégoire. Les deux équipes faisaient ensuite jeu égal et douze unités les séparaient à la pause. Au retour des vestiaires, les locaux réagissaient pour revenir à sept longueurs des Cointois avant de totalement s’effondrer. « Un off day total », soupire Max. « Nous avons manqué d’envie, de cohésion offensive et défensive, de respect des consignes, de contrôle du rebond et du « un contre un ». Bref, c’est un match à oublier au plus vite. »

Pour Cointe, par contre, c’est une excellente opération avant d’enchainer ce mardi contre Ciney et vendredi contre Verviers.

« Que les planètes s’alignent »

Ce mardi, les Alleuroises de Kevin Reyserhove recevront une équipe de Herve-Battice qui sort d’une prestation convaincante contre Loyers pour un passionnant derby en R1 Dames. Entretien.

Kevin, comment se porte ton groupe ?

En dehors du terrain, il se porte bien. Il y a une bonne ambiance et cela fait plaisir. Sur le terrain, c’est plus compliqué avec des victoires qui commencent à manquer. La pièce ne tombe pas souvent chez nous cette saison. Nous espérions nous relancer en allant ce week-end à Ciney. Il y deux semaines, les Condruziennes ont joué sans public. Cette fois, avec deux top joueuses blessées ou diminuées, le club préférait ne pas jouer sans public…

Un public autorisé à revenir dans les salles sous certaines conditions.

Oui, mais j’ai bien peur qu’il ne soit pas encore présent ce mardi. Il faudra attendre le week-end. Ca commence à devenir long !

Fameux derby pour vous ce mardi justement avec la réception d‘une équipe de Herve-Battice qui sort d’une prestation convaincante.

Herve, c’est costaud, que cela soit à l’intérieur ou en périphérie. Comme toujours, il va falloir que nos planètes s’alignent si nous voulons espérer avoir une chance. Tout le monde devra être concentré, dans l’intensité et – croisons les doigts – en réussite. Une de nos marqueuses régulières sera absente pour blessure mais d’autres sont capables d’alimenter le marquoir, j’espère qu’elles en prendront conscience. Quoi qu’il en soit, je sais que plusieurs filles sont amies et de mon côté, je me réjouis d’affronter Deno et Gus au coaching. Nul doute que notre passion commune devrait nous rassembler après le match… C’est aussi ça le basket, quand le gouvernement nous y autorise.

Vrai week-end de coupe

Elle a suscité les passions d’Hasselt à Anvers, via Alost d’où le Brussels revient légitimement frustré par les officiels d’une rencontre sous haute tension. Hormis pour Petit et Fuger, ce n’était pas la gloire pour nos représentants provinciaux louant leurs services à l’étranger. Ce sont les infos d’EMCE.

Principautaires hors frontières : Mayombo et Allemand muettes

C’est sans Allemand que Lyon s’est fait sortir (72-60) de la coupe de France à Basket Landes. Mayombo est, elle aussi, restée muette à l’occasion de la courte défaite (60-63) de Ténériffe face à l’Estudiantes Madrid. Le chemin de croix se poursuit par Henket (23 p, 11 r) avec le Sparta étrillé (92-62) à Walferdange. Trégueux et Widar sont tombés trop court à Bihorel (Rouen) : de 51-54 au repos à 73-68 à la 40e. Succès, en revanche, pour Petit et Koursk à Orenbourg (66-74) ainsi que pour Fuger et Contern contre Ettelbrück (92-88). Chez les garçons, Hulsen (10, photo) et Termoli ont mordu la poussière (87-92) devant Isernia.

Ancien Limbourgeois en Suisse et ex-Giants anversois en Israël

Il n’y a pas si longtemps (2018/2019), le rondouillard Dominic Morris (31 a, 2,02 m) usait ses baskets sur le parquet hasseltois de Limburg United. En Ukraine cette saison, il a fait ses bagages en direction de la Suisse et plus précisément de Neufchâtel. Il y a un peu plus longtemps (15/16), Kwane Vaughn (31 a, 1,93 m) s’illustrait – au propre comme au figuré – dans la Métropole. Il vient de quitter Ploesti (D1 rou) pour mettre le cap sur l’Hapoel Haïfa (D1 isr). Pour info, il avait été viré d’Anvers pour raisons disciplinaires…

Les « + » et les « – » du week-end

Le « + » : au brave Luc Smout qui n’est pas prêt d’oublier le week-end. Dès vendredi, ce sont des Giants subitement déchaînés – on se demanderait bien pourquoi ? – qui passaient les Kangoeroes à la moulinette (77-117). Dimanche, les ouailles de l’ex-coach pepin l’emportaient de nouveau mais in extremis (90-89) aux dépens de ces mêmes malinois. Et devinez qui plantait le panier de la victoire ? Le fils de… Luc, pardi.

Le « – » : on comprend la frustration des Bruxellois après leurs élimination à Alost. Même s’ils oublièrent de tuer tout suspense à l’aller, ils ne furent guère gâtés par le trio arbitral au Forum : meneur local pouvant (presque) tout se permettre, technique surréaliste à LLorente, refus d’enregistrer les réserves, etc… Clair que les officiels de ce duel ne sortent pas grandis de l’aventure. Ceci dit, on peut se se réjouir que la coupe de Belgique suscita autant de passion en fin de semaine pendant que notre championnat continue de se traîner au fil des (trop nombreuses) journées.

Michel Christiane

Crédit photo : Termoli Air Basket

« La prestation stratosphérique de Noémie Bonvoisin avec des moves dignes d’Olajuwon »

Malgré quelques soucis d’effectif, Herve-Battice a remporté une victoire aussi belle que précieuse contre Loyers, 61-41. Reportage.

Ce week-end, Herve-Battice a dominé Loyers 61-41, remportant sa sixième victoire en treize rencontres. « C’est une super victoire car c’était un match important pour la lutte pour le maintien même si nous sommes dans le ventre mou de la série », souligne Alain Denoël. « Nous devons faire preuve d’une grande capacité de résilience car en dix jours, nous avons perdu un tiers de l’équipe. » Et de s’expliquer: « Stéphanie D’Haene a un gros ras-le-bol concernant la situation sanitaire et a choisi d’arrêter. Léa Cosentino est blessée à la cheville et en a pour six semaines tandis que Céline Henry est blessée au dos. Nous ne savons pas pour combien de temps elle en aura mais je crains que ce ne soit long. »

Néanmoins, bien en place, les locales prenaient un départ idéal pour faire rapidement 11-0. « Nous alternions bien nos ‘plays’ avec des marqueuses différentes », analyse le coach aubelois. Les Fromagères parvenaient à gérer le tempo de la rencontre et à accroître leur avantage petit à petit face à des Namuroises privées de deux joueuses pour cause de Covid. « Défensivement, nous avons bien réussi à nous adapter et à corriger le tir quand nous étions en difficulté. Nous avons eu une grande maitrise du rebond et bien pris soin du ballon avec seulement sept balles perdues sur l’ensemble du match. »

Une prestation réussie des Jaune et Bleu. « Offensivement, plusieurs joueuses ont tiré leur épingle du jeu mais je ne peux passer sous silence la prestation stratosphérique de Noémie Bonvoisin avec 26 points à 12 sur 17 aux tirs, 8 rebonds et 4 passes décisives », ajoute Alain. « C’est magnifique de la voir jouer ainsi. Elle a eu quelques moments de grâce avec des mouvements dignes d’Hakeem Olawujon et ses ‘dream shakes’. »

Sans faire forcément beaucoup de bruit, Herve-Battice réalise une belle campagne en R1 et est qualifiée pour les demi-finales de la Coupe AWBB qui se disputeront ce week-end. « Nous n’alignerons même pas deux tiers de l’équipe car nous avons des départs au ski. Ce sera compliqué », concède le coach local. « Mais le groupe a démontré une belle force mentale et j’espère que nous allons continuer ainsi pour nous rassurer assez vite. »

« Un match référence et une prestation à reproduire pour nous maintenir »

Grâce à une impeccable seconde période, les Pepins ont forgé l’exploit du week-end en infligeant aux Chestrolais leur première défaite de la saison.

Ah que c’est dommage que les bouillants supporters pepins n’aient pu (tous) assister à l’exploit de leurs favoris ! Car c’est bien de cela qu’il s’agit lorsque la co-lanterne rouge s’offre le scalp du co-leader invaincu, et de maitresse manière : 96-80. « Franchement, nous sommes tous contents, c’est une victoire qui fait du bien ! » s’exclame Jordan Maucourant. « Nous nous étions dit qu’il ne fallait absolument pas faire un zéro sur trois à domicile sous peine d’être largués au classement. »

Joignant le geste à la parole, les troupes de Pascal Horrion allaient livrer vingt premières minutes de bonne facture, tenant tête aux puissants visiteurs – qui avaient perdu Alexis Pierre sur blessure dès le premier quart-temps – pour rentrer aux vestiaires avec une toute petite unité de retard, 45-46. De retour sur le mythique parquet du Paire, les Pepins serraient la vis en défense, dominaient le rebond et continuaient à faire parler la poudre en attaque pour se détacher inexorablement face à des Chestrolais peu habitués à pareil scénario. A la demi-heure, le plus dur semblait être fait pour les locaux, 73-64, qui profitaient de la dernière ligne droite pour mettre un point final à une victoire aussi précieuse qu’historique.

« Nous avons su conserver notre rythme en défense car inscrire 96 points, c’est vraiment pas mal du tout ! En défense, nous fûmes tout de même solides malgré quelques erreurs que nous avons compensées en attaque », analyse le meneur de Pepinster qui rejoint Esneux et Louvain au classement. « Nous pouvons clairement parler de match référence, aussi bien concernant notre attaque qu’au niveau de la mentalité. Pour parler de maintien, cela dépendra de la suite… A nous de reproduire ce genre de prestation. »

Crédit photo: DR

« Le jeu NBA est bien différent de celui pratiqué en Europe »

David Blatt est revenu sur son aventure en NBA avec les Cavs.

Pour EuroHoops, David Blatt est revenu sur son aventure NBA avec les Cavs. « D’abord, je ne suis pas allé en NBA seulement à cause du titre d’Euroleague de 2014″ a rappelé le coach aux multiples titres. « J’avais fait partie de nombreuses équipes qui ont connu du succès avant ça. Le titre de 2014 n’était pas la seule raison. Deuxièmement, quand je suis arrivé à Cleveland, l’équipe que je devais entraîner à l’origine n’était pas une équipe qui devait jouer le titre, c’était une équipe qu’on espérait construire avec certains joueurs en place et l’opportunité d’en ajouter d’autres au fur et à mesure pour devenir un prétendant aux playoffs puis au titre. Mais tout ça a changé très rapidement quand on a pu ramener LeBron et que Kevin Love a été échangé contre notre premier choix de draft. Tout à coup, on était un prétendant. Mais il fallait tout de même suivre un processus. Les équipes nouvelles comme ça ne gagnent pas le titre dès la première année en général. On a réussi une belle saison et on a joué notre meilleur basket en playoffs, battant même Atlanta 4-0 en finale de conférence Est, alors qu’ils avaient fait une saison à 60 victoires et avaient l’avantage du terrain. On a ensuite disputé les Finals sans Kyrie et sans Kevin à cause de blessures, ce qui nous a largement compliqué la tâche, même si la série a tout de même été compétitive. L’année suivante, on était en première place à l’Est et en bonne position pour jouer le titre et l’équipe ira au bout.« 

Une expérience qui tournera court, Blatt étant éjecté de la franchise de l’Ohio lors de sa deuxième saison. « Ce que j’ai appris de cette expérience, c’est que le jeu NBA est bien différent du jeu en Europe. Et que le jeu en dehors des terrains est encore plus important et dominant qu’en Europe. Cela exigeait une différente approche du coaching. Notre situation est passée de développer une équipe à gagner le titre immédiatement. C’était très difficile et ça m’a forcé à faire beaucoup de changements dans mon approche et ma philosophie. Quand j’y repense, ce n’était clairement pas la meilleure chose qui ait pu m’arriver mais, par rapport aux demande de la franchise, je leur ai fourni une équipe qui gagne. Pour moi, il n’y a pas de souci. J’ai eu une superbe expérience en NBA. Il n’y a rien qui me désole. Je peux dire que j’ai eu l’opportunité de coacher certains des meilleurs joueurs de la planète, d’avoir participer à des Finales NBA, d’avoir vécu de nombreuses aventures glorieuses en Europe avec des titres. J’ai une bague de champion NBA aussi. Il y a pire…  » a-t-il conclu.

« Le tir le plus difficile à défendre au basket »

Richard Hamilton fut le coéquipier de Michael Jordan à Washington. Une cohabitation qui a permis au futur vengeur masqué de Detroit d’étoffer sa panoplie offensive.

Richard Hamilton a joué aux Bulls mais c’est aux Wizards qu’il fut le coéquipier de MJ lors du second come-back de la légende. Une association qui a permis à RIP d’étoffer sa panoplie offensive et de devenir le joueur qu’il est devenu à MoTown.

« Les gens regardent mon jeu à mi-distance et disent que j’ai été l’un des meilleurs de tous les temps, mais une grande partie de ça vient du fait que je me suis entraîné avec MJ » explique-t-il au Bleacher Report. « Je me souviens d’une fois où je jouais contre lui, il a fait deux dribbles vers le panier et s’est arrêté pour prendre un pull-up. Il m’a alors dit : « Rip, ajoute-ça à ton jeu. C’est le tir le plus difficile à défendre au basket ». Les défenseurs reculent et ils ne peuvent pas revenir pour contrer. Donc quand les gens me demandent comment j’ai fait pour que mon tir à mi-distance soit aussi bon, je réponds que c’est grâce aux coups de main de Michael Jordan, l’opportunité d’être avec lui pendant les deux ans où j’étais à Washington. »

« Le airball de Thomas Vanderbranden pour tenter de sauver son capot »

A Mons, les Haricots n’ont pas fait illusion, s’inclinant dans les grandes largeurs, 106-51.

« Nous n’étions tout simplement pas prêts à jouer » constate Sacha De Liamchine en toute franchise. « Depuis le début de la reprise, nous ne nous entrainons plus correctement. Nous avons eu des cas Covid, des blessés et des gars en vacances. Nous sommes donc arrivés à Mons avec seulement deux joueurs qui ont plus d’un entrainement sur le mois. »

Face à des Borains ultra-physiques et entrainés, cela ne pardonnait pas. « Notre adversaire était prêt physiquement et nous n’avons pas eu voix au chapitre » reconnait le longiligne forward. « Il n’y a vraiment rien à retenir de ce match si ce n’est le airball de Thomas Vanderbranden à la dernière seconde du match pour sauver son capot alors que plus personne ne jouait. » Cela sent les vannes à l’entrainement cette semaine…