Pepinster, équipe surprise du second tour ?

Les Pepines aborderont le second tour enfin au complet, ou presque, alors que le staff s’est étoffé. Explications.

« C’est avec un effectif complet, à l’exception de Valentine Gautier toujours en convalescence, que notre équipe féminine abordera la 2e partie de saison .En effet, alors qu’elle avait un accord signé avec le club depuis début octobre, Keri Jewett-Giles est ENFIN arrivée pour assurer le poste de meneuse de jeu. Keri âgée de 24 ans, mesure 1,67m. Elle vient de Floride où elle est née, et où elle a eu un très beau parcours d’abord en high school à Dunbar et ensuite à la Florida Gulf Coast University. Grâce à ses belles performances, cette petite meneuse athlétique a espéré, en vain, être draftée pour rejoindre une équipe WNBA avant de se lancer dans l’aventure du basket à l’étranger (Suède – Egypte). Nous disons ENFIN parce qu’en présaison, nous avions composé l’équipe avec une meneuse européenne et une scoreuse américaine. Malheureusement, la première n’a jamais répondu aux attentes et nous avons trouvé un accord pour nous libérer du contrat de la seconde car, à une semaine de la reprise, nous nous sommes retrouvés sans salle (J. Simon noyé et Paire occupé par la vaccination), avec des dirigeants et sponsors sinistrés et des activités prévues annulées à cause des inondations…Dès que nous avons entrevu la lumière avec quelques nouvelles positives dont la récupération du Paire, nous avons conclu un accord avec Keri mais la procédure administrative de légalisation a été incroyablement… lente. Mais elle vient ENFIN de franchir toutes les barrières, COVID compris ! Maintenant, avec l’arrivée simultanément de Jill BETTONVIL et Keri JEWETT-GILES nous comblons les deux postes manquants et espérons le meilleur à ces nouvelles joueuses mais aussi aux filles qui ont courageusement porté notre maillot dans un moment très difficile. Merci à elles ! », explique le club pepin dans son communiqué. « Cette période n’aura pas été sans dégâts puisque nous y avons perdu notre coach Giovanni Bozzi. A propos du staff, celui-ci se complète aussi puisque Caroline Bourlioux l’intègre et assistera Jean-Luc Cornia, comme Antoine Massart qui assurera la liaison R2-TWD. Quant à Steve Lenglois, il continuera son travail de physiothérapie. »

« Un changement de coach complètement inattendu »

Pour Liège & Basketball, Martin Lesuisse revient sur la première moitié de championnat de Cointe en R1. Entretien.

Martin, quel bilan fais-tu de cette première moitié de saison en R1 ?

Un bilan assez mitigé. Nous terminons le premier tour avec un bilan négatif en ayant eu le calendrier le plus difficile possible. A cela se sont ajoutées les nombreuses blessures dans notre effectif et le manque de rotations qui en ont résulté. Notre bilan n’est donc pas catastrophique mais demeure néanmoins en-dessous de nos attentes personnelles.

Quel fut le meilleur moment de ce premier tour ?

Je dois avouer qu’il est difficile d’en trouver un (rires). A choisir, j’opte pour notre victoire à domicile contre Tilff ainsi que pour notre première mi-temps monstrueuse contre Loyers lors de notre dernier match.

Et le pire ?

Notre deuxième mi-temps à Quaregnon à six où, alors que nous comptions près de dix points d’avance, nous nous sommes complètement écroulés en nous révélant incapables de mettre la balle dedans.

Quel fut le fait marquant de ces quelques mois ?

Sans doute notre changement de coach en fin de premier tour. C’était complètement inattendu mais le groupe a parfaitement réagi.

Et le MVP ?

Thibaut Boxus pour certaines de ses grosses prestations même s’il connaissait une petite baisse de régime sur la fin (rires).

Quels voeux formules-tu pour 2022 ?

Que nous puissions éviter toutes les blessures et que tout se passe au mieux pour les deux futurs papas.

Quels seront vos objectifs lors de la deuxième moitié de championnat ?

Faire mieux que lors de la première et nous sauver le plus rapidement possible. Nous nous sommes rendus compte que vu le nombre de descendants annoncés, la tâche s’annonce plus compliquée que prévue. Enfin, j’espère que les bons résultats arriveront rapidement afin de pouvoir revoir nos objectifs à la hausse dans les dernières semaines.

« Simon Cosentino n’a toujours pas pris de technique en championnat »

Capables du meilleur comme du pire, Aurélien Dykmans et les Collégiens bouclent le premier tour sur le podium de l’élite provinciale.

En première provinciale, les Collégiens ont manqué de régularité mais ont terminé le premier tour sur le podium avec seulement trois défaites. « Notre bilan est bon mais nous avons montré que nous étions capables du meilleur comme lors du déplacement à Alleur (ndlr: seule défaite des All Blacks en championnat) comme du pire comme à Union Liège ou contre le Haut-Pré » soupèse Aurélien Dykmans qui espère ardemment que le championnat puisse aller à son terme. « J’aspire aussi à ce que nous parvenions à nous sortir des situations compliquées grâce à notre collectif plutôt qu’avec nos individualités. A ce moment-là, nous battre deviendra encore plus difficile. » Et de conclure avec humour: « Il faut aussi souligner que Simon Cosentino n’a toujours pas pris de technique en championnat. »

Crédit photo: PP photography Amateur

« Kris Mayele est aussi imprévisible en attaque qu’en défense et en 3e mi-temps »

Pour Liège & Basketball, Alex Walewyns fait le bilan du premier tour contrasté de Belleflamme dans l’antichambre de la nationale.

Beaucoup d’observateurs pointaient les Haricots comme les grandissimes favoris – avec Loyers, bien évidemment – de la première régionale cette saison. Un statut que les protégés de David Beck ont eu du mal à assumer, laissant filer quelques précieux points pour clore l’année civile avec 60% de victoires. « Notre bilan est très mitigé car sur nos quatre défaites, nous aurions dû en éviter au moins deux. Sans ces deux-là, nous aurions le bilan attendu à mi-saison » nous avoue Alex Walewyns. « Nous avons vécu plein de bons moments avec le groupe mais ne tenons pas encore une victoire référence. Par contre, notre catastrophique première mi-temps à Waremme restera dans les annales. »

Et si Loyers semble au-dessus du lot malgré un premier revers concédé contre Tilff juste avant Noël, la R1 semble plus ouverte que jamais cette saison. « Les résultats chaque semaine sont plus surprenants les uns que les autres. Tout le monde semble capable de gagner contre tout le monde » constate le meneur avant de se pencher sur les réussites individuelles de ses coéquipiers. « Il n’y a pas vraiment un joueur à sortir du lot mais Kris Mayele est le plus régulier au scoring et aussi imprévisible en attaque qu’en défense et en troisième mi-temps. »

Après une trêve salvatrice, le deuxième tour s’annonce explosif dans l’antichambre de la nationale. « J’espère que nous vivrons une deuxième partie de saison avec moins de remises, des supporters et une buvette ouverte. Notre objectif sera de retrouver la deuxième place de notre poule mais, surtout, de prendre du plaisir ensemble » conclut Alex.

« Un tel groupe dans une carrière, c’est rare ! »

Pour Liège & Basketball, Clément Matisse se penche sur les derniers mois géniaux vécus avec Comblain. Interview.

Clément, quel bilan fais-tu de ce premier tour stoppé anticipativement alors que vous étiez toujours invaincus en TDM2B ?

Un bilan positif car nous avons vécu une belle première partie de saison. C’est dommage que cela ce soit terminé si brusquement avec l’arrêt momentané de la compétition.

Vous avez aussi vécu une rencontre historique contre Ostende en Coupe de Belgique.

Oui, ce fut sans aucun doute le grand moment de cette première moitié de saison. Ce fut une expérience incroyable.

Quel fut, selon toi, le MVP du Mailleux durant ces quelques mois ?

Mon MVP est également mon capitaine: Corentin Rondoz.

Un souhait pour 2022 ?

La seule chose que je peux demander au Père Noël, c’est que l’équipe continue de s’amuser comme c’est le cas depuis le début.

Quels sont vos objectifs pour la deuxième moitié de saison ?

Tous les gens pensent que notre groupe est obnubilé par l’objectif de monter en TDM1. Mais, en réalité, la chose qui nous importe le plus, c’est de continuer le plus longtemps possible à passer de si bons moments tous ensemble, joueurs et staff, que cela soit en TDM1 ou en TDM2. Un tel groupe, c’est rare dans une carrière ! L’objectif principal, c’est donc que tous ces bons moments perdurent.

« Un défenseur suffocant »

Si Michael Jordan fut l’un des plus grands attaquants de l’histoire de ce sport, il était aussi un défenseur redoutable et redouté.

Avec ses dix titres de meilleur scoreur de la NBA, Michael Jordan se pose légitimement comme le plus grand attaquant de l’histoire. Mais Jordan était aussi un sacré défenseur. Il a notamment été élu meilleur défenseur de la ligue et fut cité à neuf reprises dans la meilleure équipe défensive de la ligue. Si MJ pouvait punir n’importe quel défenseur avec son arsenal offensif, il pouvait aussi étouffer et détruire n’importe quel adversaire grâce à sa défense.

« Il avait des mains très rapides et il était très intelligent dans sa manière de les utiliser. Plus vous êtes athlétique et dominant, moins les gens vous créditent sur votre intelligence. C’est marrant, Bird et Magic n’ont jamais été de grands athlètes et on leur a donné du crédit grâce à leur cerveau. Mais Michael était tout aussi intelligent. Ça, combiné à ses qualités athlétiques, faisaient de lui un défenseur suffocant. Vous preniez le ballon en vous disant ‘est-ce que ce mec va me laisser passer le milieu de terrain ?’ », se rappelle Doc Rivers. « C’est le meilleur défenseur de l’histoire parmi les superstars. J’ai toujours dit que les défenseurs qui trash-talk avaient plus d’impact que les attaquants qui le faisaient. Michael disait ‘je sais ce que tu veux faire, mais aujourd’hui tu ne vas pas le faire’. C’était compliqué pour moi parce que je n’allais qu’à droite. »

Patrick Ewing loue aussi les qualités de son ami. « Il m’a eu quelques fois. Le truc avec lui et Scottie, c’est qu’ils étaient assez grands, costauds et athlétiques pour défier des gars comme moi. Michael pouvait prendre le premier bump. La plupart des joueurs ne peuvent ou ne veulent pas absorber le contact. Lui s’en foutait » analyse-t-il.

Une analyse complétée par celle de BJ Armstrong, son ancien coéquipier. « Dans mon esprit, Michael Jordan était un défenseur qui est devenu un attaquant exceptionnel. Il connaissait mieux le jeu de ce côté du terrain. La façon dont il bougeait, anticipait, et sa faculté d’inventer plusieurs façons de scorer étaient basés sur sa vision de la défense » ajoute l’ex-Bull. Contrairement à d’autres superstars NBA, MJ ne se reposait pas en défense et c’est tout à son honneur.

« Notre salle sera notre déclic »

Maxence Casamento revient sur le premier tour particulier vécu par les Verviétois et sur la seconde partie de championnat qui s’annonce particulièrement riche en défis.

Le bilan de Verviers:

« Il n’est pas celui auquel nous nous attendions avec seulement trois victoires en dix rencontres. Je pense que nous pouvons mieux car nous avons eu beaucoup de petites défaites de moins de dix points. Par contre, notre deuxième partie sera plus intéressante car nous ne devrons plus nous déplacer et notre salle sera un avantage pour aller chercher des victoires, je n’en doute pas. »

Le meilleur moment du premier tour:

« Notre victore au CFWB alors que nous étions menés de huit longueurs à une minute et trente secondes de la fin du match et que nous arrivons tout de même à remporter la victoire. Celle-ci me tenait à coeur car c’est là-bas que j’ai fait une partie de ma vie. »

Le pire moment du premier tour :

« Notre défaite contre Vieux Campinaire sur le buzzer. C’est la pire des façons pour perdre un match. Mais il y aussi notre déplacement à Andenne, un vrai non-match de notre part. »

Le fait marquant de la première moitié de saison:

« Rejouer dans notre salle mais, malheureusement, sans public. Nous savons que notre salle sera notre déclic, je ne doute pas une seconde de cela. »

Le MVP de Verviers:

« Tous les gars ont sorti une grosse prestation à un moment ou à un autre et tous peuvent le faire. Mais Phil Agapit nous sort quand même toujours de très, très gros matchs. Et Benjamin Mahiat, qui commence à bien s’imposer dans l’équipe, est notre « révélation ». »

Les voeux pour 2022 et les objectifs pour le deuxième tour:

« Etre soudés sur le terrain pendant le match autant qu’avant et pendant. Les résultats suivront alors et notre objectif sera de nous éloigner rapidement de la zone rouge en allant chercher des victoires. A nous de prouver que nous en sommes capables. »

Crédit photo: PP Photography Amateur

Un caractère au Paire

Il risque d’y avoir du show sur les hauteurs wegnolaises, via une nouvelle distributrice américaine n’ayant peur de rien. Sans deux éléments majeurs, les troupes de Gjergja n’ont pu tenir la distance en Bosnie-Herzégovine. Une championne d’Europe aux côtés de Laura Henket. Ce sont les infos d’EMCE.

Ligue des Champions : Ostende tombe trop court au terme du game 1

Comme prévu, c’est sans Brimah (covid) mais, aussi, orphelins de Booth (sans passeport) que les Côtiers (Randolph 17 pts et courtisé par un cercle australien) ont été croisé le fer avec Igokea. Ils tenaient la comparaison une période (39-42) avant de tomber trop court physiquement face à des Bosniens (Tanaskovic 21) terminant en force à 87-72. S’ils désirent éviter une élimination expresse, les potes de Gillet (photo) n’ont d’autre solution que l’emporter, le mercredi 12 janvier prochain, le long du littoral. Cette fois, ils seront en principe au complet sans oublier que l’éventuelle manche décisive se disputerait en déplacement.

Après une internationale hollandaise, un feu follet US arrive à Pepinster

La période des fêtes a été studieuse à Pepinster qui, après avoir signé l’internationale hollandaise, Jill Bettovil, a poursuivi son recrutement en s’attachant les services de l’explosive meneuse US, Keri Jewett-Giles (24 a, 1,68 m). Après avoir loupé la WNBA d’un chouia, elle mit le cap sur l’Egypte (Alexandrie) avant de prendre la direction de la Suède (près de 17 unités de moyenne). C’est une boule de nerf qui est en approche du Paire : « Elle joue comme un garçon », observe son coach universitaire, « Une dure à cuire pas facile à canaliser mais, elle n’en est pas moins respectueuse et sans cesse à l’écoute. » Jean-Luc Cornia, rejoint par la Sprimontoise Caroline Bourlioux sur le petit banc, sait à quoi s’en tenir…

Renfort prometteur pour le Sparta Bertrange et, donc, pour Laura Henket

Faut-il préciser que le début de saison des Bertrangeoises n’a pas vraiment répondu aux attentes ? Du coup, les responsables du cru viennent de frapper un grand coup. Ils se sont ainsi séparés d’une Américaine par trop limitée pour la remplacer par une Espagnole pour le moins prometteuse. Maria Mongomo (26 a, 1,75 m) s’est distinguée dans son université canadienne avant d’entamer l’actuel exercice avec Gran Canaria. Sur l’île, elle faisait d’ailleurs équipe avec Hanne Mestdagh. Elle a été aussi championne d’Europe U16 avec la sélection ibérique. A noter encore que le cabinet de kinés de Laura Henket a intégré le staff médical du club.

Michel Christiane

Crédit photo : FIBA

« Nous maintenir et essayer de jouer le milieu de tableau »

Pour Liège & Basketball, Tom Malempré fait le bilan de RSW Liège Basket en TDM2B.

En TDM2B, RSW Liège Basket occupe le fond du classement avec Pepinster avec seulement deux victoires au compteur. « Nous pouvons beaucoup mieux avec l’équipe que nous avons » nous assure Tom Malempré. « La victoire contre Hasselt fut satisfaisante car nous avons fait preuve d’un beau collectif, surtout pour Jarno Moons qui jouait contre son ancien club. Par contre, nos défaites en fin de match contre Sprimont et Esneux furent frustrantes. »

Néanmoins, les jeunes Sang et Marine ont toujours rivalisé et progressent pas à pas dans une division que plusieurs membres du noyau découvrent. « Notre bon résultat à Comblain est de bon augure pour la suite » ajoute Tom. « J’espère que nous arriverons à mieux gérer nos débuts et fins de match pour non seulement nous maintenir mais aussi essayer de jouer le milieu de tableau. »

Crédit photo: Philippe Collin

« Avoir retrouvé un Paire qui vibre pour du basket »

Avant de retrouver les parquets, Nicolas Franck fait le bilan de Spa à mi-parcours. Entretien.

Nicolas, quel bilan fais-tu à mi-parcours ?

Un bilan mitigé. Nous avons livré une ou deux prestations abouties où la pièce est tombée du mauvais côté, connu quelques blessures au mauvais moment et flanché lors de certaines prestations. Au total, avec un ratio de victoires à 33%, nous sommes en-deça des attentes.

Quel fut le meilleur moment de cette première moitié de saison ?

Sans aucun doute le derby à Pepinster. Pas forçément parce que nous l’avions emporté mais plutôt pour l’ambiance, pour avoir retrouvé un Paire qui vibre pour du basket, des potes dans les deux équipes et aussi des anciens Pepins à Spa et vice et versa. D’autant plus que le scénario était à la hauteur de l’évènement avec prolongation, changement d’avantage et fin de rencontre indécise.

Et le pire ?

La perte de notre délégué Daniel Coheur. Il était de nos victoires et de nos défaites. Nous aurons toujours une pensée pour lui en entamant nos matchs.

Quel fut le fait marquant de ce premier tour ?

Peut-être notre victoire à Esneux. Dans l’adversité avec deux titulaires (Nicaise et Lodomez) blessés, nous sommes allés chercher une victoire avec les tripes et le coeur. Nous avions réalisé une pleine prestation collective avec plusieurs joueurs en double chiffre et un pourcentage de réussite supérieur à nos standards habituels.

Et votre MVP ?

Les mauvaises langues diront que je ne suis pas objectif du tout mais notre MVP, c’est Pierrick Van Den Brule. Dans nos trois victoires, ce fut le joueur déterminant. Contre Pepinster, il a capté trois ou quatre rebonds offensifs en prolongation. Contre Esneux, il fut impressionnant de justesse. Et contre Louvain, il fut notre go-to-guy dans le dernier quart-temps, tous nos ballons passaient par lui.

Quels voeux formules-tu pour 2022 ?

Que nous soyons épargnés par les blessures. Il serait temps de récupérer nos absents pour pouvoir enfin nous aligner au complet. Lodomez nous manque cruellement à la distribution et, surtout, pour son expérience dans les moments chauds. Nicaise nous manque par l’énergie, le rebond et le fighting spirit qu’il nous apporte. Avec ces deux rotations supplémentaires, Spa présente un visage déjà bien différent.

Et quels seront vos objectifs pour la seconde partie de saison ?

Vu les circonstances, déjà pouvoir jouer serait bien. Mais si nous faisons fi de la situation, il va être temps de gagner quelques matchs pour nous mettre à l’abri. Les ambitions ont forcément dû être revues à la baisse avec les blessures et le premier tour effectué, il ne faudrait pas avoir à regarder derrière avec trop d’inquiétude jusqu’au terme de la saison.

Crédit photo: Charnikon Prod